Jérusalem, an 33 de notre ère…
Barabbas, l’ennemi public n°1 est arrêté pour l’enlèvement et le meurtre d’un notable romain. Il a beau clamer son innocence, il sait que son compte est bon. Ponce Pilate, gouverneur de Judée, est trop content de pouvoir enfin mettre ce fauteur de troubles hors d’état de nuire. La sentence ne tarde pas à tomber : Barabbas est condamné à mort. Il sera exécuté sur le mont Golgotha.
Mais le jour venu, contre toute attente, Barabbas est libéré, et un certain Jésus de Nazareth est exécuté à sa place. A croire que les Romains sont tombés sur la tête ! Heureux de ce retournement de situation, Barabbas ne demande pas son reste. Mais il ne le sait pas encore, ce Jésus lui a laissé un encombrant héritage : la culpabilité. Bien décidé à comprendre (et à se débarrasser) de ce sentiment nouveau pour lui, Barabbas se met à la recherche des chrétiens. Il va vite se rendre compte qu’il n’est pas le seul à les chercher.
On l'attendait au tournant, et a-t-il franchi le parapet ? Après une première lecture, on trouve la touche Ratte, un humour moderne qui fait mouche dans ce monde antique. On peut même trouver un passant en train de faire un selfie.
Après une première lecture, je vais être obligé de relire le premier cycle, car l'on croise de nouveau les pères. Bref une bonne lecture et une attente qui débute pour la suite avec la question suivante : David Ratte travaille-t-il pour le Vatican ? (je ne pense pas, ses propos sont plutôt apocryphes que canoniques).
J'ai beaucoup moins apprécié cette suite...
Autant les 3 premiers tomes étaient top et prenant, autant l'histoire de barabbas ne me convainc pas. Toutefois ce n'est pas encore terminé car une suite est attendu. On reste sur une "non fin" moyenne.
Bonne lecture