Ce troisième acte qui voit enfin le grand Robert entrer en scène est aussi un tomber de rideau.
Rêvé, écrit et dessiné par une cruelle ironie du destin au moment même de la mort de l'acteur, ce volume de MITCHUM marque une rupture de ton qui confirme le caractère éminemment expérimental de cette fascinante « série ».
Long cauchemar halluciné, ode mortuaire terrifiante et hypnothique, MITCHUM N°3 se présente comme une tentative de journal intime onirique, où images et émotions s'assemblent librement au gré de l'instinct. Tout simplement époustouflant !
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