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INVINCIBLE IRON-MAN T05 Broché – Illustré, 11 mars 2015
- Nombre de pages de l'édition imprimée312 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurPanini
- Date de publication11 mars 2015
- Dimensions19 x 2.5 x 28.5 cm
- ISBN-102809447675
- ISBN-13978-2809447675
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Description du produit
Biographie de l'auteur
Détails sur le produit
- Éditeur : Panini; Illustrated édition (11 mars 2015)
- Langue : Français
- Broché : 312 pages
- ISBN-10 : 2809447675
- ISBN-13 : 978-2809447675
- Poids de l'article : 1,08 Kilograms
- Dimensions : 19 x 2.5 x 28.5 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 1 423 864 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 20 919 en BD Heroïc fantasy
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- Avis laissé en France le 24 juin 2015Ce cinquième et avant-dernier tome de la collection "Iron-man" par le scénariste Matt Fraction, le dessinateur Salvador Larroca et le coloriste Frank d'Armata regroupe les épisodes #510 à 520 de la série "Invincible Iron-man", ainsi que le très long épisode spécial "Invincible Iron-man annual #1" ("La Mandarin : L'Histoire De Ma Vie"). Tous ces épisodes datent de 2012, excepté l'annual, publié initialement en 2010.
Après les événements survenus dans Fear Itself, Tony Stark traverse de nouveau une période sombre puisqu'il a été aperçu ivre dans l'exercice de sa fonction de justicier. Une brève rechute (justifiée dans Invincible Iron-man Tome 4), mais que ses ennemis vont s'empresser d'utiliser contre lui.
C'est l'heure pour le "Mandarin", l'ennemi historique de notre héros, de resurgir, plus fort et déterminé que jamais...
On prend les mêmes et on recommence : Depuis le début de leur run, la formule du trio Fraction/Larroca/D'Armata demeure exactement la même. Comme une boucle virtuose, Matt Fraction réinvestit à chaque arc narratif le même schéma, mais en l'approfondissant sans cesse, presque comme une mise en abîme narrative. L'exercice se révèle réussi puisque le personnage principal et son entourage y gagnent sans cesse en profondeur, en maturité et en modernité. Et le "Mandarin", qui fait ici son entrée, profite également de ces fondamentaux constamment affinés.
Ce n'est pas la moindre des prouesses, mais Fraction réussit l'impossible en intégrant dans son récit les ennemis les plus minables du justicier en armure dorée, sans toutefois égratigner l'intégrité adulte et artistique de la série ! Des tâcherons ridicules comme "Firebrand", la "Dynamo pourpre", "Mauler" ou "Chemistro" font ainsi partie de la parade sans que leur participation paraisse kitsch ou incongrue, et ce malgré une totale absence de caractérisation autre que leur participation aux combats ! Grâce à un concept toujours aussi innovant (inspiré de Extremis par Warren Ellis), Fraction parvient ainsi à plier ces personnages datés et grotesques à un ensemble complexe et science-fictionnel passionnant, teinté de réflexions sur la technologie et ses dangers, mais aussi ses espoirs !
Toujours sur le même mode feuilletonnesque, voire "soap", le scénariste poursuit les aventures de son héros avec une belle maitrise de fond, respectant ses fondamentaux et innovant toujours un peu plus, jusqu'à en faire une icône fondamentalement moderne, pour un personnage pourtant vieux de cinquante ans !
Rappelons que sous l'égide de Matt fraction, la série s'éloigne des habituels canons de l'univers Marvel pour dévoiler des atours adultes et conceptuels. "Invincible Iron Man" est désormais le terrain d'une extrapolation sur le devenir technologique de notre monde, avec toute une déclinaison de méta-commentaires passionnants quant à cette dimension high-tech. C'est dire à quel point l'on dévie de l'élément super-héroïque pour accéder à la sphère de la science-fiction et de l'anticipation !
Après l'épisode "Fear Itself", connecté au grand crossover du moment, la série retrouve ainsi son intégrité exemplaire puisqu'elle demeure très peu connectée au reste de l'univers Marvel (voir le bref passage où Tony Stark envoie bouler les Avengers afin qu'ils le laissent se débrouiller tout seul !), gagnant ainsi ses galons de fresque auto-contenue.
L'annual mettant en scène les origines du "Mandarin" est un peu déconnecté du reste puisque, outre qu'il soit mis en image par le dessinateur Carmine Di Gianmenico, il se focalise uniquement sur le vilain dans un exercice de style très différent du reste de la série. Matt Fraction a imaginé un récit très original, dans lequel le vilain kidnappe un des plus grands cinéastes au monde afin qu'il mette en image sa biographie. Evidemment, le "Mandarin" va mentir sur toute la ligne et le lecteur sera témoin, dans une succession d'images alternées, de ce qui est vrai et de ce qui est faux !
Le récit est intéressant dans le fond, notamment dans l'exposition de la folie cruelle et meurtrière qui exhale du personnage principal, mais demeure assez laborieux dans la forme, étirant la formule sur un bien trop grand nombre de pages avec une narration en roue libre...
Fidèle à eux même, les responsables de Panini Comics gardent cette habitude insupportable de mettre le mot "Fin" à l'issue du dernier épisode, même lorsque, et c'est le cas ici, il s'achève sur un cliffhanger !
- Avis laissé en France le 28 juin 2016Ce tome fait suite à Fear Itself. Il contient l'équivalent de 2 tomes VO. Les scénarios sont de Matt Fraction et les dessins de Salvador Larocca.
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- Demon (épisodes 510 à 515, parus en 2011/2012) - À Abu Dhabi, 2 attaques simultanées détruisent 2 usines de désalinisation, risquant de provoquer à court terme une pénurie d'eau potable dans la capitale. Blizzard (Gregor Shapanka), un vieil ennemi d'Iron Man, est impliqué dans cet acte terroriste. Tony Stark a payé très cher son implication dans Fear Itslef, sur le plan psychologique. Il revient des forges de Svartalfheim avec Splitlip, un copain qu'il s'est fait là bas, avec qui il va assister à une réunion des alcooliques anonymes, après l'avoir présenté à l'équipe de Stark Resilient. Peu de temps après, Living Laser (Gregor Shapanka) s'attaque à Iron Man en plein jour, dans le cadre d'une habile manipulation médiatique. Enfin Stark reçoit une citation à comparaitre devant la justice qui lui réclame les relevés biométriques de l'armure d'Iron Man lors de son échauffourée contre living Laser.
Matt Fraction (scénario), Salvador Larroca (illustrations) et Frank d'Armata (couleurs) ont commencé en 2008 à créer de nouvelles aventures pour Iron Man avec The five nightmares. Ils ont construit une interprétation personnelle de ce superhéros et de ses aventures, tant sur le plan des scénarios que des images. Pour commencer la composante futuriste instaurée dès le premier tome est toujours présente, avec des concepts d'anticipation sortant de l'ordinaire que ce soit du point de vue de l'invention ou de l'aspect visuel. À ce titre, la nouvelle apparence du Living Laser est une réussite.
Ils continuent également de montrer comment la technologie réduit les distances et confère une portée mondiale aux actions de Tony Stark C'est ainsi que dans ce tome, le lecteur voyage d'Abu Dhabi à la province d'Hubei en Chine, pour visiter le barrage des Trois Vallées. La double page de Larroca montrant l'arrivée en plein vol des Dreadnoughts sur ce barrage est impressionnante de majesté, sans pour autant être de nature photographique. D'Armata rehausse discrètement la qualité de l'illustration en insérant la texture de l'eau par infographie.
Coté scénario, Matt Fraction commence à faire converger les différentes intrigues vers un conflit majeur. L'un des ennemis historiques d'Iron Man (revu dans un des tomes précédents) a trouvé le moment propice pour mettre ses plans à exécution. Il est impressionnant de voir comment Matt Fraction a su tirer le meilleur parti du crossover Fear itself (dont il est le scénariste) pour nourrir la série d'Iron Man de manière naturelle. Il continue à insérer des personnages historiques de la série dans ces nouvelles histoires, amis comme ennemis, tout en les dépoussiérant. D'ailleurs, la demi-douzaine d'ennemis de seconde zone sert surtout à l'opposant principal pour déployer son attaque sur plusieurs fronts. Ils n'ont finalement qu'un rôle très secondaire, quelques coups échangés et puis s'en va. Fraction raconte avant tout l'histoire de Tony Stark, et l'évolution de ses valeurs morales. Sous les apparences d'une histoire de superhéros traditionnelle, il se livre à une analyse savoureuse et sophistiqué du personnage. Alors que les combats peuvent sembler superficiels et l'ennemi principal un peu facile par son aspect irrémédiablement méchant, Fraction dresse un portrait nuancé de Tony Stark, en tant qu'individu, dans une narration bien dosée en action, en émotions, en humour et en inventivité.
Larroca et d'Armata ont trouvé la bonne formule pour que les illustrations parfois simples et d'une consistance relative de Larroca soient enrichies par les couleurs pour acquérir la densité nécessaire. L'exemple le plus évident de cette complémentarité reste l'armure même d'Iron Man dont les contours sont assez simples, mais qui acquiert une texture unique grâce aux couleurs. Dans ce tome, Larroca a également l'occasion de relooker une dizaine d'adversaires d'Iron Man pour un résultat savoureux. Il peut à nouveau briller de mille feux en dessinant de belles bagnoles, avec de belles pépées (celle qui délivre la citation à comparaitre). Les apparitions du Living Laser donnent lieu à de magnifiques effets pyrotechniques de la plus belle eau. Alors que Fraction embrasse pleinement le principe de confronter Iron Man à d'autres gugusses en armure, le savoir faire de Larroca permet de donner une apparence différente à chacune de ces armures technologiques. Et c'est toujours un grand plaisir que de pouvoir contempler le petit sourire de satisfaction de Tony Stark chaque fois qu'il sait qu'il a réussi à marquer un point grâce à l'intelligence de ses stratégies.
Décidément Fraction, Larroca et d'Armata ont su traduire leur vision personnelle d'Iron Man en histoires et en visuels remarquables et divertissants. Matt Fraction mène à nouveau une étude psychologique en finesse de Tony Stark, avec des personnages (amis et ennemis) historiques de la série (qui peuvent être appréciés aussi bien par des nouveaux lecteurs, que par des anciens). Son intrigue réserve de nombreuses surprises et quelques personnages inattendus (le transfuge de Svartalfheim). Larroca et d'Armata transcrivent avec conviction l'aspect futuriste des armures technologiques (celle d'Iron Man comme les autres), transmettent les sentiments des personnages dans les scènes de dialogue, et s'offrent quelques vues spectaculaires.
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- Long way down (épisodes 516 à 520 parus en 2012) - À Charlotte (en Caroline du Nord), Iron Man est en train d'intervenir pour mettre fin aux destructions de Firebrand et Crimson Dynamo, quand tout à coup, tout à trac, le gouvernement actionne le dispositif de sécurité qui neutralise l'armure de Tony Stark. Il se retrouve en boxer au milieu de la mêlée alors que les employés en armure Detroit Steel arrivent pour mettre un terme aux agissements de Firebrand et Crimson Dynamo. Le Mandarin fait joujou avec le prototype que lui a conçu Ezekiel Stane. Au sein de Stark Resilient, le traître parachève sa besogne de manière violente. Enfin Tony Stark se rend dans le bureau du général Babage pour capituler, sans condition. Et il apparaît un nouvel Iron Man dans une armure noir & argent, alors que Doug Johnson recommence à faire parler de lui.
Matt Fraction et Salvador Larroca poursuivent leur épure de récit de superhéros, avec un Tony Stark toujours aussi charismatique. Le secret de Matt Fraction est d'avoir fait de Tony Stark un personnage à part entière, avec un vrai système de valeurs, une forte personnalité légèrement arrogante (juste ce qu'il faut) et des convictions. Sa vocation de futuriste (mise en avant dans le premier tome The five nightmares) découle de sa façon de voir la vie : Stark a l'espoir dans l'avenir chevillé au corps. Il ne s'agit pas d'un espoir dans un hypothétique lendemain meilleur, il s'agit de la confiance engendrée par le fait que c'est lui qui conçoit et construit ce lendemain. C'est de cette conviction que naît son arrogance qui peut parfois revêtir l'apparence de la suffisance.
Pour mettre en scène cet individu à la forte personnalité, Fraction a choisi de focaliser son récit sur sa stratégie et ses convictions, plutôt que de passer du temps à étoffer ses ennemis, ou à imaginer des combats toujours plus titanesques. C'est un mode narratif qui peut ne pas plaire au lecteur de comics de superhéros traditionnels. Pour commencer, une bonne partie des supercriminels sont réduits à la fonction de chair à canon, sans réelle personnalité, sans motivation très originale, autre que l'appât du gain, ou être manipulés par le véritable ennemi. Firebrand, Crimson Dynamo, Mauler, ou Chemistro ne sont plus que des noms empruntés à des anciens ennemis d'Iron Man, sans même d'identité civile (quel lecteur se souvient que Galina Nemirovsky est la treizième du nom à piloter une armure Crimson Dynamo ? Depuis quand Firebrand est-elle une femme ? Aucune importance). Même les motivations du Mandarin ne sont pas rappelées. Les seuls criminels à ne pas être réduits à un simple dispositif narratif sont les Hammer (mère & fille) et Spymaster. Fraction a réservé à ce dernier 2 scènes d'anthologie.
Par contre face à ses simples utilitaires narratifs, Tony Stark s'incarne avec une épaisseur rare. Les personnages méritent bien leur appellation de "supporting cast" (littéralement l'équipe de soutien) : ils ne sont là que pour mettre en valeur le personnage principal. À nouveau le lecteur ne peut qu'admirer cet individu déterminé, plein de ressources, fin stratège et doté d'un humour un peu vache, compensé par une saine dérision.
À condition d'apprécier ce type de narration, le lecteur se réjouira de retrouver également le même illustrateur et le même metteur en couleurs, pour le onzième tome d'affilée (en incluant le tome se déroulant pendant Fear Itself), sur une durée de bientôt 5 ans. Larroca s'en tient à sa mise en page majoritairement sur la base de cases de la largeur de la page pour augmenter l'effet cinéma d'action. D'Armata apporte une valeur ajoutée significative à la fois sur les canevas de couleurs (teintes et agencement), mais aussi sur l'incorporation d'arrière-plans par infographie. Dans ces épisodes, Larroca peut se faire plaisir en concevant l'apparence d'une nouvelle armure (la noir et argent) plus crédible dans sa fonction que les modèles précédents utilisés par le même personnage. Il a l'occasion de redessiner les armures de plusieurs supercriminels. C'est également l'une des grandes réussites de cette série. Alors que le lecteur aurait pu craindre une certaine uniformité ou lassitude du fait de supercriminels systématiquement à base d'armure haute technologie, Larroca parvient à toutes leur donner un air de famille qui entérine le fait qu'elle dérive toutes plus ou moins des concepts technologiques issus du cerveau génial de Stark, tout en gardant chacune une identité propre. Les combats présentent tous une lisibilité parfaite, avec un mélange de classicisme (grosses décharges d'énergie, coups de poing brutaux) et d'innovation dans la forme (magnifique combat au dessus de l'eau entre le nouvel Iron Man et Firepower).
Un autre des points forts de Larroca en tant que dessinateur et metteur en scène est le sentiment d'intimité qui se dégage des séquences entre individus normaux. Fraction construit une intrigue où les êtres humains de la vie de tous les jours ont autant d'importance que les individus dotés d'armures high-tech. Larroca a développé un jeu d'acteur pour Tony Stark qui montre avec évidence l'assurance du personnage. Il sait rendre la familiarité qui peut exister entre 2 individus (entre Timothy Cababa et Leonard Pimacher), comme au contraire montrer la réserve, voire la franche inimitié qui peut séparer 2 personnes (comme le général Babage et Tony Stark), ou encore le mépris teinté d'envie de Sasha Hammer vis-à-vis de Stark. D'un coté, il est confortable pour le lecteur de retrouver ces éléments graphiques tome après tome ; de l'autre Larroca ne se repose pas sur ses lauriers et fait l'effort de créer plusieurs images remarquables, par épisode.
L'étau se ressert à nouveau autour de Tony Stark qui met toute son intelligence à concevoir des stratégies pour devancer son adversaire sur les différents fronts d'attaque qu'il a développés. Fraction, Larroca et d'Armata ont créé une vision de Tony Stark qui met en évidence son intelligence et ses valeurs individuelles, face à des supercriminels sans cesse renouvelés (presqu'aussi jetables que des mouchoirs en papier). Fraction et Larroca terminent leur passage sur la série avec le tome suivant.