Fin juin 1272. Sigwald de Crozenc et sa compagne arrivent à Paris. Le jeune chevalier souhaite obtenir audience auprès du roi pour faire libérer sa sœur, accusée de sorcellerie et menacée de bûcher. Mais Sa Majesté est un homme fort occupé et difficile à atteindre. En attendant, Sigwald trouve asile chez le vieil Élie, un Juif qui a la charge de son petit-fils depuis que ses parents ont été emprisonnés pour ne pas avoir porté leur signe religieux distinctif. Décidément, le royaume de France semble vivre au rythme des sordides affaires de religion...
À travers l’épopée de Sigwald de Crozenc, Michel Pierret, à la plume et au pinceau, continue de peindre avec force et précision toute l'âpreté de la société médiévale du XIIIe siècle.
Lorsque j'ai acheté ce 28ème album de la série je ne me souvenais plus que j'avais arrêté la série au numéro 25. J'aurais dû relire.
C'est vraiment pas bon, il n'y a pas d'intrigue, pas d'histoire, aucune recherche contextuel. L'histoire n'a plus rien à voir avec celle d'origine de Kraehn et Pellerin. Avec le changement de format des derniers ouvrages destiné à ennuyer le collectionneur pour qu'il rachète une collection complète, on sent vraiment que l'éditeur n'a que le fric en tête avec le prolongement de cette série qui s'essouffle.