Une enquête au féminin Bruxelles, quartier de Saint-Gilles, fin du XIXe siècle. Le commissaire Fourier a fait appel à l'intuition féminine de Mélina Grevesse pour l'aider à boucler une enquête sur laquelle il piétine depuis trop longtemps. Il s'agit de mettre la main sur un tueur en série qui compte déjà une vingtaine de jeunes filles à son morbide tableau de chasse. Ses deux dernières proies ont été Amélie et Ève, deux ex-prostituées entrées récemment – et curieusement – au service des Declercq, une famille de notables bruxellois. La première est morte. La seconde est portée disparue. Mélina parviendra-t-elle à mettre un terme à ces crimes à répétition et à gagner ainsi définitivement ses galons d'enquêtrice de charme ?...
Un scénario simple, voir simpliste, rendu compliqué par le style narratif. Les personnages sont lisses et on ne s'y attache à aucun moment.
Toute la partie sur la révolte sociale passe rapidement à la trappe, sans aucune forme de conclusion. Cela valait bien la peine de l'introduire au tome précédent.
Il reste le dessin de bonne facture, mais qui ne parvient pas à sauver cette série.