Avec le Petit Spirou, je perce les mystères des toilettes séparées (d'un côté les madames, de l'autre les monsieurs), tu apprends que les nénés de la mère de Cassius donnent du chocomel (hum, c'est bon), il porte un maillot constellé de croix (que Dieu lui pardonne !), nous marchons sur des croquettes pour chiens mélangées à des craies de couleurs (c'est d'un goût !), vous vous demandez à quoi peut bien servir un concombre (tiens, oui, au fait ?), et ils poussent le cochonnet un peu loin (c'est le moins qu'on puisse dire). Bref, le Petit Spirou et ses copains conjuguent le verbe rire sur tous les tons.
Tu comprendras quand tu s'ras grand !, une nouvelle conjugaison de la verve jubilante de Tome et du trait explosif de Janry.
Le ton est toujours le même, les gags sont drôles mais un tout petit peu moins inspirés que de coutume.