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Un héros français trop souvent oublié. Cet album lui rend un hommage admirable. Les dessins et le découpage sont dynamiques et percutants, donnant à l'histoire un rythme rapide mais intense. C'est exactement ce qu'il faut pour ce genre d'?uvres. Une lecture captivante qui, en plus de divertir, nous fait découvrir de nouvelles choses.

Dans un style sombre, tant sur le plan graphique, que sur le fond, on reconnaît le talent de Franquin.
Graphiquement, le travail sur le noir et blanc est remarquable, même si certains détails se perdent.
J'apprécie également la finesse de jeux de mots et autres calembours dans les titres des gags de la première partie.
Et que dire de l'humour? Le plus sombre que Franquin puisse exprimer dans sont travail (il y avait quelques indices dans le titre).
En étant plutôt drôle, Franquin nous dévoile ses pensées les plus intimes. La chasse, la guerre, l'écologie, la justice sociale, ... tous ces thèmes sont abordés sans concession par le père de Gaston Lagaffe.

Avec un scénario qui nous prend à plusieurs reprises au dépourvu, les auteurs n'ont pas eu peur de nous bousculer dans nos habitudes scénaristiques.
Et c'est plutôt réussi.
Les dessins de Tarquin sont toujours au niveau.
L'humour y est plutôt subtile (en comparaison de la fin de Lanfeust des étoiles) pour une histoire accrochante qui donne envie de connaître la suite.

Dans cet album, Jérôme et Babette décident de profiter de la naissance du bébé de Félix et Ingrid pour s'offrir une petite escapade à la campagne. Ce qui aurait dû être une pause tranquille se transforme rapidement en une aventure pleine de rebondissements. Au cœur de cette intrigue rurale, ils doivent composer avec une belle-mère envahissante et possessive.

Ce tome clôture sympathiquement ce diptyque. Certes, l'intrigue est plus légère que dans les cycles précédents, mais il y a quelque chose de rafraîchissant.
L'humour est revenu à ses fondamentaux et les dessins de Tarquin, si caractéristiques, sont toujours au niveau.
On prend un grand plaisir à retrouver Lanfeust, Hebus sur le plancher des pétaures de leur planète natale.
Dans l'édition que je possède, il y a un excellent petit appendice qui présente les enfants de C'ian qui ravira les amateurs du monde de Troy.

Superbe !
Il serait indécent que le scénariste n'approfondisse pas ce qu'il a initié dans cet album !
:)
Nous avons besoin de tout connaitre des Navigateurs !
Le travail n&b avec ses nuances de gris de Stéphane De Caneva colle vraiment bien à cet univers.

Un voyage de plus de 20000 ans pour atteindre une exoplanète et y créer une colonie de la Terre, raconté à la fois « en direct » et à l’issue du voyage. Porté par une illustration numérique 3D et 2D efficace et attachante, le récit pose les bonnes questions éthiques et pratiques de ce genre de voyage.
À faire lire à ceux qui, de nos jours, croient fermement à la possibilité de trouver une planète bis plutôt que de mettre leur puissance financière et créatrice au service de la sauvegarde de notre Terre.

Rien à dire pour ce qui est du dessin.
Sauf que ça mériterait un plus grand format.
Scénario classique.
Il me semble avoir déjà lu cette histoire.
Je peux me tromper, mais...
à voir.

Un cran en dessous du premier opus.
La surprise en moins sans doute.
Mais ça reste du bon polar.

Notre héros habituellement si attachant semble pris au piège. Pourquoi tient-il un pistolet à la main, à côté d'une vieille femme inconsciente, blessée à la tête, juste au moment où la police arrive ? Ce début captivant lance un diptyque parfaitement maîtrisé, où Jérôme se lance dans une véritable course contre la montre pour prouver son innocence. Ce premier tome, centré sur son enquête, le voit remonter la piste d’un mystérieux tableau, avec son fidèle solex en soutien. Un récit palpitant et plein de saveur !