Au départ, l’idée des tranches de ville était de décrire, en caricaturant, des personnages, des lieux et des scènes typiquement dieppoises. Et puis, parmi les acteurs s’est imposée madame Pucq (pas encore Polète, mais déjà acariâtre), une mamie et son petit chien Kiki. Elle est donc naturellement revenue en héroïne en perdant son nom et se faisant un prénom en référence à un célèbre quartie dieppois : le Pollet ! Graphiquement, notre mamie a évolué au fil des albums. seul son mauvais caractère est resté inchangé et c’est tant mieux car c’est ce qu’on préfère chez elle.
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