Un incendie ayant ravagé l'hôtel où ils s'étaient installés, Jeremiah et Kurdy se retrouvent au milieu de la nuit, seuls rescapés du désastre, mais sans leurs précieuses motos désormais réduites à l'état de barbecue. La présence de miliciens les pousse à quitter les lieux sans demander leur reste... même si la trogne reconnaissable de Kurdy a tôt fait de précipiter un fourgon à leurs trousses !
Dans leur tentative pour échapper à la case prison, les deux baroudeurs vont mettre le pied sur une propriété privée enclavée dans les reliefs et dont les gardiens sont loin d'être les plus bienveillants à des kilomètres à la ronde. Protègeraient-ils quelque chose d'une immense valeur ? Ou bien quelqu'un ?
Reçus par le maître des lieux, un homme plein de méfiance et de suspicion, Jeremiah et Kurdy ne tarderont pas à découvrir ce qu'il cache ainsi avec tant d'ardeur. Ce trente-sixième tome de la saga Jeremiah annonce une parenthèse suspendue, aux touches délicates dans un monde de brutes voué à l'extinction. Une fois encore, Hermann réussit le savant dosage de l'humour et de la violence, du désespoir et de la beauté, pour un album doué d'une étrange mélancolie.
Pas très intéressant ce volume.
Pour qui voudrait débuter cette série, je déconseille de débuter par cet album.
Mieux vaut relire les premiers qui sont vraiment au top.
Ici, on a l'impression que l'auteur, en panne d'inspiration, a recyclé des petits bouts d'autres de ses histoires, en se disant "Et puis merde, ça fera l'affaire".
Pas pour moi.
très deçu... Et puis m.... à oublier !
J'ai suivi la série Jeremiah depuis le début et me suis arrêté au N°28. Lassitude ou baisse d'intérêt dans les scénarios. Par hasard, chez un bouquiniste,je tombe sur le N°36 et là j'ouvre l'album avec plaisir, ça faisait longtemps que je n'avais pas lu un Jeremiah. Le dessin est toujours bien fait et l'ambiance glauque présente à chaque page,mais au fil des pages la déception est là. J'ai vainement chercher un fil conducteur dans cette histoire. Rien...alors comme le dit si bien le titre : "et puis merde" pour moi cette série s'arrête là.
Très déçu.