Aidés par le Romain Claudius Glarus, Alix et Enak se rendent à Jérusalem pour y rencontrer un inconnu. Ils rentrent en contact avec Hiram Khal, l’homme de confiance d’Oribal qui leur révèle la grave situation dans laquelle se trouve le jeune souverain et la nécessité de se rendre au plus vite à la capitale Zür-Bakal, près de Persépolis.
Après son accession au trône, Oribal, en grand admirateur de la civilisation grecque s’entoura de conseillers et d’artistes grecs, fit ériger des statues à la gloire d’Alexandre le Grand ainsi qu’un temple dédié à la Concorde et Apollon et imposa le port de vêtements grecs à son entourage et à la population.
La construction du nouveau temple ayant exigé beaucoup d’argent, de nouveaux impôts furent levés, ce qui provoqua une révolte du peuple soutenue par le clergé qui estimait que ces changements étaient une insulte à leurs coutumes. Oribal dû s’appuyer sur l’armée qui réprima cet élan dans le sang et maintenant prisonnier dans une spirale de violence, seul Alix dont le prestige auprès de la population est resté intact pourrait le sauver.
Cet album se veut, un peu, la suite de «La tiare d Oribal ». Alix revient à Babylone où il découvre horrifié la tête de son ami Oribal. Alix recherche les assassins. Le dessin est bon et on s amuse à retrouver le détail la tour de Babel, le port d Ostie.