Derniers commentaires

Cette édition est une déception, certes les albums sont grands et très jolis dans ma bibliothèque.
Pour ce qui est du contenu, alors qu'on parle d'une intégrale sortie bien après la fin de la série, aucun ajout, aucun supplément, rien, néant, c'est le vide, la consternation.

Le tome 7 et le tome 8 dans ma série présentaient même quelques défauts d'impression et de construction...

Panini déçoit et passe à côté d'une belle occasion de rendre hommage à une série culte... La prochaine fois je leur suggère de rester à ce qu'ils savent faire : des vignettes autocollantes

Dans l'œuvre de Schuiten, je ne connaissais pas cette "série" métamorphoses... Je ne perdais pas grand chose honnêtement, l'histoire n'est pas trépidante, l'utilisation des pages paires, pages impaires pour les différents lieux de l'action est une bonne idée mais pas très bien exploitée à mon avis. On est dans ce que l'on pourrait appeler de la "BD d'exploitation" qui surfe sur les succès SF de cette période. Cela se sent aussi graphiquement, on voit clairement une influence de "métal hurlant" un marqueur d'époque. Cela dit, le style de Schuiten et des cités obscures est latent, à ce titre la BD est intéressante car elle semble être un moment charnière dans l'œuvre de Schuiten.

A mon sens, le "hors-série" le plus réussi des Légendes du monde de Troy.
Que ce soit le dessin, le scénario, ou les trouvailles humoristiques, nous sommes face à une œuvre bien maîtrisée et qui s'intègre parfaitement dans cet univers.
Les fans du monde de Troy y trouveront leur bonheur.

Bilbo le hobbit superbement mis en image par David Wenzel. Déjà, l'histoire et les illustrations sont totalement fidèle au roman de Tolkien, tout cela en 134 pages. Pari réussi. Bien sûr cette histoire aurait pu être plus noire ,plus riche, comme le seigneur des anneaux. Mais elle n'aurait alors pas respecté ce que voulait l'auteur pour elle ; être une porte d'entrée pour les enfants aux mondes de TOlkien .

l'histoire de Yann sous la forme d'une enquête d'archives. comme la série c'est riche, appliquée, réaliste. certains épisodes clés de sa vie ont leurs propres planches. Comme la série C'est magnifique. Bien sûr cela s'apprécie après avoir lu la BD.

Le début d'une grande aventure au style et aux décors réalistes, par un auteur qui manifestement maitrise son sujet jusqu'au moindre détails (ah ! les beaux navires.)
C'est crédible , le scénario est riche et implacable pour le héros.
Une série incontournable si comme moi vous aimez les histoires de corsaires réalistes.

très belle idée de lancer cet opus par la mort d'un père laquelle va raviver les souvenirs de ses 3 filles. Sensible, émouvant sans être larmoyant Zidrou et Monin vous font passer un très bon moment de lecture sur ce thème de l'adoption.

Une histoire originale bien implantée dans le monde de Troy. On peut y voir un début de féminisme dans la mise place de l'héroïne, Marikiri. La dualité entre Marikiri et l'apprenti Kyslapeth, garçon aussi beau que bête , fonctionne vraiment très bien tout au long de l'intrigue.
Une fois n'est pas coutume, Arleston (aidé par Melanÿn au scénario) arrive faire tenir une histoire sur un tome, sans avoir ce sentiment de fin bâclée.
Ma seule réticence se situe au niveau de dessin. Agréable et collant parfaitement à l'univers, ainsi qu'à l'ambiance du récit, certaines parties, certains détails, ne sont pas très clairs. Ce qui peut rendre la lecture inconfortable.
Mais dans l'ensemble,nous avons droit à un bon moment de lecture dans le monde de Troy.

Un peu désuet.
Incompréhensible par la génération "tout portable".
Des énigmes qui mettent parfois en scène des trucs aujourd'hui anachroniques (et, oui, avant le minitel), qui font sourire, mais qui peuvent intéresser les fans de "Mystères" dont il faut chercher la solution dans le texte ou l'image.

Quel, talent narratif que celui de Riad Sattouf. On suit ce premier opus de la première à la dernière page sans vouloir lâcher le récit tant la vie de cet enfant nous interpelle, nous émeut. L'envie de crier au Père qu'il est fait fausse route (ceci dit en termes choisis) même s'il faut se garder d'être manichéen.