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IRON-MAN MARVEL NOW T04 Poche – Illustré, 8 juin 2016
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- Nombre de pages de l'édition imprimée136 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurPanini
- Date de publication8 juin 2016
- Dimensions17.5 x 1.4 x 26.5 cm
- ISBN-102809455589
- ISBN-13978-2809455588
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Description du produit
Biographie de l'auteur
Auteur de bandes dessinées. Pseudonyme de Benedito José Nascimento.
Détails sur le produit
- Éditeur : Panini; Illustrated édition (8 juin 2016)
- Langue : Français
- Poche : 136 pages
- ISBN-10 : 2809455589
- ISBN-13 : 978-2809455588
- Poids de l'article : 600 g
- Dimensions : 17.5 x 1.4 x 26.5 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 694 320 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 7 967 en BD Heroïc fantasy
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- Avis laissé en France le 16 juin 2019L'histoire est des plus décevante et complètement vide d'intérêt, de plus, il y a pleins de passage on ignore qui parle, car la bulle est un simple rectangle, mais des fois c'est Tony qui parle dans sa tête, des fois c'est l'IA de l'armure et des fois c'est un personnage hors champ. Problème, les bulles sont toutes identiques ! J'ai détesté lire ce Tome tout comme les suivants. Je ne recommande pas, surtout si vous êtes fans d'iron man, la déception sera encore plus grande.
- Avis laissé en France le 14 juin 2016Ce tome contient les épisodes 18 à 22 et 20.INH, initialement parus en 2014, tous écrits par Kieron Gillen. Les épisodes 18 à 22 ont été dessinés par Joe Bennett et encrés par Scott Hanna. L'épisode 20.INH a été dessiné par Augustin Padilla et encré par Scott Hanna.
Le récit commence avec une séquence située 30 ans dans l'avenir au cours de laquelle Tony et Arno Stark contemplent ce qu'ils ont accompli. De retour dans le présent, Arno et Tony échangent pour savoir quelle direction donner à leur association, quelle œuvre entreprendre. À Londres l'un des anneaux du Mandarin apparaît à la journaliste Abigail Beryl Burns (surnommée Red Peril) lui proposant d'être son outil pour dénoncer les exactions de Tony Stark. L'objectif de son prochain reportage est tout trouvé : Tony Stark a annoncé qu'il achetait l'île sur laquelle le Mandarin avait construit son royaume, pour la rénover et inventer la ville du futur. Épisode 20.INH - Dans le cadre de Inhumanity (provoqué par Black Bolt dans Infinity), un autre anneau du Mandarin apparaît à Victor Kohl (Exile) dont le père et le frère viennent d'être recouverts d'un cocon, indiquant qu'ils appartiennent à la race des Inhumains.
Quelle étrange sensation que celle ressentie à la lecture de ces épisodes. Ça commence par les couvertures de Paul Rivoche, à l'encrage un peu pâteux, réalisant des images porteuses de symboles semblant provenir des années 1960 : cette écriture lumineuse dans le ciel, des poings rageusement levés, une cité du futur rutilante aux détails peu précis, une main en gros plan porteuse d'un anneau, le héros se détournant de son armure abîmée, autant d'images datées.
Cela continue avec les dessins de Joe Bennett qui a levé le pied sur ses influences Jim Lee et Marc Silvestri, pour simplifier ses traits et se rapprocher de l'esthétique de Greg Land (en moins épuré, et moins séduisant). Les expressions des visages semblent toutes un peu forcées. Le découpage des planches se calquent servilement sur un empilage de 4 ou 5 cases de la largeur de la page la majeure partie du temps. Bennett utilise beaucoup les gros plans pour éviter d'avoir à passer trop de temps sur les décors. Il remplit les 2 tiers de la case de la largeur de la page avec un unique visage. Il y a régulièrement des pages avec seulement 3 cases, ainsi que des doubles pages avec une image principale occupant les 2 tiers de la double page et 5 ou 6 petites cases en bas. Les postures des personnages manquent également régulièrement de naturel. Au final les dessins ne sont pas désagréables à lire, ils portent bien leur part de narration, mais il s'en dégage comme un parfum un peu daté et mécanique.
L'épisode dessiné par Padilla bénéficie d'une mise en page moins répétitive, mais il est possible de détecter l'influence graphique des mangas, évoquant là encore une époque datée des comics, les années 1990. Ses expressions de visage ne sont pas plus nuancées et il maîtrise également les techniques permettant de s'économiser sur les décors.
Les 2 artistes bénéficient de la mise en couleurs modernes réalisées par le studio Guru-EFX. Cette équipe utilise l'outil infographique pour établir une couleur dominante par séquence, des dégradés permettant d'ajouter du volume à chaque surface et des effets spéciaux très élaborés (magnifique globe terrestre vu de l'espace). Cet apport significatif bonifie les dessins et leur donne une apparence moderne.
Côté scénario, le lecteur s'interroge également. À l'évidence Arno Stark est là pour rester, au moins tant que Kieron Gillen sera responsable de la série. Le retour des anneaux du Mandarin s'apparente à une panne d'inspiration maladroite. Voyons voir : des anneaux de pouvoir qui recherchent un porteur d'anneau... Ce n'est ni plus ni moins que le principe de base de la série Green Lantern. Voyons voir : des bijoux qui une fois assemblés forment un objet de pouvoir incommensurable... Ça me rappelle vaguement le principe d'un gant muni de 6 gemmes : Le gant de l'Infini.
En surface, ce quatrième tome s'inscrit dans la série B, avec des moyens limités, c'est-à-dire un glissement vers la série Z. À la découverte de l'intrigue, le lecteur constate que Kieron Gillen a conçu un récit bien pensé, en adéquation avec le personnage de Tony Stark. Avec un peu de recul, il s'aperçoit que les agissements de Stark présentent le degré d'intelligence correspondant au personnage. Pour commencer, Arno et Tony Stark effectuent des simulations complexes pour estimer les conséquences de leur projet à moyen et long termes. Ensuite, Stark a à cœur de faire quelque chose de constructif avec les moyens dont il dispose, en utilisant toutes ses capacités intellectuelles. En outre le lecteur découvre que pour les missions de faible importance, Stark a recommencé à utiliser des drones commandés à distance qui pilotent des armures d'Iron Man, Stark se réservant les interventions les plus complexes pour les exécuter en personne. Stark ne se contente pas de répondre aux situations d'urgence, il est proactif, avec une stratégie réfléchie.
Le personnage d'Abigail Burns est ambigu dès le départ, journaliste engagée dénonçant les abus, mais aussi limitée par sa posture de critique, ayant des difficultés à s'engager dans la proposition constructive, voire à y participer. La révélation finale de l'adversaire à venir d'Iron Man peut sembler trop en décalage avec la série, mais fait référence aux histoires racontées par Matt Fraction dans la précédente série.
En surface, ce tome d'Iron Man semble basculer de la série B vers la série Z, du fait d'un dessinateur pas toujours inspiré, et d'un scénariste qui effectue de gros emprunts à la série Green Lantern (3 étoiles). Avec un peu de recul, il est possible d'apprécier l'inventivité et la pertinence dont fait preuve Kieron Gillen qui propose une aventure au long cours originale et taillée sur mesure pour le personnage de Tony Stark.