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Caroline Baldwin, n° 2 : Contrat 48-A Relié – 1 mars 1998

5,0 sur 5 étoiles 3 évaluations

Le bilan est lourd. Quatre morts. Une femme, deux enfants et le seul témoin dont Caroline Baldwin disposait dans l'affaire " Mike Ford ". Ce carnage à l'entrée d'un fast-food a suffi pour que le FBI entre dans la danse. Pas facile de mener une enquête dans ces conditions, même pour Caroline Baldwin qui, malgré une vie sentimentale chaotique et un léger penchant pour la boisson, reste sans doute l'une des plus brillantes enquêtrices de " Wilson investigation ".
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Description du produit

Quatrième de couverture

Quand Caroline décide d'aider son ami Mike Ford à retrouver le mécène qui a subvenu à ses besoins durant toute son enfance passée en orphelinat, elle ne se doute pas du terrible engrenage dans lequel elle a mis le doigt. Au fil d'une enquête mouvementée, Caroline va tenter de faire éclater au grand jour un gigantesque scandale d'expérimentations humaines, le contrat 48 A. Dans l'immédiat après-guerre, le contrat 48 A est un vaste programme visant à connaître les effets sur l'homme du plutonium et d'autres matières. La mère de Mike, morte en couches, fut une des victimes de ce programme. Caroline, pour rester en vie, va devoir se battre seule contre tous. CIA, FBI et politiciens véreux. Assassinats, attentats, trahisons...jusqu'au bout, l'issue du combat sera incertaine.

Biographie de l'auteur

André Taymans est né le 14 juillet 1967 en Belgique. Ce sont les aventures de Petzi le petit ourson, de Tintin et les dessins animés de Disney qui lui donneront le goût de la lecture et du dessin. Sa rencontre à l'âge de 15 ans avec un voisin nommé E.P. Jacobs sera décisive. Durant deux ans, celui-ci lui inculque les astuces, trucs et ficelles du métier. C'est décidé, André deviendra auteur de BD. Après des études à l'Institut St-Luc de Bruxelles, il publie sa première histoire courte dans l'éphémère Tintin Reporter. C'est aux éditions Lefrancq, en 1998, qu'il publie son premier album, une adaptation de L'Homme aux orchidées de Rex Stout. C'est là aussi qu'il fait la connaissance d'André-Paul Duchateau et de Bob de Moor. Celui-ci a succédé à Jacobs et termine Les trois formules du professeur Sato -Tome 2. Duchateau et De Moor l'amènent au Lombard, où ils officient comme directeurs littéraire et artistique. Ce sera Alex Nora avec Borille et Heuvel. Après un passage éclair chez Alpen et Dupuis, il signe avec les éditions Casterman pour qui il dessinera cinq albums des Aventures de Charlotte et quatre albums de Bouchon le petit cochon. Ce n'est qu'en 1996 qu'apparaît pour la première fois Caroline Baldwin dans les pages du magazine À Suivre, série dont il signe le scénario et le dessin et qui deviendra très vite son principal cheval de bataille. Signalons aussi qu'en 2005, André Taymans met son crayon au service du génial Raymond Macherot pour redonner vie à la petite souris Sibylline. La même année, à la demande des éditions Casterman, il termine une aventure inédite de Lefranc, commencée près de 50 ans plus tôt par Jacques Martin.

Détails sur le produit

  • Éditeur ‏ : ‎ CASTERMAN
  • Date de publication ‏ : ‎ 1 mars 1998
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Nombre de pages de l'édition imprimée  ‏ : ‎ 64 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 2203379022
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2203379022
  • Poids de l'article ‏ : ‎ 500 g
  • Dimensions ‏ : ‎ 23 x 0.8 x 30.5 cm
  • Commentaires client :
    5,0 sur 5 étoiles 3 évaluations

À propos de l'auteur

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André Taymans
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Né le 14 juillet 1967 en Belgique. Après des études de bande dessinée à l’Institut Saint-Luc de Bruxelles et de nombreux voyages à travers le monde, André Taymans publie chez plusieurs éditeurs (Lefrancq, Alpen-Humanos, Lombard, Dupuis, Bayard, Glénat…).

Début des années 90, il dessine pour la jeunesse les aventures de Charlotte et de Bouchon le petit cochon, deux séries publiées par les éditions Casterman.

Pour la revue Okapi de Bayard Presse, il crée Les Tribulations de Roxane, dont un épisode est édité en album en 2000 par les éditions JVDH.

A la demande des éditions Hachette, il redessine l’intégralité des couvertures des Six Compagnons, romans pour la jeunesse de la Bibliothèque Verte.

En 2002, avec la complicité du romancier Patrick Delperdange (Prix Rossel 2005), André Taymans publie Assassine, dans la prestigieuse collection Romans des éditions Casterman. Cet album obtient le grand prix du dessin de la Chambre belge des experts en bande dessinée. Cette même année, il illustre « Toison d’Or », roman érotique de Patrick Delperdange, dans la collection l’Index des éditions JVDH.

En 2006, pour les éditions Flouzemaker, il fait revivre Sibylline, la petite souris créée 50 ans plus tôt par le grand auteur animalier Raymond Macherot.

Parallèlement à Sibylline, il termine pour les éditions Casterman une aventure inachevée du journaliste Guy Lefranc, datant de 1955. La sortie de cet album, intitulé « Le Maître de l’Atome », coïncide avec les soixante ans de carrière de son créateur, Jacques Martin.

Mais son principal cheval de bataille, c’est Caroline Baldwin, héroïne apparue pour la première fois en 1996 dans les pages du magazine « A SUIVRE », série dont il signe le scénario et le dessin. La série récolte de très nombreux prix en Belgique et à l’étranger. Seize albums traduits dans de nombreuses langues (allemand, néerlandais, espagnol, italien, portugais …) se succèdent de 1996 à 2012.

En 2014, André Taymans rejoint l’équipe du Groupe Paquet où il retrouve son héroïne Roxane Leduc pour de nouvelles aventures himalayennes.

« Capable de passer facilement du genre enfantin aux créations destinées aux adultes, André Taymans s’affirme comme l’un des principaux représentants de la bande dessinée belge contemporaine. » Dictionnaire mondial de la BD, Larousse.

www.andretaymans.com

Commentaires client

5 étoiles sur 5
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Meilleures évaluations de France

  • Avis laissé en France le 28 mars 2018
    Ce tome fait suite à Moon River (1996) qu'il n'est pas indispensable d'avoir lu avant, mais ce serait dommage de s'en priver. Il est paru pour la première en 1998, écrit, dessiné, et encré par André Taymans, avec une mise en couleurs réalisée par Bruno Wesel. Il a fait l'objet d'une réédition en 2017 dans Caroline Baldwin Intégrale T1: Volumes 1 à 4, édition respectant le format initial. Cette histoire avait fait l'objet d'une prépublication dans le mensuel (À suivre).

    Dans la région du Québec, une guide est en train de faire visiter un village traditionnel huron à un groupe de touristes. Elle les fait pénétrer dans la reconstitution d'une maison longue, où se tient un indien huron habillé en tenue d'époque. Les touristes font des commentaires déplacés et moqueurs sur les indiens qui ne ressemblent pas à des indiens (leur guide) et font montre de leur inculture. Caroline Baldwin observe la scène depuis la fenêtre méprisant cette engeance touristique. Une fois qu'ils ont quitté les lieux, elle va saluer son grand-père, en lui demandant pourquoi il se prête à cette mascarade. Il répond que l'arrière-grand-père de Caroline le faisait déjà et que ça l'occupe depuis qu'il a vendu sa chaîne de motels, le tout en allumant et en tirant sur sa pipe d'un modèle moderne, et pas un calumet. Un peu de temps a passé, Caroline Baldwin revient dans la réserve indienne à l'occasion des funérailles de son grand-père. Après la cérémonie, elle récupère sa pipe et se fâche avec son oncle qui a repris la chaîne de motels.

    À cette occasion, Caroline retrouve également Mike Ford, orphelin qui venait passer ses vacances avec eux quand ils étaient enfants, handicapé en fauteuil roulant. Il lui demande une faveur : retrouver l'individu anonyme qui a payé pour ses études pendant toute son enfance. Caroline accepte et elle commence son enquête en se rendant à l'orphelinat où elle est accueillie par le directeur Cook qui lui indique qu'il ne dispose d'aucun renseignement, les dons étant effectués dans l'anonymat le plus complet. Elle se rend alors à l'hôpital abritant le service de maternité où est né Mike. Elle se fait mal recevoir par la femme à l'accueil, mais un stagiaire a entendu leur conversation et lui propose un accès à un ordinateur pour interroger la base de données, tout en essayant de la draguer. Le lendemain elle se rend à son rendez-vous dans un établissement de restauration rapide, avec le docteur Brown, l'accoucheur responsable de la naissance de Mike.

    Le lecteur est ressorti sous le charme de l'héroïne après sa lecture du tome 1, et enchanté par un polar servi noir, avec une dimension touristique très immersive. Il revient donc bien volontiers pour découvrir la deuxième aventure de Caroline Baldwin. L'auteur reprend les mêmes ingrédients que pour le tome 1 : une enquête, des lieux variés et une héroïne au caractère affirmé. Comme dans le premier tome, elle apparaît nue à 4 reprises : sur son lit en train de chercher le sommeil, et lors de 2 parties de jambe en l'air. Caroline Baldwin continue donc d'être une femme indépendante, gérant sa sexualité comme elle l'entend. De ce point de vue-là, ces 4 scènes participent à établir sa personnalité, et en plus elle est bien faite de sa personne. Taymans ne limite pas son portrait à une jeune femme dessalée aimant la bagatelle. Il montre une personne en bonne santé physique, assez élancée, portant aussi bien des tenues décontractées (jean et camisole de type débardeur, ou short et teeshirt de randonnée), que des tenues plus habillées (jupe droite et chemisier strict). Son langage corporel montre quelqu'un de décidé, capable de prendre le temps de la réflexion mais aussi de passer à l'action rapidement.

    André Taymans complète ce portrait visuel de son héroïne, avec des séquences montrant des moments de sa vie personnelle. Le lecteur en découvre donc un peu plus sur elle. Son ascendance indienne prend de la consistance par le biais de ses liens familiaux, ainsi que par la marchandisation de la culture huronne, que ce soit dans la reconstruction du village traditionnel, ou dans l'un des motel de la chaîne de son oncle, en forme de tipi de pacotille décoré avec des accessoires évoquant l'artisanat huron, mais réalisés industriellement. Les liens familiaux prennent la forme de son affection pour Mike, membre occasionnel de la famille, et pour son grand-père, le lecteur pouvant voir son affliction suite à son décès. Il constate aussi son empathie pour Mike, son chagrin après la tuerie à laquelle elle assiste, son assurance avec son amant (Alan, le barman du Cochon Dingue, se demandant combien de temps celui-là va durer), son aplomb quand elle pose des questions lors de son enquête, sa réaction vive et cassante lorsque le stagiaire se permet des privautés, sa tristesse en apprenant le suicide de l'un des coupables, et l'impact négatif de cette information sur Mike.

    Comme pour le premier tome, André Taymans construit son intrigue sur la base d'une enquête policière. Caroline Baldwin utilise donc la méthode qu'elle affectionne : avancer à découvert et voir comment ça va réagir. C'est ce qu'elle fait avec l'orphelinat, puis avec l'hôpital, et encore avec l'accoucheur. Le scénariste ne prétend pas en faire une détective aux cellules grises exceptionnelles à l'instar d'Hercule Poirot. Pour autant, elle est capable de réfléchir, et le fait systématiquement avant d'agir. L'auteur pimente son récit d'une tuerie et de quelques morts, mais sans se reposer sur le gore ou la violence en lieu et place d'intrigue, et en montrant les conséquences de ces moments sur les individus. Il montre également son héroïne se livrer à des acrobaties à une ou deux reprises, là encore sans tirer la scène en longueur, sans s'en servir comme une béquille pour cacher le manque de scénario. Comme criminel, il a choisi des expérimentations clandestines sur des cobayes non consentants, évoquant de loin des affaires comme celle de l’Étude de Tuskegee (1932-1972) avec inoculation de syphilis. De ce point de vue, l'enquête sert de révélateur à des pratiques abjectes, évoquant une réalité sociale et économique bien réelle, comme dans un polar digne de ce nom. Malgré une fin assez noire, il ne s'agit pas non plus d'un polar totalement désespéré.

    Après la lecture du premier tome, le lecteur revient également pour la dimension touristique des aventures de Caroline Baldwin. Dans l'introduction de l'édition intégrale, Anne Maheys explique que l'auteur a sciemment construit sa série sur la base d'une intrigue policière, avec des séquences dédiées à l'histoire personnelle de son héroïne, et avec une part dévolue à aux environnements où se trouve Caroline Baldwin. Le lecteur retrouve ses dessins à l'allure faussement simplifiée par des traits de contours très propres et très nets, des formes légèrement simplifiées et épurées, et une mise en couleurs basées sur des aplats. Ces choix graphiques permettent à l'artiste d'inclure un bon niveau de détails dans chaque case, sans qu'elles ne donnent l'impression d'être surchargées. Même si la reconstitution du village huron est opportuniste à visée commerciale, le lecteur en observe les détails, découvrant ou retrouvant des aménagements traditionnels. Les retrouvailles après les funérailles sont l'occasion d'admirer la maison du grand-père sous la neige, ainsi que sa décoration intérieure. Sans aller jusqu'à un niveau de détail photographique obsessionnel, André Taymans s'investit pour rendre chaque endroit unique et typique sans se contenter d'une collection de clichés visuels. Le lecteur prend plaisir à regarder la décoration du restaurant asiatique dans lequel déjeunent Mike et Caroline, l'ameublement du bureau du docteur Cook à l'orphelinat, l'aménagement intérieur de la maison de Caroline Baldwin, ou encore la décoration de la chambre du motel de la chaîne du grand-père. Les scènes en extérieur présentent la même force d'évocation : la façade de la maison de Caroline Baldwin toujours aussi luxueuse, le bâtiment de l'orphelinat avec sa pelouse et le vol des feuilles virevoltant dans le vent, la promenade dans le parc et la course-poursuite sur le pont métallique à haubans au milieu de la circulation.

    Le lecteur arrive dans la dernière partie du récit et découvre 4 magnifiques pages où Caroline Baldwin effectue une randonnée dans la montagne en été. Le lecteur éprouve la sensation de la marche à ses côtés, en progressant le long d'un sentier, en coupant à travers l'herbe, en levant le nez pour voir les installations figées des remonte-pentes, en appréciant la douceur de l'air, et se surprenant à souffler à l'effort au fur et à mesure de la montée. C'est un moment magique où il ressent le calme et l'isolement de sa marche, ainsi qu'une forme d'apaisement à cheminer en solitaire dans un environnement verdoyant et tranquille. Dans l'introduction de l'intégrale, il découvre 2 photographies prises lors d'un repérage effectué par l'auteur pour cette séquence, dans la région de Châtel en Suisse. Il découvre le dénouement dans ce cadre bucolique, et regrette de devoir le quitter.

    Ce deuxième tome confirme les qualités de narrateur d'André Taymans. Le lecteur s'est attaché à Caroline Baldwin, héroïne imparfaite, sujette au vague à l'âme, mais dépourvue de cynisme, prête à l'action, mais réfléchissant avant d'agir, allant de l'avant tout en observant et en analysant. La dimension sociale reste légère, mais elle n'est pas inexistante. L'enquête progresse de manière naturelle, sans recourir à de grosses ficelles, sans reposer sur une capacité déductive relevant du surnaturel. André Taymans réalise des dessins très faciles et agréables à lire, avec une grande attention portée aux détails qui évite tous les clichés visuels et qui emmène le lecteur dans des environnements dignes d'intérêt.
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  • Avis laissé en France le 13 mars 2013
    Rien à redire sur cet achat. De plus l'envoi était conforme et c'était bien une EO.
    Très cordialement et à bientôt , j'esperes pour d'autres achats.
    Frédéric