Le rabbin revient sur un élément ancien, fondateur du principe de départ de la série mythique de Joann Sfar. Le jour de l'enterrement de sa femme, il décide de garder un chat. Le chat. Pour Zlabya. Pour ne pas « être deux ». Des années plus tard, le chat se mit à parler. Un événement hors du commun qui questionna le rabbin sur sa foi, ses croyances, autant qu'il joua un rôle dans le désir de liberté et d'indépendance de la jeune Zlabya.
Aventure située entre les tome 1 et 2.
C'est toujours aussi bon. Autant en termes de dessin que de scénario. Ce chat continue à nous interroger sur notre rapport au monde, aux autres et à nous même. Il interroge notre libre arbitre et nous permet de prendre de la hauteur et ça fait du bien.