Anatvigli

Le mystère Grandis autour du personnage de Habu Joji. on continue a suivre l'enquête du Fukamachi Makoto avec toujours autant de curiosité et d'impatience. Le rythme est impeccable, les scènes de montage parfaitement dessinées. du grand Art

On est emporté par l’intrigue et les personnages ! Les dessins de Taniguchi sont d’une belle finesse. Une Œuvre majeure à découvrir.

Superbe histoire de Hermann prenant pour toile de fond les bombardement à Sarajevo dans le début des années 90. On y suis un privé qui part en mission dans la capitale assiégé pour récupérer une fillette gardé en otage par son père. Il a pour mission de la récupérer et de la ramené en suisse chez sa mère. A travers les péripéties qui adviennent à ce privé, Hermann fait un état des lieux désastreux sur la manière de géré la crise par les puissances mondial. La critique des chefs d'états européens non interventionniste et des médias sensationnel mais inutile est acerbe. Sarajevo-Tango a été écrit alors que la guerre faisait rage en Bosnie, mais son propos est toujours d'actualité. Les Dessins sont sublime. Hermann utilise à merveilles les couleurs ou l'absence de couleur pour créer une ambiance. Une vrai réussite.

Une superbe BD inspiré par le chef d'oeuvre de George Orwell. Si dans la ferme des Animaux Orwell s'attaquait à dépeindre les mécanismes de l'établissement d'un régime totalitaire et dictatorial ici c'est l'espoir qui intéresse Xavier Dorison. Dans ce premier tom intitulé : Miss Bengalore ; nous assistons à la naissance d'un mouvement révolutionnaire et la création d'une figure révolutionnaire. Le récit est très bien ficelé et vous accroche dés la première page. L'utilisation des animaux est très bien pensé dans leurs rôle et le symbole qu'ils représentent. Jamais il ne sont un prétexte à adoucir le propos ou à diminuer la violence de l'action. Car oui il y a de la violence, la peinture d'une dictature par la peur ne se fais pas sans elle. De ce point de vue le dessins est extrêmement bien fait et d'une belle richesse. Les animaux ont chacun leur distinction et sont très bien définis. Quand à la violence elle est parfois frontale lorsque nécessaire parfois suggéré. La cruauté est montré mais le dessins ne verse jamais dans le morbide. Une belle découverte et une grande réussite à tout les niveaux.

encore un trés bon Album de Corto par Canales et Pellejero. on s'éloigne encore un peu de Pratt tout en restant dans l'esprit de la série d'origine. Une vrai réussite pour moi.

Ce nouvel épisode cloture le cycle de mars et commence un nouveau cycle en même temps. L'histoire est toujours aussi passionnante, les personnage continue de gagner en profondeur et l'intrigue avance de manière passionnante. Les dessin sont toujours aussi beau, bref l'enchantement continue et en plus on nous permet une nouvelles saga dans le même univers scénarisé par Alain Ayroles ! Vraiment hate de lire la suite et ce récit parallèle.

Visuellement surement le plus beau volet de la saga. Dommage en effet que la fin semble légèrement précipité.

Changement décor pour ce troisième volet (premier tom du nouveau cycle). Apres le nord de la, France et la Bavière, aprés avoir fait un tour sur la lune, nos chevaliers de L'ether ont atterris en Bretagne. L'histoire est toujours aussi passionnante à suivre, les personnages attachants et les images d'une beauté envoutante. Encore une réussite.

Une suite à la hauteur du premier ! L’histoire nous emmène dans l’espace et continue son exploration fantastique dans un univers à la Jules Verne. Les personnages sont toujours aussi intéressant et la qualité du dessin et des aquarelles rendent cette BD absolument sublime. Un petit bijou !

Alex Alice nous emmène dans une aventure pleine de rebondissements. Du Nord de la France à la Bavière en mêlant fait historique et sciences fiction rétro à la Jules Verne l’univers du château des etoiles est un vrai régal. Les planches réalisées à l’aquarelle sont d’une beauté siderante. jetez vous dans cette aventure sans attendre vous ne serez pas déçu.

Le retour des aventures de Corto Maltese et c’est une grande réussite. Rubén Pellejero réussi à s’approprier le trait de Pratt sans en perdre son identité et Juan Díaz Canales nous livre un aventure dans la droite lignée de celle racontée par Hugo Pratt. Que du Bonheur.