Après K.O. à Tel Aviv paru en mai 2012, Asaf Hanuka reprend ses instantanés avec la même verve tantôt cynique, tendre, drôle ou poétique.
On retrouve avec bonheur le citoyen désenchanté, le mari subjugué, le propriétaire dépité, l’artiste dubitatif et le père fusionnel et angoissé, bref, à la fois un personnage terriblement attachant, un regard d’une rare subtilité sur le monde et une remarquable inventivité graphique.
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