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Les Sept Vies de l'épervier, tome 5 : Le Maître des oiseaux Broché – Illustré, 28 août 1989
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- Nombre de pages de l'édition imprimée48 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurGlénat
- Date de publication28 août 1989
- Dimensions21.5 x 0.8 x 29.3 cm
- ISBN-102723428443
- ISBN-13978-2723428446
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Description du produit
Biographie de l'auteur
Né le 31 décembre 1948 à Paris, Patrick Cothias se retrouve en première année de Philo à la fac de Nanterre en 1968. En 1969, il se fait réformer du service militaire pour incompatibilité caractérielle et interrompt sauvagement ses études pour consacrer deux ans à faire le tour du monde en stop, avec 3 francs six sous en poche. En 1970, il vend ses premiers textes dans le Journal de Téhéran, du temps du Shah botté.
En 1972, de retour au « pays », il fait la connaissance des jeunes Régis Loisel, Serge Letendre, Max Cabane, Michel Rouge, Fabien Lacaf, etc. Il hésite encore entre la plume et le pinceau. A défaut de pouvoir s’entendre avec les « néo-anarchistes » de la jeune presse pseudo-contestataire qu’il juge trop « caca-boudin » (il a déjà donné), il publie ses premiers travaux de bd dans les revues du groupe Fleurus (Gazoline, pour Pierre Guilmard) ainsi qu’aux Editions Vaillant où il devient, sans le vouloir, le faire-valoir de Jean Richard : ce dernier étant censé raconter, en son nom propre, de courtes histoires animalières. En 1975, toujours dans "Pif-Gadget", Cothias écrit la série Les Sandberg avec Alfonso Font. Il scénarise aussi un grand nombre d’épisodes de Sylvio le Grillon pour Philippe Luguy. Il se prête au "Journal de Mickey" pour gérer quelques aventures des neveux de Donald et de l’Oncle Picsou.
Parallèlement, il fait une très courte intrusion dans "Pilote" avec son désormais grand ami Loisel, et dans "Métal Hurlant", tout seul, comme une bête. Toujours avec Loisel, il participe aux Nocturnes et co-signe les scénarios de Norbert le Lézard, pour les éditons Kesselring.
Très accessoirement, à l’occasion d’un concours, il obtient le Grand prix Nicolas Goujon du meilleur dessinateur.
En 1980, il crée Masquerouge pour Juillard, qu’il vient enfin de rencontrer, puis pour Marco Venanzi. Après une collaboration avec "Okapi" (Snark Saga puis Trafic pour Philippe Sternis (Grand prix jeunesse du festival d’Angoulême 86), Force 9 pour Billon, avec la participation de Jean-Claude Forest). Il publie chez Dargaud Orn Coeur de Chien pour Olivier Taffin.
En 1981, il entre aux éditions Glénat où il multiplie les séries, notamment Les Sept Vies de l’Epervier pour Juillard, Le Vent des Dieux et Les Eaux de Mortelune pour Philippe Adamov.
Dans les années 2000, il se fait plus discret dans le domaine du scénario BD, sans pour autant renier ses premières amours. Ainsi, dés 2006, chez Bamboo, il entreprend de publier Le Sceau de l’Ange avec André Le Bras. En réalité, depuis le début du troisième millénaire Patrick Cothias s’est engagé résolument dans l’écriture à quatre mains de quelques gros romans, en collaboration avec Patrice Ordas. Ces titre voient le jour dans les gondoles des libraires, à commencer par Mortelune (2 volumes simultanés), aux Editions Anne Carrière, en novembre 2009.
Après avoir suivi des cours aux Arts Décoratifs de Paris, Juillard entre aux éditions Fleurus en 1974 et commence sa carrière de dessinateur en 1975 avec un western, La Longue Piste de Loup Gris. A partir de cette date, Juillard va enchaîner diverses productions pour Formule 1, Djin, Okapi ou Fripounet telles que Isabelle Fantouri et Les Cathares avec Convard entre 1976 et 1980, ou Bohémond de Saint Gilles en 1976. En 1980, avec Cothias, il entreprend la série qui lui apporte du crédit aux yeux du public : Masquerouge. Puis en 1982, il débute la série Les Sept Vies de l'Epervier qui se situe chronologiquement avant Masquerouge. En 1993, il scénarise et anime Le Cahier Bleu et revient en 1995 avec Plume aux vents, la suite des Sept Vies de l'Epervier. En 1997, il retrouve Convard pour une série d'albums mettant en scène divers personnages de BD : Le Dernier Chapitre, et publie en 1998 dans la revue Bodoï Après la Pluie. Grand Prix d'Angoulême en 1996 et auteur de nombreux ouvrages indépendants comme 75013 Paris, Juillard fait partie des meilleurs dessinateurs réalistes et nombreux sont ceux qui se sont inspirés de son style. Dans l'histoire de la bande dessinée, il y a un avant et un après Juillard.
Détails sur le produit
- Éditeur : Glénat
- Date de publication : 28 août 1989
- Édition : Illustrated
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 48 pages
- ISBN-10 : 2723428443
- ISBN-13 : 978-2723428446
- Poids de l'article : 450 g
- Dimensions : 21.5 x 0.8 x 29.3 cm
- Livre 4 sur 4 : Les Sept Vies de l'épervier
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 342 101 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 2 880 en Bandes dessinées historiques
- 18 354 en Bandes dessinées pour adolescents
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- Avis laissé en France le 13 mai 2018album de BD à couverture cartonnée rigide grand format ancien (1989) présentant le cinquième épisode de la série: "Les sept vies de l'épervier" de Cothias et Julliard;
cet épisode "Le maître des oiseaux" prend place entre "Hyeronimus" et "La part du diable";
dans cet épisode qui débute par l'assassinat du bon roi Henri IV par Ravaillac, le héros justicier blessé est révèlé malgré lui à Ariane, se réconcilie avec son frère et va se jeter dans la gueule du loup à Paris; la charge du masque rouge sera transférée à Guillemot et à Ariane qui, toujours avide d'absolu, dressera un jeune épervier pour remplacer celui tué dans l'épisode précédent;
cette épopée siuée pendant la Renaissance, au graphisme très réaliste et au scénarios travaillés ravira les amateurs de BD historique;
pour ma part, découvrant cette série que je ne connaissais pas et qui me fait à première vue très bonne impression;
cet album cartonné Glénat de bonne qualité ravira les collectionneurs;
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- Avis laissé en France le 5 juin 2015Formater: Broché"Le Maître des oiseaux" est le cinquième des sept tomes de la série des "Sept Vies de l'Épervier", créée et réalisée par le scénariste Patrick Cothias et le dessinateur André Juillard. "Les Sept Vies de l'Épervier" est la première série d'un cycle bien plus vaste dont elle porte également le nom.
Cothias a écrit la totalité du cycle, qui, outre "Les Sept Vies de l'Épervier", comprend aussi les séries "Masquerouge", "Cœur Brûlé", "Le Masque de fer", "Ninon secrète", "Le Fou du roy", "Plume aux vents", "Le Chevalier, la Mort et le Diable" et "Les Tentations de Navarre". De toutes les séries du cycle, Juillard a illustré "Les Sept Vies de l'Épervier", les trois premiers tomes de "Masquerouge" et "Plume aux vents".
Paris, 14 mai 1610. Henri IV vient d'être mortellement blessé de trois coups de poignard par François Ravaillac. Le souverain est emmené en urgence au palais, mais il meurt sur place. Le dauphin Louis est conduit au Louvre. La reine et les ministres, dont le duc de Sully, y sont présents. Louis, âgé de neuf ans, ne réalise pas encore que son père est mort. Le garde Pignerol l'informe que dans un dernier souffle, le roi aurait murmuré le nom de Léonard Langue-Agile, le poète vagabond. Tous en concluent que Langue-Agile est l'instigateur du complot. Germain Grandpin s'effondre et se jette aux pieds du dauphin : n'a-t-il pas échoué à défendre la vie du roi, qu'il avait pourtant juré de protéger ? Furieux, le dauphin ordonne que Grandpin soit mis au cachot et torturé, à la grande satisfaction de Pignerol.
Au même moment, en Auvergne, Yvon de Troïl se remet de ses blessures et de son combat contre le comte de Bruantfou et ses soudards. Il est soigné par le docteur Ciconia, le médecin de campagne que Guillemot a fait venir. Ciconia confie à Guillemot qu'il craint que Bruantfou organise des représailles.
À Paris, le corps du roi défunt est exposé dans une chambre de parade du Louvre. Seuls dans la pièce se trouvent Marie de Médicis, Concino Concini, l'un de ses favoris, Léonora Dori, dite Galigaï, épouse de Concini et confidente de Marie, et Torchepot, le prévôt de police de Paris. La Médicis - car ici, c'est bien elle qui est à l'origine de la manipulation de Ravaillac et de l'assassinat du roi - craint que Ravaillac ne parle sous la torture. Torchepot la rassure et raille les propos de la Galigaï lorsqu'elle prétend qu'il faut se méfier de Langue-Agile, qui serait un puissant magicien. Devant l'insistance de Concini, Torchepot accepte néanmoins de soumettre le poète vagabond à la question.
Pendant ce temps, dans la cour du Louvre, Sully rejoint le dauphin. Le ministre confirme au jeune garçon que son père est bien mort et qu'il est maintenant roi. Ce à quoi Louis lui répond qu'il est trop jeune pour gouverner et que Marie de Médicis assurera la régence...
Peut-être plus que dans tout autre tome, il faut ici faire le parallèle entre les deux intrigues développées par Cothias. D'un côté, le roi est mort, vive le roi. Même si Marie de Médicis devient régente. De l'autre, l'Épervier est "mort", vive l'Épervier. Même si Ariane décide dorénavant pour Guillemot. Le justicier masqué semble libéré de sa malédiction, qui va retomber, sans qu'ils en soient conscients, sur les deux enfants.
L'auteur nous surprend par la maestria admirable avec laquelle il parvient à mêler fiction et réalité et à faire interagir personnages historiques et imaginaires, comme l'illustrent des scènes telles que l'entrevue secrète des quatre comploteurs (Marie de Médicis, les Concini et Torchepot) devant la dépouille d'Henri IV, ou encore la rencontre entre le jeune roi Louis et le justicier masqué au château de Vincennes.
À l'exception de la discussion entre Yvon et le justicier, le scénariste alterne des scènes relativement courtes, ce qui renforce la sensation de simultanéité des actions, crée un sentiment d'urgence et contribue à faire monter la tension.
Malgré quelques fonds de cases expédiés, Juillard maintient la série à un très haut niveau d'excellence graphique. Deux scènes pourront retenir l'attention des lecteurs les plus difficiles : celle où les deux frères se font face à face sous le ciel auvergnat au pied d'une tour en ruine, et celle des douves du château de Fontainebleau, où le dessinateur met en scène tout son art de la perspective.
Ce cinquième tome, dans lequel l'émotion est au rendez-vous, est une réussite. Le premier des sept éperviers, Henri IV, a perdu la vie. Celle du second d'entre eux, Gabriel de Troïl, est encore en suspens. Quant à celles des autres, tout reste encore à jouer.
Barbuz
les-bd-de-barbuz.blogspot.com