Retour à Paris pour Antoine, Mimile et Juliette. Le plan est simple : ramener Juliette auprès de sa mère, puis filer au Stade de France pour assister au match de rugby France-Australie. C'est du moins ce qui est prévu... Mais, désireuse de voir son père et son grand-père se rabibocher, Sophie les oblige à s'occuper ensemble de Juliette jusqu'au lendemain. Mimile ne peut donc compter que sur Pierrot pour l'accompagner au match. Or, Pierrot l'anarchiste mène un nouveau combat : il s'est engagé en faveur des migrants. Alors vous pensez bien qu'assister à un match opposant la France, qui refuse d'accueillir les migrants, à l'Australie, qui ne pense qu'à les entasser dans des camps, bafouant ainsi les droits de l'homme, c'est hors de question ! Mimile n'a plus pour seule compagnie que ses désillusions... Et si lui aussi était bon pour l'asile ?
Épisode sans vraiment de saveur. L'histoire est simple sans trop d'intérêt. Décevant
Épisode égal aux précédents pour moi. J'ai passé un très bon moment, et derrière l'humour beaucoup de choses font réfléchir sur la vie et la société.
Super moment à lire ce 5 eme album. De bon fou rires et de l'émotion dans cet épisode qui pour moi est le meilleur de la série.
Un très bon cru. Quand la BD peut être le support humoristique mais pertinent d'une cause humanitaire : l'immigration. A offrir aux nationalistes de tous poils.
A l'image de la série, pleine d'humour tout en donnant des sujets très sérieux à réfléchir. Une excellente BD.
J'ai rarement eu des émotions aussi soudaines que puissantes.
Les auteurs en tissant ces liens si puissant depuis le premier épisode arrivent à donner une teinte douce amère à cette série. Evidement le ton est toujours juste, et nos vieux anar' dénoncent avec leur langage fleuri les maux de notre société. Mais en toile de fond, on se retrouve dans une intimité belle et fragile qui donne des émotions et des sentiments avec une palette de nuances formidable.
Quand une image (sans dialogue) arrive à vous faire rire, puis que quatre pages plus loin, une autre vous tire une larme, c'est la marque des tout bons.