"Sur mon petit livre à couverture de bois j'ai gravé le nom d'un Dieu que le monde expérimente tous les jours mais que personne ne reconnaît.
Il se nomme : Je suis.
J'ai conscience qu'en écrivant ces quelques mots, si mon livre tombait aux mains d'un de ces maudits moines qui brûlent les hommes bons, mon corps serait pour le bûcher. Il n'empêche. Je dois continuer à écrire pour éloigner le frisson terrible du néant qui m'accable depuis que j'ai perdu la mémoire. Je fais un effort considérable pour tenter de retrouver un peu de cette autre vie perdue. Mais rien ne vient. A part ce rêve de faucon qui vole vers la lumière, que suis-je réellement ?...
Une ombre qui pense. Un pauvre esprit égaré dans un pauvre monde."
Très décevant cette fin à laquelle je ne comprend rien. Plus de 50 pages pour conclure que le héros s'est enfin trouvé, je pense que les auteurs se sont quand à eux égarés.