Scénariste de bandes-dessinées franco-belge né à Paris (France).
D'origine autrichienne et allemande
Après une jeunesse partagée entre le 11e arrondissement de Paris et l'Angleterre, Henri Lœvenbruck fait une khâgne au lycée Chaptal à Paris, une maîtrise d'anglais à la Sorbonne, puis se lance dans le journalisme1 et la musique. Il publie son premier roman en 1998 aux éditions Baleine, sous le pseudonyme de Philippe Machine. Sa trilogie de La Moïra (publiée entre 2001 et 2003) se vend à 300 000 exemplaires toutes éditions confondues et est traduite en douze langues2. Il se lance ensuite dans le thriller avec les éditions Flammarion où il rencontre à nouveau le succès3, notamment avec la série d'Ari Mackenzie, vilain petit canard des Renseignements généraux, dans laquelle il dénonce notamment les dérives de grandes ONG en Afrique4.
Dans les années 1990, Henri Lœvenbruck chantait et jouait de l’orgue Hammond dans divers groupes de rock parisiens. Début 2008, après avoir écrit des chansons pour d’autres artistes (comme Kelks), il décide de remonter sur scène pour présenter une douzaine de chansons « à texte ». En 2009, il participe, en tant que traducteur5 et choriste, à l'album Molly Malone – Balade irlandaise6 de son ami Renaud7. En 2009, il a enregistré un mini LP8, en collaboration avec Vincent-Marie Bouvot. De 2013 à 2015, il rejoint le groupe de rock Freelers9, qui fait de nombreux concerts dans des festivals en France, et au sein duquel il joue du clavier et de l'orgue Hammond.
Il est membre du collectif d'artistes La Ligue de l'Imaginaire.
En juillet 2011, il a été nommé Chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres10.