Dépoussiéré, huilé, le véhicule sort du garage, l'homme à l'imperméable se poste à l'arrêt. C'est reparti pour un tour ! Les failles spatio-temporelles et les incursions incongrues du fantastique parasitent de nouveau avec brio et inventivité ce trajet routinier vers l'inconnu. Le bus 2 est plus que jamais une porte vers tous les possibles : à son approche, la réalité vacille, les dimensions s'entremêlent, les rôles s'inversent… Si le bus en lui-même est toujours le même, quelques détails, comme les téléphones « intelligents » et le look des passagers, ancrent ces histoires dans le XXIe siècle...
Presque mieux que le 1er volume.
Ces deux petits bouquins auront leurs places dans toute bibliothèque d'amateurs de surréalisme ou d'humour absurde. Enfin, pas toujours si absurde que ça.