La « Rouille » a peut-être fait disparaître toute trace de fer, mais pas celui qui caractérise la volonté de Minerva. Scientifique devenue sorcière aux yeux du monde, elle a juré de retrouver l'homme qu'elle aime. L'homme qui l'aima avant de répondre à l'appel et devenir le Convoyeur.
Ou plutôt... un Convoyeur !
Minerva s'est adjoint les services du Renifleur pour mener à bien sa mission. Mais une femme seule peut-elle faire face à l'inexorable destin de l'humanité, cette multitude au visage unique qu'est le Convoyeur ?
L'histoire est toujours aussi pationnante. Certes, il n'y a plus autant de surprises, ni de rebondissements que dans les épisodes précédents. Et ce n'est pas plus mal,ça permet d'avancer un peu plus dans l'histoire de notre convoyeur et dans celle de ce personnage féminin qui prend de plus en plus la place du héros principal.
Le dessin vif et qualitatif nous plonge rapidement dans cette ambiance post-apocalyptique qu'on apprend à apprivoiser au fur et à mesure des pages.
Je reste persuadé que tout les ingrédients d'une saga majeure sont réunis et que ça sent quand même la série mythique.
Reste à espérer que le scénariste sait où il nous emmène.
je ne suis pas fan de cette série, le fantastique devant ne pas tomber dans l'élucubration. Ok pour la femme araignée et autres mutations telles le(s) convoyeur(s) mais on se perd dans les arcanes du scénario pour savoir qui est qui.