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FAIREST - Tome 5 Broché – Illustré, 5 février 2016
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- Nombre de pages de l'édition imprimée158 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurURBAN COMICS
- Date de publication5 février 2016
- Dimensions17.8 x 1.6 x 26.5 cm
- ISBN-102365778631
- ISBN-13978-2365778633
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Description du produit
Quatrième de couverture
Détails sur le produit
- Éditeur : URBAN COMICS; Illustrated édition (5 février 2016)
- Langue : Français
- Broché : 158 pages
- ISBN-10 : 2365778631
- ISBN-13 : 978-2365778633
- Poids de l'article : 579 g
- Dimensions : 17.8 x 1.6 x 26.5 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 312 410 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 33 563 en Bandes dessinées (Livres)
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- Avis laissé en France le 11 février 2016Ce tome comprend les épisodes 27 à 33 (les derniers de la série), initialement parus en 2014/2015. Il vaut mieux lire ce tome avant d'avoir lu le dernier de la série Fables Adieu. Toutes les couvertures ont été réalisées par Adam Hughes.
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- Épisodes 27 à 32 (scénario de Mark Buckingham, dessins et encrage de Russ Braun, mise en couleurs de Lee Loughridge pour le premier épisode, puis d'Andrew Dalhouse) – Cette histoire se déroule avant le dernier tome de Fables. À la ferme des animaux, Reynard T. Fox régale les autres habitants (les Fables qui ont une apparence non humaine) de ses voyages et de ses aventures. Suite à un faux pas, il est évacué manu militari de la vallée des Loups, et parachuté en Louisiane, où il est recueilli dans une grange par Meghan, une charmante jeune femme, un peu exploitée par son oncle et son cousin.
À la Ferme, la révolte gronde, car les animaux exigent que le maire tienne les promesses du maire précédent Prince Charmant. En particulier, ils exigent que Roberon Cole fournisse des sorts de déguisement à chaque Fable de la Ferme, pour qu'ils puissent quitter son territoire, et se promener à leur guise dans le monde des humains. Il est également question d'un tournesol, d'un hibou, d'un corbeau, d'une araignée.
Cette dernière histoire de grande ampleur de la série offre à Mark Buckingham (dessinateur attitré de la série Fables de Bill Willingham) l'occasion de dire lui aussi adieu à ces personnages qu'il a dessiné pendant plus de 10 ans. Comme Willingham sur la série Fables, il construit une intrigue principale (les enchantements pour transformer les fables non anthropomorphes) autour de laquelle il développe des intrigues secondaires. En fait, il incorpore bel et bien et bien une deuxième intrigue principale qui est celle de Reynard T. Fox. Ce sont ses souvenirs de vacances dans le monde des humains qui déclenchent les manifestations pour les enchantements, mais par la suite il y a 2 intrigues majeures.
Les aventures galantes de Reynard T. Fox permettent à l'auteur d'inclure une scène avec Blanche Neige, et de montrer comment un individu estampillé Fables (un renard qui se transforme en homme) peut s'intégrer dans le monde des humains. Buckingham va dans le même sens que la fin de la série Fables, vers un rapprochement entre ces 2 mondes, ces 2 peuples. Avec ce fil narratif, le lecteur retrouve un peu le ton de la série Jack of Fables. Il est également un peu décontenancé par le caractère que l'auteur donne à Reynard. Jusqu'alors ce renard était un personnage suave et sensible, Buckingham en fait un individu un peu roublard (mais gentiment) et un peu nigaud, un peu en décalage avec ses apparitions précédentes.
Le lecteur suit donc les séquences de Reynard T. Fox avec un regard amusé, mais sans forcément reconnaître le personnage. En parallèle, la tension monte pour réclamer les enchantements, et pour savoir qui les obtiendra. Buckingham étoffe encore un peu ce deuxième fil narratif, avec une enquête policière sur la disparition d'un desdits enchantements, et la présentation de la situation des prétendants aux enchantements. Cela lui offre l'occasion de mettre en scène plusieurs dizaines de personnages des Fables, des plus connus (King Cole, Ozma, Gobe-Mouche), aux plus discrets (Mary et son agneau, les 3 souris aveugles). Il est agréable de retrouver tous ces personnages et de savoir quels animaux de la ferme vont obtenir l'enchantement. Buckingham réalise une histoire à la manière de Bill Willingham, avec une bonne dose d'inventivité. Toutefois, la narration est un peu décousue, l'enquête policière semble arriver juste pour mettre quelques personnages de plus en valeur, sans grand intérêt pour l'histoire principale. Les dialogues ne sont pas toujours aussi sensibles que ceux de Willingham.
Russ Braun a énormément progressé au fil des épisodes qu'il a réalisés pour la série Fables (lors des pauses de Buckingham). Le lecteur a le plaisir de voir des dessins descriptifs avec un bon niveau de densité d'informations visuelles. L'artiste arrondit de manière imperceptible ses contours de manière à les rendre plus agréables à l'œil, sans pour autant en faire des images à destination de la jeunesse. Les Fables non anthropomorphes présentent une apparence sur le point d'équilibre, entre aspect mignon, et expressivité un peu exagérée. Les êtres humains sont réalistes, avec une petite exagération qui les rend intemporels et qui leur permet de coexister avec les Fables, sans hiatus cognitif.
Au fil des pages, le lecteur apprécie particulièrement la forte identité graphique de tous les habitants de la Ferme, ainsi que les expressions très parlantes de tous les personnages. La confrontation entre Reynard T. Fox et Blanche Neige fit ressortir toute la distance qui sépare leur point de vue respectif. Meghan est dotée d'une personnalité qui s'exprime pleinement d'un point de vue visuel, la rendant immédiatement attachante et sympathique. Le lecteur se surprend à sourire devant le langage corporel du Tournesol, qui exprime toute sa mauvaise foi. Il se rend compte qu'il est touché par l'intimité respectueuse existant dans le couple des hiboux, les images montrant toute l'attention prévenante du mari vis-à-vis de sa femme.
Il s'agit d'un des meilleurs travaux de Russ Braun qui étoffe la narration de Mark Buckingham, pour rendre tous ces personnages présents et crédibles sur chaque page. La mise en couleurs de Lee Loughridge est lumineuse et précise, comme à son habitude pour le premier épisode. La mise en couleurs d'Andrew Dalhouse est légèrement saturée, comme à son habitude, avec un soin apporté pour renforcer les volumes de chaque surface, ce qui complémente et complimente bien les dessins de Russ Braun.
Pour cette dernière histoire de la série, Mark Buckingham entremêle 2 histoires principales qui ont le même point de départ (les souvenirs de vacances de Reynard T. Fox), et y greffe de nombreux personnages qu'il prend le temps de faire exister. Les dessins de Russ Braun permettent à tous ces personnages mignons de conte, de s'incarner, en conservant une part de merveilleux, et en existant grâce à un langage corporel et des expressions très justes. 4 étoiles pour l'intrigue rehaussée par les dessins, presque 5 pour la vision enchanteresse et pénétrante de ce monde de Fables.
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- Épisode 33 (scénario de Billl Willingham, dessins et encrage de Megan Hetrick, mise en couleurs d'Andrew Dalhouse) – Cet épisode est consacré à Boucle d'Or, à ses tentatives pour installer le communisme dans différents mondes des Fables, puis de revenir sur Terre.
L'honneur de fermer la série revient à son créateur : Bill Willingham. Il choisit de revenir sur l'un des personnages forts du début de la série : l'indomptable Boucle d'Or. La comparaison avec l'histoire de Mark Buckingham est immédiatement en faveur de Willingham. Pourtant il fait usage d'un artifice narratif massif, dans la mesure où Boucle d'Or parle la moitié du temps à haute voix, racontant sa propre histoire à son avantage, ou donnant l'impression de parfois s'adresser au lecteur. Il s'en suit un décalage humoristique léger entre ce que montrent les images, les réactions des personnages, et la manière dont Boucle d'Or se perçoit elle-même.
Ce léger décalage génère un deuxième niveau de lecture immédiat, très savoureux sur la façon dont chacun d'entre nous se représente intérieurement. Il est possible de voir aussi dans ces aventures, l'histoire d'un individu convaincu du bienfondé de ses convictions politiques, tentant de les faire adopter par des communautés, en pure perte. Le lecteur apprécie la verve du scénariste qui narre tout ça avec un humour légèrement sarcastique des plus savoureux. Enfin cette histoire s'insère dans la continuité, expliquant comme Boucle d'Or a pu faire une apparition dans Fairest in all the land.
À nouveau la mise en couleurs d'Andrew Dalhouse complémente les dessins, en renforçant le volume de chaque élément, toujours avec cette légère saturation qui rend compte du fait qu'il s'agit de personnages et de mondes des Fables. Les dessins de Megan Hetrick présentent un bon niveau d'informations visuelles, et rendent très bien compte du caractère assez particulier de Boucle d'Or. Ils montrent les mondes qu'elle traverse successivement, dans toute leur diversité. Elle s'attache à représenter les environnements, pour bien montrer leurs caractéristiques.
Avec ce dernier épisode, Bill Willingham n'apporte pas une conclusion ou un épilogue à la série Fairest, mais il ramène Boucle d'Or pour un épisode excellent. 5 étoiles. Il a pris le temps et la pagination nécessaire pour apporter une fin en bonne et due forme dans la série mère Fables.
- Avis laissé en France le 5 avril 2021Très bien