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R.I.P.
Il faut noter la série complète et non album par album. Car si la qualité diverge en fonction des tomes, c'est l'ensemble qu'il faut appréhender. Telle une oeuvre d'art, on ne se préoccupe pas de chaque coup de pinceau individuellement mais bien du tableau dans sa globalité. Telle est la série R.I.P., chaque engrenage a ses défauts, chaque morceau de l'histoire peut être discutée, chaque personnage est tantôt exagéré tantôt insipide. Et pourtant quand on met tout ensemble, quelle claque. Car c'est cela la vie, du monotone, de l'excitant, du prévisible, de l'improbable. Et quand on lit R.I.P pour la première fois, on se dit, oui, c'est bien, même très bien. Mais quand on lit R.I.P. pour la seconde, voire la troisième fois, on reste muet, sur les fesses, scotché par une oeuvre puissante qui nous rappelle combien l'homme est complexe, faible et fort à la fois. Un série sur l'humanité vu d'un coté sombre et pessimiste qui nous dit : profitez de votre vie, elle est bien plus belle que vous ne le penser.