4 mai 1891, Sherlock Holmes disparaît en Suisse aux Chutes de Reichenbach, entraînant avec lui dans la mort son plus grand ennemi, le professeur Moriarty. Pour Mycroft, le frère de Holmes, cette mort est le suicide déguisé d’un homme qui ne pouvait se résoudre à voir son cerveau détruit par la drogue. Malgré les preuves apportées, le docteur Watson se refuse à croire cette version des faits. Il se lance à travers toute l’Europe dans une incroyable enquête qui lui révélera toute l’histoire de Sherlock Holmes et de sa famille. L’histoire de ce tome commence ainsi… Watson est à Pau, dans la demeure familiale des Holmes. Après la découverte d’une aquarelle énigmatique, il se trouve directement mis sur une nouvelle piste, élémentaire selon lui ! Il part donc à la recherche du peintre de cette toile, signée Vernet. De son côté, Wiggins est sur les traces d’un Dudley Parks, médecin pour le moins étrange, dont le passé est lié au père de Holmes. Le détective amateur se retrouve catapulté face à l’indigence oxfordienne et atterrit au cœur d’une manifestation qui dégénère en émeute. Émeute, qui a pour cible le médecin qu’il veut retrouver…
Excellente.
J'ai l'impression de me répéter mais si cela peut pousser certains bdphilistes à se lancer dans la lecture de cette série, alors j'aurais réussi mon pari.
Un petit clin d'oeil à Jack l'éventreur au passage (j'aurais été étonné du contraire, CF commentaire sur le tome 1)
J'espère que le tome 4 ne tardera pas à sortir car je ne me résous pas à devoir attendre longtemps avant d'en dévorer les planches.
Le troisième tome est une autre merveille. Au plus le doute de Watson s'approfondit et au plus le dessin de Cecil s'assombrit. On garde une qualité hors du commun. Il y a un travail historique remarquable quant aux décors, aux costumes et aux diverses ambiances propres à l'époque victorienne.