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THE BEATS Relié – 10 novembre 2011
- Nombre de pages de l'édition imprimée194 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurEMMANUEL PROUST
- Date de publication10 novembre 2011
- Dimensions15.7 x 2.2 x 23.8 cm
- ISBN-102848103744
- ISBN-13978-2848103747
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Description du produit
Un mot de l'auteur
Harvey PEKAR, mort en 2010, scénariste de BD " underground ". Mondialement connu pour son œuvre autobiographique American Splendor, il était également critique littéraire et musical, spécialisé dans le jazz. The Beats est son dernier album de BD.
Ed PISKOR vit à Pittsburgh, en Pennsylvanie. Il a dessiné plusieurs tomes de la série American Splendor. Avec son graphisme en noir et blanc très influencé par la scène underground des années 60-70, il était le dessinateur idéal pour raconter en images la Beat Generation.
Biographie de l'auteur
Détails sur le produit
- Éditeur : EMMANUEL PROUST
- Date de publication : 10 novembre 2011
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 194 pages
- ISBN-10 : 2848103744
- ISBN-13 : 978-2848103747
- Poids de l'article : 621 g
- Dimensions : 15.7 x 2.2 x 23.8 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 405 835 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 41 017 en Bandes dessinées (Livres)
- Commentaires client :
À propos des auteurs
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Commentaires client
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- Avis laissé en France le 18 juillet 2017Formater: ReliéAchat vérifiéCertes on y découvre un peu l'histoire très intéressantes de la Beat Generation, mais on reste trop dans du factuel pas hyper bien raconté à mon goût et les dessins sont malheureusement quelconques: on confond presque les personnages parce qu'ils se ressemblent trop, bof quoi.
- Avis laissé en France le 9 juin 2013Formater: ReliéProduire une anthologie des Beatniks était une bonne idée. Ce mouvement qui a vu le jour dans les années 50 demeure une référence culturelle de poids sur le plan mondial, et nombre d’artistes actuels, aujourd’hui encore, y puisent leur inspiration. Le projet, ambitieux et sans aucun doute sincère, aurait pu être passionnant. Il s’avère juste ennuyeux, et c’est bien dommage.
La moitié de l’ouvrage expose la biographie des trois figures les plus célèbres, Kerouac, Ginsberg et Burroughs, la seconde partie étant consacrée aux seconds couteaux ou à ceux qui ont participé à la genèse du mouvement. Pour les deux tiers, un seul dessinateur, Ed Piskor. Pour le tiers restant, plusieurs dessinateurs dont la sympathie à l’égard des Beatniks paraît évidente, ne serait-ce que par le style graphique peu conformiste et plus ou moins déjanté. Du coup, on se demande pour quelle raison on a confié la main à Piskor pour la majeure partie du projet. Si son trait est soigné, je le trouve par ailleurs assez pataud. Les corps ont l’air avachi et paraissent disproportionnés avec des bras simiesques. Les personnages ont des expressions souvent ahuries, parfois carrément éteintes, et je ne pense pas que ce soit voulu, même si les Beatniks il est vrai avaient tendance à abuser de substances diverses et variées… Le dessinateur se contente de les dessiner, case après case, avec assez peu de fantaisie graphique. On les voit le plus souvent saouls, drogués, colériques ou déprimés… du coup ça devient déprimant… Je ne dis pas qu’il aurait fallu systématiquement enjoliver la vie de ces artistes, mais une telle évocation ne me paraît pas des plus adaptées, le manque de délire et de légèreté y est criant. D’autres dessinateurs de la seconde partie (Summer Mc Clinton, Peter Kuper, Mary Fleener, Anne Timmons) auraient pu produire quelque chose de plus original.
Et pourtant, pas sûr que cela aurait suffit. L’autre handicap de cette anthologie est le texte, omniprésent et beaucoup trop dense, faisant passer le dessin au second plan. On se dit même parfois qu’il aurait été préférable de faire un livre plutôt qu’une BD… En outre, il n’est pas question de faire chavirer le lecteur par des envolées littéraires ou poétiques. Les auteurs se sont bornés ici à raconter les biographies des artistes, glissant çà et là des anecdotes dont certaines sans grand intérêt, énumérant les dates et les faits, point barre. Un vrai boulot de fan. Pour ma part, j’aurais au moins apprécié, par exemple, qu’un ou plusieurs écrits de chaque artiste soit illustré. Cela aurait pu créer des respirations entre chaque biographie. Rien de tout cela, hélas.
J’avoue avoir rarement autant peiné pour lire une BD. Je ressors ainsi très déçu d’une lecture qui recelait pourtant quelques promesses, à commencer par l’objet lui-même assez attractif.
- Avis laissé en France le 28 décembre 2011Formater: ReliéAyant lu de nombreux ouvrages sur le sujet, ce livre est inintéressant au possible ! Je serais même tenté de dire que c'est une arnaque, car il n'y a aucune bibliographie à la fin de l'ouvrage. D'où proviennent les références des deux auteurs ?
Dans cette biographie dessinée, les trois figures de la "Beat Generation" sont réduites à des caricatures.
Kerouac est celui qui est le plus malmené par ce traitement. Il aurait mérité un meilleur rendu.
Les biographies de Charters, Nicosia ou Maher le présentaient comme un écrivain complexe. Ce n'est pas le cas dans cette évocation. Je pensais que cette évocation de la "Beat Generation" était obsolète.