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Le scénario sans être ahurissant tient bien la route. Arleston trouve un bel équilibre entre plusieurs trames de l'histoire de fond, les situations imprévues, l'humour et les différents personnages.
Les différentes trames de l'histoire de fond qui n'ont pas vraiment l'air d'être reliées entre elles, même si elles sont amenées d'une manière plutôt frontale restent à la fois mystérieuses et arbitraires. Espérons que les auteurs ont une (ou plusieurs) idée derrière la tête, et savent exactement où tout cela va nous mener.
Les situations imprévues à la sauce jeu de rôle, qui n'ont pas vraiment de liens avec l'histoire mais qui mettent nos héros dans des situations compliquées.
L'humour, lui est digne des premiers instants et n'est plus un prétexte pour dédier toute une planche pour un jeu mot moyen.
Les personnages qui arrivent à exister, à prendre une place importante dans la structure de cet nouvel arc narratif.
J'ai eu un peu peur au début avec l'arrivée de la nouvelle Cixi puis de sa disparition complète de l'histoire. Finalement ce n'est pas plus mal comme ça.
Au niveau graphique, le travail de Tarquin reste remarquable de tome en tome.