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fait suite au tome précédent " l'otage" qu'il faut avoir relu si l'on veut suivre le déroulé de l'histoire. Du classique sans grand relief mais qui se laisse lire sans ennui.

Un nouvel hommage au personnage de Morris venu illustré et scenarisé par un teuton.
La référence au Brokeback Mountain d'Ang Lee est plus qu'assumée, et Ralf König demande à Lucky Luke de donner son avis.
La mise en abîme de Lucky Luke héros de bd (avec des fans qui ressortent les vieux albums pour les dedicacer) dans cette histoire est bien trouvée. Les références aux premiers épisodes et aux censures de cette époque, témoignent d'une grande connaissance et d'un grand respect de l'œuvre originale.
Si le message est moderne et vraiment encré dans notre époque, les situations comiques sont plutôt rares ou pas assez présentes.
Le dessin a de belle qualité comique mais l'ensemble m'a beaucoup moins marqué que les exercices précédents.

Pour public qui aime le genre.

Une clôture intéressante de ce diptyque.
Sans être étourdissante d'originalité, les auteurs sont arrivés à nous accrocher durant de tout le tome avec de bonnes trouvailles scénaristiques. Les quelques petites touches d'humour troll (ou de gros bill) bien senties collent parfaitement à cet univers qui a révolutionné le monde de l'heroic fantasy.
Un cycle parfaitement réussi dans les Légendes de monde de Troy, grâce au dessin si caractéristique d'Hérenguel et au talent des scénaristes (Melanÿn et Arleston).
A classer dans les meilleures histoires des "spin-off" de cet univers.

D'une grande puissance, probablement dûe à la puissance de du roman de Virginia Reeves. Le choix des couleurs ne fait que renforcer ce que l'on peut ressentir à la lecture de cet ouvrage.

Cette mini-série est un coup d'épée dans l'eau. Il y avait les éléments pour créer une bonne histoire, mais tout a été traité à la va-vite : les personnages, le scénario, et même parfois les dessins !!! En général, les dessins sont beaux, mais parfois les visages ou les proportions sont grandement ratés ; les personnages ne sont pas assez développés pour créer une quelconque empathie , et les antagonistes (romains ou pictes) sont méchants sans véritables explications.
On dirait que les auteurs s'en foutaient de leur histoire ou qu'elle les emmerdaient et qu'ils l'ont torchée en 2 coups de cuillère à pot.
Et oui, comme il est dit dans l'encadré final, on comprend pourquoi l'Histoire a oublié Brigantus ...

Une emballante découverte cette incursion d'Hérenguel dans le monde de Troy.
La trame de base manque un peu d'originalité mais l'évolution est assez prenante. Rajoutez les graphismes du "papa" de Krän est vous avez un ouvrage qui tient toutes ses promesses.
Les connaisseurs apprécieront les petits clins d'œil du dessinateur à ses autres séries (un garou discrètement caché, ...).

Reste à voir si la conclusion sera de même acabit.

A lire absolument

D

Un travail éditorial de qualité pour ressusciter une série phare des années 70/80.
À l'image de celui des éditions de l'Élan sur la série "Félix".
À suivre : https://www.adhoceditions.com/