Venus en Égypte à l'invitation de Senoris, Alix et Enak sont amenés jusqu'à l'ancien sanctuaire de Ramsès III où ils découvrent leur ami emprisonné. Alors qu'il était vizir, un homme étrange accompagné d'un guépard lui avait révélé l'emplacement du trésor de la reine Hatchepsout. Le pharaon Ptolémée XIII, âgé de 13 ans à peine, l'avait alors fait arrêter et torturer. En vain. Désormais suspectés de connaître le secret, Alix et Enak sont arrêtés à leur tour et soumis au supplice de la croix. Systématiquement opposée à toutes les décisions de son frère et époux, Cléopâtre les fait délivrer, tentant d'obtenir par la douceur ce que la torture n'a pu accomplir. C'est alors que surgit Qâa qui les aide à fuir après avoir endormi les gardes. Enak et Alix sont amenés près d'une grotte dont le puits est alimenté par la nappe phréatique sur laquelle est bâti le sanctuaire de Ramsès III, ce qui leur fournit une idée pour délivrer Senoris. Après que Qâa leur a montré un des plus extraordinaires secrets de l'Egypte, l'orichalque - minerai céleste diffusant une lumière éblouissante, dont il a pu s'emparer -, les deux amis décident de remonter le cours des eaux jusqu'aux souterrains du temple. Mais les eaux du Nil sont en crue ; il faut se hâter. La progression se révèle périlleuse et pleine d'embûches. Enak et Alix échappent de peu à la noyade. Pendent ce temps ont lieu les grandes fêtes de l'Opet. Cléopâtre s'est arrangée pour évincer le Pharaon, perpétuellement ivre mort ...
Pour la troisième fois, Jacques Martin nous replonge dans l Egypte antique à la cour de Ptolémée XIII et de sa soeur Cléopâtre. Les dialogues sont longs et parfois inutiles. L intérêt historique est absent. Le dessinateur Moralès apporte au dessin une lumière qui sauve l album.
Une histoire sans queue ni tête, un dessin, certes fourmillent de détails, mais approximatif dans le dessin des personnages, les proportions des corps sont mal évaluées, cet album n'est pas une grande réussite, dommage.