Commençons tranquillement par mettre les points sur les «i» : Atrabile (A-T-R-A-B-I-L-E), ça c’est le nom de notre ch’tite maison d’édition à nous, et Bile Noire (B-I-L-E N-O-I-R-E), c’est le nom de la revue que l’on publie plus ou moins régulièrement (cf. quelques lignes plus loin au sujet de la périodicité). Tout ça peut paraître bien évident, sauf que lorsqu’on voit certains articles ou lettres qui nous sont adressées, il y a de quoi se poser des questions. Entre Bile Noire qui se transforme tout un coup en Bile tout court, ou qui se retrouve propulsé maison d’édition, et Atrabile qui devient Atrabiles, Atrabils, Astrabile, Artabile, Atra Bile, Intrabiles (l’est pas mal çui-là) et la liste continue, on se dit que quand même, y a un truc qui se passe, là. Bien sûr, on est les premiers à savoir que «tout le monde peut se tromper». N’empêche, n’empêche. Pour un peu, on en viendrait à douter du soi-disant «professionnalisme » de certains journalistes et festivals.
Maintenant ce problème réglé, le monde va enfin aller mieux, n’en doutons pas.
Bon ben c’est pas tout ça, mais pour nous les vacances (tardives) arrivent tranquillement, et c’est donc avec l’esprit déjà un peu ailleurs que s’est effectué le bouclage du présent numéro (et puis ça nous fera une bonne excuse en cas d’excès de coquilles).
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