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Ce deuxième épisode, dans cette série réalisée avec un soupçon de Tolkien, est accrocheur dans un style heroic fantasy des plus classique.
Les graphismes ont les mêmes qualités et les mêmes défauts que précédemment. Ils sont plutôt intéressants mais ne plairont probablement pas à tout le monde.

Les graphismes de Dim. D sont qualitatifs, il faut bien l'avouer, mais pas vraiment à mon gout.
Si les prémisses du scénario ont une pointe d'originalité, les grandes lignes sont du déjà vu. La référence à Tolkien est à peine masquée. Mais la mise en scène est plutôt réussi et on se prend à suivre avec intérêt ce vieux mage surpuissant qui doit détruire l'incarnation du Mal qui essaye de répandre les ténèbres sur la terre du milieu.
Oups, ce n'est pas la terre du milieu mais Dyfed.

Une approche et un point de vue de la piraterie assez innovant et rafraîchissant.
Le canevas de la narration est également assez original.
La première partie, qui met en place les différents personnages et qui explique leur mode de pensée, est pationnante de bout en bout.
Les dessins très réussi de Pyle et Villain metent parfaitement en valeur cette histoire.
La conclusion, un tantinet abrupte, n'est que le reflet de la vie d'aventure et de danger que celle de ces pirates que nous avons suivi pendant ces 224 pages captivantes.

Le sans-abri recueilli par Jérôme dégage une aura de mystère. Un passé trouble et un roman qu’il aurait rédigé semblent dissimuler un secret lourd de conséquences. La publication de ce livre et le prix Goncourt qu’il décroche vont déclencher une série d’événements tragiques, bouleversant profondément la vie de Jérôme et Babette, tout en mettant leur existence en péril. Le personnage antagoniste incarne à merveille l’archétype de l'ange exterminateur. Un petit polar brillamment mené...

Cette magnifique série démarre en beauté avec ce premier tome, où l'on découvre Jérôme, un détective privé qui s'apparente presque à un anti-héros. L'humour, l'intrigue et le suspense captivent le lecteur du début à la fin.

Une histoire assez classique de Terriens sur un autre monde.
C'est pas mal construit.
Mais que les dialogues sont mauvais !

Dans cette aventure, ce n'est pas Jérôme qui occupe le devant de la scène, mais Babette, sa petite amie. Elle mène l'enquête sur la disparition de son compagnon avec humour, perspicacité et une détermination sans faille. Du très bon Dodier, je recommande vivement.

Jérôme se retrouve chargé de résoudre une série de meurtres. Comme à son habitude, il parvient à irriter Babette en chemin, ce qui complique encore un peu plus sa vie quotidienne. L'intrigue est captivante, illustrant parfaitement comment l'on peut passer du succès à l'oubli, devenant l'ombre de sa gloire passée. Une lecture que je recommande.

Une ambiance intimiste et une intrigue bien pensée, sans complexité excessive. On se laisse emporter facilement et l'on en ressort avec un sentiment d'optimisme. Rien à redire.

Cette intégrale n°4 regroupant les tomes 7 et 8 des aventures du Crying Freeman est pour moi pour l'instant la plus mauvaise.
La série ne volait pas haut jusqu'ici, mais là, on touche presque le fond. Les premiers chapitres de la série sont "intrigants" mais on ne va pas crier au génie non plus.
Le statut culte de la série est due au fait qu'à l'époque, peu de mangas était édités en France, et il faut avouer que les dessins sont beaux (un point que l'on ne peut ignorer). Le côté sulfureux du manga y a contribué aussi.

Mais ce recueil n°4 n'est juste qu'un prétexte à lire une bd de cul sous couvert d'un scénario insipide d'un niveau même inférieur à un tome de Druuna (et au moins dans Druuna, rien n'est "masqué" et les dessins sont incomparables).

Je suis déçu, et j'espère que l'histoire retrouve un regain d'intérêt par la suite.