François-Alexandre Peyregrandes avait 21 ans en 1906 lorsqu'il accepta, sur l'insistance de son père, d'effectuer un séjour au Royal Aubrac, un moderne sanatorium dédié aux tuberculeux. Après avoir fait le voyage à reculons, le jeune étudiant aux beaux-arts finit par prendre goût à sa nouvelle vie.
Bien sûr, il y a la maladie, les soins, les voisins de chambre qui disparaissent un beau jour et pour toujours… Mais il goûte aussi à la franche camaraderie qui se tisse entre les pensionnaires, aux sorties buissonnières avec ses nouveaux amis, et surtout aux baisers volés de la belle et diaphane Geneviève… Serait-ce la proximité de la mort qui rend les habitants du Royal Aubrac plus hardis ?
Suite et fin de ce diptyque très touchant, autour de cette bâtisse hors du temps comme échouée dans le Massif Central…
source : éditeur
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