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Best Of - The Punisher, tome 1 : Born Broché – 22 avril 2004
- Nombre de pages de l'édition imprimée70 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurMarvel
- Date de publication22 avril 2004
- Dimensions17 x 0.8 x 26 cm
- ISBN-102845383169
- ISBN-13978-2845383166
Titres populaires de cet auteur
Description du produit
Biographie de l'auteur
Détails sur le produit
- Éditeur : Marvel
- Date de publication : 22 avril 2004
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 70 pages
- ISBN-10 : 2845383169
- ISBN-13 : 978-2845383166
- Poids de l'article : 322 g
- Dimensions : 17 x 0.8 x 26 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 648 890 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 7 684 en BD Heroïc fantasy
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- Avis laissé en France le 18 juillet 2015Ennis et Robertson le super combo qui fait revivre le mythe du punisher de façon bien sombre et violente. Un must en comics!
- Avis laissé en France le 23 décembre 2018La genèse.
Sombre héros que Punisher, ce tome nous dévoile l'origine du personnage. Sur fond de guerre du Vietnam, chaque page nous montre crûment la dure réalité du conflit, les atrocités, les patrouilles dans la jungle, les toxicos, les impérities de la hiérarchie et les noires motivations du punisher. Album noir, ténébreux, des planches sublimes, un dessin qui percute, un très bon numéro.
Aucune échappatoire, aucune rémission ne semblent pouvoir sauver le Punisher de son destin. Seule planche de salut, les quatre dernières pour ses hommes et la dernière de l'album pour lui, lorsqu'il rentre au pays serrant dans ses bras femme et enfants, mais déjà on sent poindre une suite sans équivoque.
- Avis laissé en France le 23 décembre 2009"Born" est une mini-série en quatre épisodes réalisée en 2003 par le scénariste Garth Ennis et le dessinateur Darick Robertson, avec une mise en couleur de Paul Mounts.
Il s'agit d'une relecture des origines du "Punisher", mais dans un cadre réaliste, déconnecté de l'univers des super-héros Marvel.
Garth Ennis revient ici sur le passé du personnage alors qu'il évolue en pleine guerre du Vietnam. L'idée consiste à développer le côté sociopathe de "Frank Castle", comme s'il était un tueur assoiffé de sang depuis le départ, c'est-à-dire avant la mort de sa famille, qui n'aura finalement été que le déclencheur de sa folie meurtrière.
La naissance du "Punisher" s'effectue à présent en amont du massacre de sa famille, pendant la guerre du Vietnam...
Garth Ennis a énormément écrit sur le "Punisher". D'abord avec une dystopie délirante dans laquelle l'antihéros déglinguait tout l'univers Marvel ("The Punisher Kills the Marvel Universe"). Ensuite avec une extraordinaire maxi-série urbaine dans laquelle il annihilait la mafia New-yorkaise ("Welcome Back Frank"), suivie d'une série de près de quarante épisodes (de "L'Île des damnés" à "La conjuration des imbéciles"). Tout ce matériel sera finalement réuni dans le gigantesque The Punisher Omnibus), hélas aujourd'hui épuisé et introuvable...
Puis, après "Born", une nouvelle série verra le jour sous le label Marvel MAX (le label offrant des relectures adultes et réalistes de certains personnages de l'univers Marvel), à commencer par The Punisher : Au commencement..., pour une douzaine de tomes exceptionnels. "Born" constitue ainsi le prologue de cette nouvelle série adulte, réaliste, particulièrement sombre et violente.
Pour finir, Ennis offrira à son "Punisher" encore deux récits sous forme de coda (The Punisher, Tome 14 : La Résurrection de Ma Gnucci et The Punisher : La Fin) et unira même le destin de Frank Castle avec celui de Nick Fury dans Fury MAX tome 2 : A La Guerre Comme a La Guerre.
Comme dit plus haut, "Born" revisite ainsi les origines du Punisher selon Garth Ennis, où ce dernier nous révèle que le bonhomme était déjà un sociopathe avant que sa famille soit massacrée. C'est un point de vue très intéressant, puisque notre "héros" devient dès lors le reflet de notre mauvaise conscience tel le plus flagrant des exutoires ! Sous-entendu : Si quelqu'un massacrait notre famille en la faisant mourir dans d'atroces souffrances, on aurait le droit de trucider les méchants sans avoir à se justifier, et tous les lecteurs du monde entier pourraient se régaler de voir leur crâne exploser et leurs tripes se répandre sur le sol ! L'instinct de mort ne connaîtrait plus de limites !!!
Bien évidemment, tout le talent du scénariste est de ne jamais perdre de vue que malgré tout, l'horreur c'est l'horreur. Ainsi, à la fin, le "Punisher" demeure seul, pathétique et irrémédiablement damné. Du coup, il apparaît comme le miroir de nos pires fantasmes liés à la violence.
Du point de vue de la mise en forme, "Born" est une magistrale démonstration de puissance narrative. Ennis est un grand spécialiste des comics de guerre et il laisse ici libre court à sa passion pour les conflits du XX° siècle et sa capacité hors normes à catalyser la fureur cathartique des combats sanglants.
Pour ce qui est du personnage principal, le scénariste choisit un angle très particulier afin d'accroitre sa dimension monolithique et creuser ainsi le sillon mythologique de la série à venir. Le lecteur suit ainsi deux soliloques distincts : Le premier, inscrit dans des cadres de texte blancs, exprime les pensées d'un troufion du bataillon dirigé par Frank Castle, soit un personnage secondaire assez lisse. Le second, présenté dans des cadres de texte noirs, est énoncé par une entité invisible, jamais représentée à l'image. Ce choix narratif, aussi surprenant que fascinant, apporte au récit un double point de vue à la fois réaliste et discrètement surnaturel, qui illustre en définitive le personnage du "Punisher", au départ une ombre dans son propre récit, sous un angle incroyablement monolithique.
Evidemment, les "soliloques noirs" laissent à penser que c'est le diable en personne qui tente de lier un pacte avec Frank Castle. Ce parti-pris, plutôt surprenant dans le cadre d'un récit soi-disant réaliste, laisse pourtant la porte ouverte à une toute autre interprétation : Effectivement, pris au sens métaphorique, ce pacte ne pourrait-il pas devenir celui que le scénariste selle avec son personnage ? Interprété de cette manière, il est certain que le postulat prend une toute autre dimension...
La partie picturale est réalisée par le dessinateur Darick Robertson et le coloriste Paul Mounts. Le premier, très inégal comme d'habitude (certaines vignettes splendides côtoyant des images navrantes), n'était peut-être pas le meilleur choix pour réaliser ces épisodes et apporte une note trop connotée "comics mainstream", qui dessert un peu le cadre réaliste du récit avec des effets Grand-Guignol. L'arrivée de Lewis Larosa sur le récit suivant ("The Punisher : Au commencement...") sera d'une autre trempe ! Personnellement, je trouve que Robertson est un dessinateur très surestimé et qu'il n'y a que sur la série Transmetropolitan qu'il a été à la hauteur du début à la fin. Heureusement, Paul Mounts rétablit l'équilibre avec une mise en couleur qui brille de mille feux et illustre à elle-seule la folie meurtrière de "Valley Forge", la sanglante bataille qui clôture le dernier épisode de "Born"...
Bref, une interprétation du "Punisher" exceptionnelle et incontournable, réservée à un public averti de par sa violence extrême, mais racontée par un des meilleurs auteurs du monde des comics !
- Avis laissé en France le 31 juillet 2012Ce tome contient les 4 épisodes de la minisérie parue en 2003, et constitue le prologue de la série "Punisher Max".
L'histoire se déroule en octobre 1971, au Vietnam. Une garnison est implantée dans une base appelée Valley Forge. À sa tête, le commandant est écoeuré par la guerre et il a baissé les bras depuis bien longtemps pour taquiner la bouteille. Il refuse la responsabilité de sa charge, la gestion de ses hommes et l'accomplissement des patrouilles dans la jungle. Parmi ses hommes se trouve Frank Castle qui accompli sa troisième période militaire dans cette guerre. Il s'agit d'un soldat à l'implication exceptionnelle. C'est un combattant hors pair doté d'un grand sens du devoir et de qualités professionnelles hors normes. Au cours de ce récit, le lecteur observe les comportements déviants des soldats qui se sont adaptés à la guerre. Ils parient sur les probabilités de survie des occupants d'un avion militaire américain, victime d'un tir de barrage anti-aérien. L'usage de la drogue donne lieu à des transactions peu reluisantes. Les échanges de coups de feu avec les tireurs embusqués se terminent en boucherie. Frank Castle baigne dans son élément et il fait tout ce qui est son pouvoir pour assurer la survie de ses camarades et de cette base en sous-effectif. Mais les ennemis préparent une action d'envergure que les soldats américains n'arrivent pas à découvrir.
Pendant 4 ans, Garth Ennis avait déjà remis le personnage du Punisher en selle dans l'univers partagé Marvel. Tout avait commencé par une maxisérie en 12 épisodes parus d'avril 2000 à mars 2001 (réédité dans The Punisher), suivi d'une série mensuelle (37 épisodes d'août 2001 à février 2004). Avec la série "Punisher Max", l'ambition de Garth Ennis est de profiter de cette branche d'édition (la ligne Max destinée à éditer des comics pour un lectorat plus adulte) pour reprendre le personnage depuis le début et aborder des thèmes plus noirs et plus matures.
Dans ce tome, Ennis souhaite montrer la phase de gestation du Punisher, avant que la famille de Frank Castle soit massacrée à Central Park. Dans la continuité Marvel traditionnelle, il avait été établi de longue date que Castle avait été soldat pendant la guerre du Vietnam (le lecteur l'avait même croisé dans la série The 'Nam - en anglais - racontant cette guerre en comics). Pour ce faire, il oppose la vision d'un soldat encore relativement peu touché par les horreurs inhumaines du conflit aux actions de Frank Castle. En fait le lecteur suit le flux de pensées de ce soldat et un flux de pensées qui semble parler à Castle directement dans son esprit. Enfin, la nature du récit est relativement claustrophobe puisque la narration ne s'intéresse qu'aux soldats américains de cette base. L'ennemi reste indistinct et générique. Sauf que pour ne pas tomber dans le manichéisme des bons américains contre les méchants Viêt-Congs, Garth Ennis prend le temps de montrer les destructions que la guerre leur impose. À part une variante de Fort Alamo chère à Ennis, ce récit de guerre évite les clichés du genre en donnant une vision très noire de l'aliénation de l'être humain commettant des actes de guerre.
Ennis est aidé par les illustrations de Darick Robertson, encré par Tom Palmer. Robertson indique à la fin du tome que son propre père a été soldat pendant la seconde guerre mondiale, ce qui l'a incité à donner le meilleur de lui-même pour illustrer cette histoire. Effectivement, chaque dessin respire l'exactitude historique des tenues et des armements. Il est également visible qu'il a passé beaucoup de temps sur chaque case pour dessiner assez de détails donnant une densité et une matière à chaque décor, chaque personnage. À part pour le degré d'humidité qui n'est pas rendu, pour le reste le lecteur a vraiment la sensation d'y être. Ce qui est un peu plus étrange c'est qu'il a choisi d'inclure de nombreux soldats avec la bouche grande ouverte dans le feu de l'action. Il utilise là un cliché des comics qui détonne un peu par rapport au reste. Darick Robertson dépeint Frank Castle comme un être humain très intense, très polarisé sur les actions à mener. Il illustre parfaitement l'interprétation qu'en donne le scénario. Dans les pages bonus, Robertson montre quelques unes des photos qui lui ont servi de référence, ainsi que quelques crayonnés préparatoires. Il y a également les 2 pages tapées par Ennis pour vendre cette histoire à Marvel.
Ce prologue à la série "Punisher Max" est une histoire très intense en pleine guerre du Vietnam, focalisée sur Frank Castle. Il ne s'agit en rien d'une histoire bonus inutile, mais bien de situations clefs dans l'histoire du personnage, d'éclairages sur les motivations psychologiques de cet individu. Il est même possible de voir dans la scène finale le commentaire d'Ennis sur son personnage : il l'a transformé en machine de guerre. Garth Ennis met ensuite en scène Frank Castle dans son rôle de Punisher dans Au commencement... qui regroupe les épisodes 1 à 6 de la série "Punisher Max".
- Avis laissé en France le 21 février 2006Voici le début de ce qui va s'avérer être certainement la meilleur série consacré au Punisher!
Après une collection 100% Marvel de bonne facture mais quelque peu irrégulière; l'excellent auteur Garth Ennis nous pond une histoire à suivre où le scénario rivalise de qualité avec le dessin.
Et il en sera ainsi pour les deux numéros suivants (le 4 débarque en Mars 2006) qui sont des petits chef-d'oeuvre de comics eux aussi.
Beaucoup plus adulte, plus encré dans la réalité, plus violent aussi, ce Punisher nouvelle cuvée est à marquer d'une pierre blanche.
- Avis laissé en France le 21 juillet 2004Si vous aimez la série des punisher, ce livre est à rajouter à sa collection, car on voit le punisher pendant la guerre du vietnam. C'est toujours aussi bien dessiné, l'humour est toujours le même, bien noir, et le livre se lit très facilement.