Impossible pour Le Tueur de couler des jours tranquilles. Et pourtant, après sa dernière étape à Paris, il aspirait à un peu de calme (cf. Le Tueur T2). Malgré toutes les précautions qu’il n’a cessé de prendre le voilà pieds et poings liés, au moins pour un moment ; obligé d’acquitter une drôle de dette contractée – Ah!, s’il avait su... – envers un gros ponte de la Mafia colombienne. Le Parrain sait à qui il a affaire. Le Tueur pourra lui rendre de bons et loyaux services. Le Tueur, quant à lui, peut se permettre d’accepter de nouveaux contrats : ses conditions sont respectées. Ce n’est pas parce qu’il change de patron qu’il change ses principes. Et puis comme ça, il peut continuer à voyager, à mettre de côté des sommes substantielles. En gardant le contrôle, en restant toujours seul, même quand il est bien accompagné. Le Tueur change de patron, pas de principes. Rester vigilant, ne pas attirer l’attention, s’adapter, peu importe le commanditaire puisque le boulot reste le même. Mais cette dette, elle n’était pas prévue au programme...
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