
Téléchargez l'application Kindle gratuite et commencez à lire des livres Kindle instantanément sur votre smartphone, tablette ou ordinateur - aucun appareil Kindle n'est requis.
Lisez instantanément sur votre navigateur avec Kindle pour le Web.
Utilisation de l'appareil photo de votre téléphone portable - scannez le code ci-dessous et téléchargez l'application Kindle.
Image indisponible
couleur :
-
-
-
- Pour voir cette vidéo, téléchargez Flash Player
NORTHLANDERS - Tome 1 Broché – 20 mars 2014
- Nombre de pages de l'édition imprimée480 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurURBAN COMICS
- Date de publication20 mars 2014
- Dimensions19 x 4.3 x 28.5 cm
- ISBN-10236577217X
- ISBN-13978-2365772174
Les clients ayant consulté cet article ont également regardé
Description du produit
Quatrième de couverture
Biographie de l'auteur
Cette "abréviation" apparaît lorsqu'un livre a été réalisé par plusieurs auteurs.
Détails sur le produit
- Éditeur : URBAN COMICS (20 mars 2014)
- Langue : Français
- Broché : 480 pages
- ISBN-10 : 236577217X
- ISBN-13 : 978-2365772174
- Poids de l'article : 1,7 Kilograms
- Dimensions : 19 x 4.3 x 28.5 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 342 972 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 35 059 en Bandes dessinées (Livres)
- Commentaires client :
Commentaires client
- 5 étoiles4 étoiles3 étoiles2 étoiles1 étoile5 étoiles56%33%6%5%0%56%
- 5 étoiles4 étoiles3 étoiles2 étoiles1 étoile4 étoiles56%33%6%5%0%33%
- 5 étoiles4 étoiles3 étoiles2 étoiles1 étoile3 étoiles56%33%6%5%0%6%
- 5 étoiles4 étoiles3 étoiles2 étoiles1 étoile2 étoiles56%33%6%5%0%5%
- 5 étoiles4 étoiles3 étoiles2 étoiles1 étoile1 étoile56%33%6%5%0%0%
Les avis clients, y compris le nombre d’étoiles du produit, aident les clients à en savoir plus sur le produit et à décider s'il leur convient.
Pour calculer le nombre global d’étoiles et la ventilation en pourcentage par étoile, nous n'utilisons pas une simple moyenne. Au lieu de cela, notre système prend en compte des éléments tels que la date récente d'un commentaire et si l'auteur de l'avis a acheté l'article sur Amazon. Les avis sont également analysés pour vérifier leur fiabilité.
En savoir plus sur le fonctionnement des avis clients sur AmazonMeilleures évaluations de France
Un problème est survenu lors du filtrage des avis. Rafraîchissez la page.
- Avis laissé en France le 24 mars 2025Quel magnifique objet pour commencer … et derrière le style est clairement établi . Dessins , scénario , tout me va ! Bravo !
- Avis laissé en France le 1 octobre 2014Fan de la serie Tv "viking", je voulais prolonger mon plaisir avec Northlanders.
480 pages pour un très bon premier tome pour tout amoureux de récits nordiques. Cela ma vraiment transporté dans le pays des anglo-saxons pour ce premier tome, ce qui ma permis d'assouvir ma soif de viking, avec le sang, la violence,que cette époque.
Vivement la suite !
PS: Très belle édition de Urban comme toujours, prix très correct pour 480 pages !!!!
- Avis laissé en France le 2 mai 2016Je trouvé la BD un peu cher mais vu le pavé et la qualité des dessins et de l'encrage, on comprend tout de suite la raison ! On est loin de la p'tite BD de 10 pages et plus proche de l'encyclopédie.
- Avis laissé en France le 9 novembre 2014très bonne histoire,très bons dessins illustrant très bien le texte , énigme bien menée. facile à lire et à relire .
- Avis laissé en France le 24 avril 2015Urban Comics a choisi de réarranger les épisodes de la série Ce tome contient les numéros 9 & 10, 18 & 19, 1 à 8, 11 à 16, et 41.
-
- Épisodes 1 à 8 (dessins et encrage de David Gianfelice) - En 980 après JC, un navire en aborde un autre pour le piller, au large du Bosphore. Sven (un viking) apprend d'un passager que son père est mort et que son oncle s'est emparé de ce qui lui revient de droit (le commandement d'un village, quelques terres et un vague butin au montant indéterminé). Après avoir passé le messager au fil de l'épée, il décide de rentrer chez lui, dans l'archipel des Orcades situé au nord de l'Écosse. Cet archipel a été annexé par les vikings en 875. Ces îles bénéficient d'une température moyenne de 8°C variant de 4°C en hiver à 12°C l'été. Tout juste débarqué, il se rend dans le village en question appelé Grimness. Il est passé à tabac par les sbires de son oncle Gorm et jeté comme un malpropre sur la grève, son oncle ne souhaitant pas le tuer.
Sven est bien décidé à se venger en mettant à profit ce qu'il a appris des autres cultures durant ses années de voyage, contre ces culs terreux de vikings qui ne sont jamais sortis de leur île. Il croise également le chemin d'une femme étrange qui vit seule et qui manie l'arc avec une adresse quasi surnaturelle.
"Vikings finally done right !" proclame la couverture. Brian Wood (scénariste de tous les tomes de la série) invite le lecteur à plonger dans le monde des vikings en cette fin de premier millénaire. Le premier épisode donne le ton de la série : il sera question d'héritage (pas seulement pécuniaire, mais aussi culturel), sur fond de loi du plus fort avec force coups d'épée et de hache parés à grand renfort de bouclier en bois. Autant le dire tout de suite, j'ai trouvé qu'il y a un fort décalage entre la promesse de couverture et le contenu. En termes d'aventure, cette histoire tient la route.
Le personnage de Sven se développe petit à petit pour une résolution organique qui naîtra naturellement des épreuves traversées. En bon viking, il séduit facilement et le lecteur a même le droit au guerrier qui prend sa compagne, en ayant encore son armure sur soi. Brian Wood joue gentiment et sans en abuser du décalage d'ouverture d'esprit entre l'expatrié et le chef insulaire. Les rebondissements ne sont pas tirés par les cheveux et le lecteur passe un bon moment à découvrir la lutte de Sven pour récupérer ce qui lui revient de droit.
Les illustrations de David Gianfelice se situent dans un registre détaillé sans être surchargé. Il adopte un style adulte, en particulier pour les visages qui n'ont rien d'enfantin ou d'avenant. Il dessine avec un certain talent les paysages désolé de l'île. Les affrontements entre guerriers sont violents et sans pitié, sans que les illustrations ne tombent dans le gore. Il met en avant l'impact des armes (épée, hache, flèche) sur les corps. Il préfère figurer les giclées de sang par des éclaboussures noires, plutôt que de représenter la tripaille à l'air.
Il y a une grande diversité dans les visages. Les décors évoquent chaque ambiance avec aisance. Il construit les scènes de combats à l'arme blanche de manière à impliquer son lecteur et à faire ressentir le bruit, la fureur et le chaos de ces combats. Chaque case est rehaussée par la mise en couleurs intelligente de Dave McCraig qui développe une ambiance tonale très agréable pour chaque séquence.
Et puis, il y a les aspects qui privilégient le sensationnel au détriment des composantes historiques. Par exemple, Gianfelice semble avoir une idée assez vague du climat de l'archipel des Orcades. En particulier l'amante de Sven ne ressent jamais le froid la nuit puisqu'elle l'attend dans le plus simple appareil jusqu'à son retour incertain. Lorsque Sven est laissé avec son seul pantalon sur la grève, les vikings sont persuadés qu'il ne passera pas la nuit ; mais les éléments visuels ne permettent en aucune manière de comprendre la raison de cette conviction.
La narration de Brian Wood se trouve coincée au seuil du récit historique. Il y a quelques éléments qui indiquent qu'il a effectué des recherches pour ne pas raconter de bêtises. Mais aussi il y a des éléments qui sont absents : Wood n'est pas très à l'aise lorsqu'il évoque les croyances religieuses des vikings, l'organisation économique et marchande du village de Grimness est totalement éludée. La probabilité de survie d'une femme seule et indépendante du village, tout en restant à proximité nécessite une grande crédulité de la part du lecteur. D'ailleurs l'incapacité des habitants de Grimness à retrouver Sven sur une île laisse à penser qu'ils ne sont pas très futés et qu'ils sont franchement mal organisés. Et je reste confondu d'admiration sur la capacité de Sven à survivre pendant tout un hiver, sans aucune ressource particulière.
Votre appréciation de cette histoire dépendra donc du niveau de votre attente. Si vous recherchez une bonne histoire d'aventures, ce tome fait l'affaire avec un bon niveau de sophistication et de couleur locale dépaysante. Par contre, si vous souhaitez en apprendre plus sur les vikings, ou un peu de consistance historique et culturelle, vous risquez d'être déçu. 4 étoiles.
-
- Épisodes 11 à 16 (dessins et encrage de Ryan Kelly) - L'action se déroule en Irlande en 1014. Pour apprécier cette aventure, il vaut mieux avoir un peu révisé l'histoire de l'Irlande afin de comprendre la signification historique de la bataille de Clontarf qui se déroule cette année-là et qui oppose Sigtryggr Silkiskegg à Brian Boru. À nouveau, Brian Wood a bien effectué ses recherches sur la période.
Après cette petite révision, vous pouvez vous plongez dans ce thriller. Magnus est un irlandais pure souche qui a décidé de lutter tout seul contre l'occupant de son pays : les vikings. Au début du récit, le seigneur Ragnar Ragnarsson arrive sur le lieu de la dernière exécution sommaire perpétrée par Magnus ; il a été missionné par Sigtryggr pour mettre un terme à la série de mises à mort de vikings installés dans cette région. Il commence par examiner les traces laissées par l'insurgé pour déterminer son mode opératoire et son profil psychologique.
Pendant ce temps-là, Magnus fuit pour aller trouver refuge dans la campagne irlandaise en portant sur son dos Brigid, sa fille, qui panse ses blessures dès qu'ils s'arrêtent. Ils sont bientôt rattrapés par la meute de chiens de la troupe de Ragnarsson. Pendant ce temps-là, les armées irlandaise et viking s'apprêtent à l'affrontement près de Clontarf.
La première histoire ne m'avait pas entièrement satisfait quant à son intrigue et sa reconstitution historique. Cette deuxième histoire m'a happé dès le début par son aspect historique, son mécanisme de course-poursuite et l'utilisation des codes d'un genre que je ne m'attendais pas à trouver ici.
Brian Wood a parié sur le fait que son lecteur s'intéresse un peu à l'histoire des vikings en situant son récit en Irlande en 1014. Pour ma part, j'ai été chercher dans une encyclopédie les détails de la bataille de Clontarf après coup, pour comprendre le sens des scènes s'y rattachant. Pour le reste, il ne s'attarde pas plus que dans le tome précédent sur les conditions de vie à cette époque. Il privilégie l'action et il ne glisse que quelques éléments très secondaires sur la vie quotidienne de l'époque.
Brian Wood bénéficie d'un dessinateur (Ryan Kelly) qui porte une grande attention aux détails des costumes et des habitations. Je ne suis pas certain que tout soit 100% exact (en particulier la trop belle tenue de Ragnarsson), mais il maintient un niveau de vraisemblance très convaincant. Il montre un goût certain pour la campagne irlandaise avec des cases et une ou deux pleines pages qui font honneur à sa nature et qui mettent bien en évidence la faible importance des humains dans ces étendues essentiellement sauvages. Ryan Kelly a également passé beaucoup de temps sur les scènes de bataille qui sont sauvages, barbares et sans pitié. La bataille de Clontarf donne une bonne idée de la violence des affrontements et de l'horreur des blessures.
Brian Wood raconte l'histoire d'un homme décidé à harceler l'occupant par des tactiques brutales consistant à tuer des familles vikings de la manière la plus horrible qui soit, et fuir aussitôt après, pour recommencer plus loin. Magnus est tellement efficace que l'occupant a décidé de dépêcher une troupe pour mettre fin à ses agissements. Wood a pris comme personnage principal un homme doté d'une carrure et d'une musculature impressionnante. Et comme bien souvent dans ces cas-là, Magnus dispose d'une résistance à la douleur surhumaine et d'une capacité à continuer à courir malgré une blessure au mollet peu réaliste. Mais Wood réussit à dépasser ces clichés en faisant de Magnus, une force de la nature crédible.
Là encore, Ryan Kelly joue un rôle déterminant en créant des images qui restent acceptables par le lecteur, sans provoquer de réaction de rejet devant l'impossibilité des faits. Wood et Kelly se complètent parfaitement pour mettre en valeur la virilité des soldats, la brutalité des combats et la farouche détermination des vikings. Les scènes d'action (combat, course, etc.) sortent de l'ordinaire et des clichés visuels inhérents aux comics. Kelly prend le temps d'installer les lieux avec des détails qui les rendent particuliers et qui donnent envie au lecteur de s'y rendre.
Brian Wood ne se limite pas écrire une chasse à l'homme à une époque où les vikings représentaient la civilisation. Il insère dans son récit quelques codes des romans policiers modernes (je vous laisse la surprise de la nature exacte de ces codes). En fait, j'ai été décontenancé au début de découvrir que Ragnarsson s'exprime de manière presque littéraire avec des tournures de phrase anachroniques par rapport à l'époque du récit.
Puis passé le moment de surprise, il s'avère que ce mélange inattendu débouche sur un amalgame harmonieux qui augmente énormément le plaisir de lecture et l'intérêt que j'ai porté à cette traque à l'insurgé. Ce dispositif narratif compense largement l'absence de consistance des pratiques de la vie quotidienne.
Autant le premier tome m'avait semblé un peu fade et parfois manquant de réalisme, autant ce tome repose sur une course-poursuite sans temps mort avec un mode narratif anachronique qui intensifie la tension du récit. Le tout est servi par des illustrations d'un dessinateur impliqué qui ne se contente pas de mettre en images le scénario, mais qui transmet son intérêt pour les paysages irlandais, pour le fracas des armes et les visages marqués par la vie. 5 étoiles.
-
- Épisodes 9 & 10 (Illustrations de Dean Ormston) - En 793, sur l'île de Lindisfarne, un homme élève seul ses 2 fils. Le premier est tout le portrait de son père : un bon chrétien, bien charpenté, doué pour les travaux de la terre et capable avec une épée. Le second est plus jeune et semble traverser une passe difficile dans sa relation avec son paternel. Il s'interroge sur les racines de sa mère qui n'était pas une anglaise.
À un premier niveau de lecture, il s'agit d'une fable assez agréable sur un vilain petit canard dans la famille et sur l'héritage transmis par les parents. Il y a de nombreuses scènes de batailles contre les vikings, bien sanglantes de préférence, même si l'illustrateur ne s'attarde pas sur les blessures. La façon qu'a Brian Wood de décrire ce jeune garçon n'est pas crédible du début jusqu'à la fin. D'un côté Brian Wood en fait un adolescent emporté par une utopie romantique, de l'autre Ormston le décrit comme un gamin d'une dizaine d'années.
Mais Ormston réussit plusieurs visuels impressionnants tels qu'une représentation sympathique de Thor (qui doit plus aux visions de Walt Kelly pour les pochettes de Manowar, qu'à sa version chez Marvel), le pauvre garçon dormant à même le sol avec l'épée à ses côtés, un crâne tranché en deux par une hache, une vision de la ville de Lindisfarne, etc.
Brian Wood développe une opposition bien présentée entre la religion catholique et les croyances des vikings. Ce n'est qu'en regardant dans une encyclopédie que j'ai constaté que la ville de Lindisfarne constitue un symbole fort puisque son monastère a servi de base à la christianisation du Nord de l'Angleterre. En outre le raid décrit dans cette histoire est le plus ancien raid viking connu et cette date est souvent utilisée par les historiens pour distinguer le début de l'époque viking. 5 étoiles, malgré les défauts de personnification.
-
- Épisode 17 (illustrations de Vasilis Lolos) - Sur une plage 2 champions s'affrontent ; ils représentent 2 seigneurs locaux opposés par une ancienne inimitié mesquine oubliée au fil des ans. Les images décrivent le combat, et des bulles de texte évoquent plusieurs thèmes : la fabrication d'une bonne épée, les raisons (peu reluisantes) pour lesquelles l'un et l'autre se sont retrouvés champion de leur clan respectif, la réalité de la condition de berserker, les aspirations des uns et des autres, etc.
Les illustrations optent pour esthétisme très marqué, buriné, creusé par les vents. Les nuages en arrière-plan se confondent parfois avec les mouettes. Le résultat rend bien compte de la brutalité et de la bestialité des coups échangés, ainsi que de l'aspect dérisoire de cet affrontement sous des cieux indifférents.
D'un côté, je suis sensible à la volonté de Brian Wood d'innover, de tenter d'autres formes de narration. De l'autre, il se trouve que cet essai-là ne m'a pas convaincu : le duel détaché des sensations des combattants ne m'a pas passionné, et les réflexions diverses détachées des réalités correspondants n'ont pas réussi à m'impliquer. 3 étoiles.
-
- Épisodes 18 & 19 (illustrations de Danijel Zezelj) - Suite au pillage d'un village, il ne reste que 3 femmes danoises rescapées qui se réfugient dans une ancienne fortification romaine, sur îlot accessible uniquement à marée basse. Elles doivent résister à une cinquantaine de saxons.
Première surprise magnifique : les illustrations de Danijek Zezelj. Il a également collaboré avec Brian Wood sur le tome 5 de la série DMZ (The Hidden War), avec Brian Azzarello sur le tome 2 de Loveless (Thicker Than Blackwater) et sur la minisérie El Diablo. Et il avait mis en images le scénario bancal de Kevin Baker pour Luna Park, pour des visuels envoutants. Il est vrai que son style fait perdre un ou deux degrés d'exactitude historique (les détails des décors perdent beaucoup de crédibilité). Mais en termes d'ambiance, cette attente à ciel ouvert, sur cet îlot isolé par la mer, cette histoire est absolument exceptionnelle.
Brian Wood a construit un scénario solide avec quelques affrontements bien brutaux et une dialectique plus subtile que prévue pour ces femmes résolues à ne pas finir comme esclaves sexuelles, et du coup obligées de réinventer leur place dans l'ordre de choses de ces sociétés patriarcales au possible. 5 étoiles pour une lutte à la limite de l'onirisme et du cauchemar.
- Avis laissé en France le 5 février 2015Le genre BD ne m'avait pas habitué à un tel pavé, près de 500 pages tout de même. Bon ça se lit vite quand même, parce que les scénarios sont plutôt bons et...le graphisme assez indigent, Enfin j'aime pas ce style un peu délavé. On peut rendre l'obscurité des terres du Nord et des âmes, sans tomber dans le glauque, la fureur des combats sans tomber dans les geysers de sangs. Quant aux traits des personnages, un peu caricatural (on nous a quand même épargné les casques à cornes). Dommage, parce que cette compilation d'histoires mettant en scène l'installation progressive des Vikings dans l'Angleterre saxonne et les îles de l'Atlantique nord (Orcades, Irlande) était une approche originale de cette invasion viking qui terrorisa l'Europe du Xe et XIe siècles. Mention spéciale aussi pour la préface et la postface qui apportent un petit plus documentaire intéressant.
- Avis laissé en France le 29 septembre 2014Pas terrible du tout.
On est très loin de l'esprit viking, tant dans le scénario, réduit à sa plus simple expression, que historiquement.
La couverture est trompeuse.
A réservé aux fans de BD à l'américaine, et pour le dessin, là aussi il faut être fan.
Amoureux de BD historiques passez votre chemin.
Je n'ai encore pas fini de lire ce tome 1 tant je n'accroche pas.
Bientôt à vendre d'occasion et comme neuf !