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La tristesse de l'éléphant Broché – Illustré, 22 janvier 2016
- Nombre de pages de l'édition imprimée80 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurLes Enfants Rouges
- Date de publication22 janvier 2016
- Dimensions22 x 0.9 x 29 cm
- ISBN-102354190824
- ISBN-13978-2354190828
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Description du produit
Quatrième de couverture
Détails sur le produit
- Éditeur : Les Enfants Rouges
- Date de publication : 22 janvier 2016
- Édition : Illustrated
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 80 pages
- ISBN-10 : 2354190824
- ISBN-13 : 978-2354190828
- Poids de l'article : 400 g
- Dimensions : 22 x 0.9 x 29 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 759 897 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 1 490 en Les classiques
- Commentaires client :
À propos des auteurs
Et bien heureusement il devint scénariste, pas dessinateur... Telle pourrait être une belle épitaphe !
Né au siècle dernier au même endroit que Napoléon, je n’ai de commun avec lui, outre l’origine (et la taille ?), que le fait d’être monté à Paris. Pas par rêve de grandeur, par amour et pour enseigner…
J’ai été élevé à Récré A2 et regrette la disparition de Goldorak et ses amis, même si les Chevaliers du Zodiaque m’ont maintes fois tenu éveillé des nuits entières.
Mes influences ont été diverses, de « Thorgal » à « Storm » de Don Lawrence en passant par « Gai Luron », « Raymond Calbuth », les « X-Men » de Chris Claremont entre autres…
Mais rien ne surpassera jamais la maestria des « 7 vies de l’épervier », l’œuvre ultime de la BD. Merci Cothias, merci Juillard.
Et n’oubliez pas, comme l’a dit mon illustre compatriote insulaire, « l’imagination gouverne le monde ».
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Commentaires client
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- Avis laissé en France le 20 juin 2018Tres beau visuel, une belle histoire que l'on qualifiera de drame. Un drame poétique et enfantin qui nous tire les larmes. Magnifique et chargé d'emotions
- Avis laissé en France le 27 février 2019Pour l'école
- Avis laissé en France le 28 avril 2021Cette BD m'a tout de suite tapé dans l'œil ! Les traits sombres, le contraste du rouge, le crayonné (ça se dit?) qui donne un petit charme de "croquis". Puis j'ai vu le titre, si mélancolique.
Bon, j'étais amoureuse avant même de le lire, j'avoue tout !
La tristesse de l'éléphant raconte l'histoire d'un petit orphelin qui souffre du regard des autres sur son corps tout en rondeur et de son histoire d'amour avec celle qui saura voir au-delà des diktats de minceur.
On alterne entre l'environnement un peu triste, et dur, de l'orphelinat et celui du cirque et de l'euphorie.
Il y a évidemment un double message dans le titre et dans l'histoire, qui nous fait passer par toutes les émotions imaginables : l'empathie, la colère, la tristesse, la joie, l'excitation, la frustration...
C'est une merveilleuse histoire, qui m'a transportée au point de me faire pleurer (même si on sait tous que j'ai pas la larme difficile) et rire.
Je me suis terriblement attachée au petit garçon qui deviendra un homme, mais pour le reste, je vous laisse le découvrir !
Un seul conseil : foncez le lire, mais préparez les mouchoirs!
Un véritable coup de cœur pour cette petite pépite de douceur, d'amour, de tolérance et de mélancolie
- Avis laissé en France le 6 avril 2016Coup de cœur absolu pour cette BD parue début 2016 !
Au premier abord, la couverture fait penser à un album pour enfant. Il n’en est rien, il s’agit bien d’une bande dessinée, qui peut être lue sans souci dès 12/13 ans, et sans aucune limite d’âge, évidemment !
Un homme de dos, assis devant un feu, avec à ses côtés un vieil éléphant. De face, les défenses de l’éléphant ressemblent à des larmes. C’est la fin, mais la fin de quoi ?
Louis va nous raconter son histoire. Orphelin placé dans un établissement, enfant en surpoids, affublé de grosses lunettes, souffre-douleur de ses compagnons d’infortune, Louis va trouver son bonheur auprès d’un cirque de passage, et plus précisément auprès d’une petite fille, Clara, qui s’occupe de l’éléphant Pégase. Louis ne vit que dans l’attente du retour annuel du cirque. Avec la complicité du surveillant, il passe ses soirées sous le chapiteau et auprès de Clara. Elle aussi vive et facétieuse qu’il est timide et discret. Mais le temps passe, ils se sont trouvés, s’aiment et se marient. Clara accepte de tout quitter pour rester auprès de lui.
Une vie simple et heureuse.
Mais comme quelqu’un le lui a dit un jour : « La vie, c’est des étapes… La plus douce, c’est l’amour, La plus dure, c’est la séparation, La plus pénible, c’est les adieux, la plus belle, c’est les retrouvailles. »
Je n’en dis pas plus, sinon que cette histoire est belle, intemporelle, emplie d’émotions justes, universelle.
Le dessin joue sur un choix restreint de couleurs, un jeu de gris et noir parfois un peu sépia, qu’éclairent le rouge et le bleu dans les moments lumineux. Trois couleurs qui à elles seules expriment une large palette d’émotions et de décors, le bonheur est rouge et bleu. Ce choix est original et très réussi. L’image du papillon traduit à la perfection aussi le chemin de la vie.
Je peux bien l’avouer, j’ai pleuré comme une madeleine, parce que c’est triste (n’oubliez pas le titre), mais parce que c’est avant tout magnifique, les auteurs ont réussi la prouesse d’une histoire intime qui parle à tous et que tous nous garderons au creux du cœur. Un grand bravo.
- Avis laissé en France le 9 septembre 2016Magnifique BD pour tout âge à partir de 10 ans . Un beau cadeau un bon achat pour une super lecture.
- Avis laissé en France le 21 octobre 2017Achetée un peu par hasard lors d'un salon de la bande dessinée car attiré par la beauté des dessins. Au delà du graphisme, l'histoire est également belle. Une bande dessinée finalement à l'image de son auteure, d'une douceur qui réchauffe les cœurs...
- Avis laissé en France le 15 avril 2017« La Tristesse de l’éléphant », c’est l’histoire d’un amour pur entre deux enfants, Louis l’orphelin grassouillet et Clara la jeune circassienne, un amour qui ne fera que se renforcer avec les années. Mais c’est aussi l’histoire d’une complicité entre ce dernier et l’éléphant Pégase dressé par Clara, deux êtres très différents mais avec beaucoup de points communs : un aspect hors-norme et balourd doublé d’un caractère solitaire dicté par les circonstances, dans le cas de Louis le fait d’être rejeté par les autres gamins de l’orphelinat.
C’est un récit assez touchant et plein de tendresse que nous propose ici Nicolas Antona. Ce quadragénaire signe ici son premier scénario de bande dessinée, tout comme Nina Jacqmin, jeune dessinatrice belge qui l’accompagne de ses pinceaux délicats. Son trait rond et sa technique au fusain, limitée au bleu et rouge pour ce qui est des couleurs, viennent souligner le côté intemporel voire presque désuet de l’objet. D’un point de vue graphique, c’est assez unique, et le simple fait de feuilleter le livre retient immédiatement l’attention. L’atmosphère qui s’en dégage fait qu’on ne peut s’empêcher de penser au cinéma expressionniste des années 20-30.
L’histoire en elle-même est extrêmement simple, avec peut-être un goût de déjà vu, et s’apparenterait aisément à un conte poétique destiné à tous les publics. Même si indiscutablement le propos est sincère, certains pourront toutefois y déplorer une certaine naïveté à la limite du mièvre. De même, si l’ensemble est traité avec pudeur, le pathos de certains passages s’avère redondant. Pourtant, les deux points forts, à savoir le style graphique et la tonalité poétique, méritent le détour.