Perdu sur cette planète, le groupe de survivants s'est disséminé en fonction d'événements tragiques ou au gré des sauts temporels imprévisibles. Manon et Alex ont réussi à survivre dans ce contexte hostile sans savoir s'ils pourront retrouver le reste du groupe... ni quand ! Mais l'intervention de la Mantrisse et l'arrivée d'un extra-terrestre, Sven, vont leur permettre de reprendre espoir et d'envisager de fuir une fois pour toute cette planète de tous les dangers. Sven, qui n'est autre que le compagnon de Kim, leur fera alors d'étonnantes révélations.
Un peu déçu par cet album qui heureusement conclu ce cycle.
L'intrigue est inexistante et l'histoire longuette.
On reste cependant attaché aux personnages et surtout à l'univers prolifique sortit de l'imagination de Léo.
Je passerais outre le dessin très scolaire de Léo mais là n'est pas sa force.
On continue à se perdre dans une ambiance de science fiction mélant technologie et onirisme.
Il était temps toutefois que l'histoire se termine laissant la porte ouverte à un nouveau qui est plein de promesse.
Il n'est pas facile de terminer un cycle. Pas de rebondissement ultime, de drame ou de bouquet final. Des longueurs. Quelques effusions de bon aloi, une fin à la terrasse d'un bistro autour de la table avec une bonne bière ! Pourquoi pas.
De mon côté, j'en redemande. Je suis fan des planet-opéras, surtout ceux de Léo. Ce cycle tranche avec les autres grâce à l'apport de "ces perturbations quantiques" provoquant des sauts temporels. Léo reste attaché à ses décors mystérieux (faune, flore, ressources), mais effectivement pas d'intrigue évidente tout au long de ce cycle car comme son nom l'indique, il s'agit principalement de survivre au sein d'un milieu particulièrement hostile.
Au final les cycles se croisent et l'annonce d'un 6ème ne fait aucun doute ! Cool
Cet arc naratif se conclut avec plus de questions que de réponses. Les personnages sont trop peu développés et pas aussi attachants ou cohérents que dans les 3 cycles précédents. Malgré un démarrage du cycle plein de promesses, la fin en deus ex machina sans aucune mise en contexte est très décevante.