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Vengeance Broché – 4 juillet 2012
- Nombre de pages de l'édition imprimée180 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurPanini Comics
- Date de publication4 juillet 2012
- Dimensions17.2 x 1 x 26 cm
- ISBN-102809424993
- ISBN-13978-2809424997
Description du produit
Biographie de l'auteur
Détails sur le produit
- Éditeur : Panini Comics (4 juillet 2012)
- Langue : Français
- Broché : 180 pages
- ISBN-10 : 2809424993
- ISBN-13 : 978-2809424997
- Poids de l'article : 440 g
- Dimensions : 17.2 x 1 x 26 cm
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À propos des auteurs
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- Avis laissé en France le 9 juillet 2012"Vengeance" est une mini-série écrite par Joe Casey et dessinée par Nick Dragotta. Ces six épisodes sont parus initialement entre fin 2011 et début 2012.
Impossible ! Il m'est absolument impossible d'écrire un résumé de cette histoire tant elle est dense, complexe et déstructurée. Il est question de mettre en scène les personnages secondaires de l'univers Marvel, et de leur créer des liens à travers sa continuité depuis la seconde guerre mondiale. Ces liens sont non seulement tirés par les cheveux à l'extrême, mais ils sont en plus très abstraits, systématiquement parasités par une mise forme hystérique bourrée de dialogues branchés et de combats psychédéliques, réalisés par un dessinateur déchaîné mais difficile à suivre.
Je me suis senti très étranger à toutes ces planches surdécoupées, remplies de références à l'histoire éditoriale des personnages secondaires de l'univers Marvel, qu'ils soient anciens ou récents. Malgré le fait que mes nombreuses lectures m'ont permis d'en reconnaître une grande partie, ils sont objectivement trop nombreux et trop télescopés dans une intrigue complètement incompréhensible pour me donner l'impression de lire une véritable histoire.
Alors, dans le désordre, il y a la "Brigade des jeunes", les "Jeunes maîtres du mal", il y a les "Défenseurs", "Lady Bullseye", "Stacy X", l'agent "Jack Truman", "Tiboro", et probablement d'autres que j'ai oublié entre temps. L'essentiel sont des adolescents, d'où une mise en forme très "djeuns". Attention : les couvertures de Gabriele Dell'Otto mettant chacune en vedette un super-vilain emblématique de la "Maison des idées" ne doivent pas nous induire en erreur, car ils n'apparaissent dans le récit que furtivement, uniquement pour participer aux événements de manière détournée, afin d'illustrer un concept bancal et complètement abscons. Réellement, les apparitions respectives de "Magneto", "Bullseye", "Octopus" et "Loki" sont gratuites et factices à l'extrême. Enlevez-les et vous gagnez une dizaine de planches (en tout) qui ne changent strictement rien à l'histoire. "Fatalis" n'est pas plus fédérateur, même s'il est traité différemment (je ne peux rien dire pour ceux qui veulent encore lire cet imbroglio). Il n'y a que "Crâne rouge", intégré au récit à travers divers flashbacks, qui sert à lier les événements depuis la seconde guerre mondiale, pour ceux qui arrivent encore à garder le fil de l'intrigue jusqu'au sixième épisode... A-t-il réellement créé des surhommes méchants depuis ses camps de la mort ? Est-ce pour cela qu'il y a beaucoup de super-vilains aujourd'hui ? Ou bien a-t-il donné vie à ce jeune garçon en forme de "ying et yang" ?
Les lecteurs mainstream purs et durs auront attendu cette mini-série comme le messie. La promesse de lire un crossover auto-contenu (sans devoir lire une quinzaine de séries liées) côtoyant chez les uns l'admiration des autres pour le scénariste Joe Casey, qui recycle ici l'essentiel de son travail éditorial depuis son entrée au sein de la Marvel.
Les lecteurs mainstream purs et durs, toujours eux, apprécieront certainement le ton décomplexé et léger de l'ensemble, souvent humoristique, voire fun. Ils se régaleront probablement de voir s'étendre encore la mythologie de l'univers Marvel jusque dans ses recoins les plus extrêmes, et ainsi se délecteront d'en maîtriser davantage les zones d'ombre.
Certains apprécieront peut-être aussi le style très moderne de l'ensemble, avec les personnages qui échangent des sms (excellente traduction en VF du verbiage ado et ses amputations de mots !), qui remplacent ici la voix-off et les bulles de pensée...
Un lecteur comme votre serviteur, plus enclin aux histoires matures et premier degré, s'est infligé une véritable torture en s'obligeant à terminer une lecture pour laquelle il avait malencontreusement dépensé 13,20 euros...
Le problème est que ces six épisodes sont réservés aux lecteurs les plus chevronnés de l'univers Marvel, et qui n'ont pas peur de se lancer dans une lecture sous acide.
Si vous n'avez pas aimé mon avis et que vous ne partagez pas mon point de vue, merci de venir éclairer ma lanterne en m'expliquant ce que raconte vraiment cette histoire dans la partie "remarque sur le commentaire". Après tout, il n'y a que les imbéciles qui ne changent jamais d'avis... Amicalement.
- Avis laissé en France le 3 décembre 2013Il s'agit d'un récit complet en 6 épisodes, initialement parus en 2011, écrits par Joe Casey, dessinés et encrés par Nick Dragotta, mis en couleurs par Brad Simpson, avec des couvertures de Gabriele Dell'Otto.
C'est à la fois très simple et très compliqué. La version simple : 2 nouveaux groupes composés de jeunes dotés de superpouvoirs souhaitent se tailler une place sous le soleil de l'univers partagé Marvel : la Teen Brigade et les Young Masters.
La version qui exige un peu plus d'attention : du coté des superhéros, la Teen Brigade est composée d'Ultimate Nullifier, Miss America (America Chavez), Angel (Angel Salvatore), Barnell Bohusk (Beak). Cette équipe bénéficie d'un informateur qui est Larry Young (Jack Truman, ex agent 18) un ex agent du SHIELD leur indiquant où aller récupérer des armes ou des prisonniers devant être neutralisés. C'est ainsi qu'ils libèrent une version adolescente de l'In-Betweener. Du mauvais côté de la loi, il y a les Young Masters (of Evil) composés d'Executionner (Danny Dubois), Egghead, Radioactive Kid, Black Knight et Mako. Premier objectif : s'approprier le cadavre de Bullseye. Mais il y a aussi cette histoire de projet de modification moléculaire sur des êtres humains, mené sous l'autorité du Red Skull (Crâne Rouge, Johann Schmidt) en 1944. Il y a aussi l'intervention d'un autre groupe de superhéros (les Defenders, même si ce nom n'est jamais prononcé), sous l'autorité de Kyle Richmond, comprenant Son of Satan (Daimon Hellstrom), She-Hulk (Jennifer Walters), Nighthawk (Joaquin Pennysworth) et Krang (un atlante). Enfin le parcours de quelques uns de ces personnages va croiser celui de 5 supercriminels majeurs de l'univers partagé Marvel.
Dans la courte postface (1 paragraphe), Tom Brennan (le responsable éditorial) explique que cette curieuse histoire trouve son origine dans un point de départ inhabituel. Gabriele Dell'Otto avait réalisé 6 peintures à l'effigie de Magneto, Bullseye, Doctor Octopus, Loki, Red Skull et Doctor Doom et que Brennan a demandé à Joe Casey une proposition d'histoire lui permettant d'utiliser ces 6 portraits comme couverture de chacun des épisodes.
Joe Casey est aussi bien connu pour ses comics pour Marvel et DC, que pour ses créations plus débridées : X-Men, Wildcats, Butcher Baker, le redresseur de torts, SEX (en VO). Dès les premières séquences, il est visible qu'il a pris un grand plaisir avec les jouets Marvel, pour un récit regorgeant de références obscures, et d'une énergie qui n'appartient qu'à la jeunesse. Il est certain que la forme rebutera les lecteurs occasionnels de l'univers Marvel. D'un côté, Casey s'amuse comme un petit fou à retranscrire l'ébullition propre à la jeunesse, surtout dans l'action, le mouvement et l'instantanéité (il reprend même le dispositif des tweets entre personnage, avec pseudos, qu'il avait auparavant utilisé dans Final Crisis aftermath - Dance en VO). D'entrée de jeu, il insuffle un rythme narratif très soutenu, avec une première page consacré à un personnage non identifié prenant un verre dans un bar, puis une double page dans une discothèque avec des tweets de personnages non identifiés, puis une page consacrée à un entretien sibyllin entre Red Skull et Adolph Hitler, et enfin une séquence (relativement) longue (4 pages d'affilée) relatant une intervention de Miss America. Autant dire que l'attention du lecteur est fortement sollicitée pour enregistrer les informations au fur et à mesure, sous une forme loin d'être prémâchée. Évidemment, la compréhension du récit s'améliore petit à petit, dans la mesure où le lecteur finit par discerner les personnages principaux et les retrouver d'une séquence à une autre.
En fonction du lecteur, cette forme de narration pour le rebuter, ou au contraire il pourra le voir comme une transposition habile d'un quotidien dans lequel l'individu est sans cesse abreuvé de flux continus et denses d'informations. Deuxième caractéristique prononcée de la narration : les références très pointues à l'univers partagé Marvel. À l'évidence, ce dispositif destine cette histoire à des férus de cet univers. Il suffit de prendre comme exemple une conversation entre 3 personnages dans un bar dans l'épisode 4. Il s'agit de Kyle Richmond (premier Nighthawk du nom, membre fondateur du Squadron Supreme, et membre historique des Defenders), de Joaquin Pennysworth (cinquième individu à avoir endossé le costume de Nighthawk), et de Larry Truman, un agent du SHIELD apparu une seule fois dans l'épisode 60 de la série "Cable" en novembre 1998. Rien que l'identité de ces individus fait comprendre qu'il s'agit d'un récit pour connaisseurs. Alors qu'ils échangent quelques paroles, ils évoquent un technique tibétaine de permutation d'esprit (qui évoque un tour de passe-passe réalisé par Elektra dans Elektra, assassin), la transplantation d'esprit (épreuve subie par Kyle Richmond dans la série Defenders), la division ExTechOp du SHIELD (toujours dans "Elektra assassin"), et une version encore plus obscure de Deathlok. Il est facile de comprendre que pour un lecteur occasionnel, ou même simplement régulier de comics Marvel, ces propos plein de sous-entendus finissent par agacer, à ce point abscons qu'ils s'apparentent à un amphigouri.
Pour le lecteur chevronné de l'univers Marvel, il s'immerge dans un environnement d'une richesse inouïe, où l'auteur lui rappelle des souvenirs à moitié oubliés, des recoins rarement visités, des facettes laissées de côté. Chaque épisode regorge de ces éléments piochés à toutes les époques de l'histoire de Marvel, depuis l'époque des monstres avant l'avènement des superhéros (Tiboro - la Screaming Idol - contre laquelle se bat Miss America évoque les monstres créés par Steve Ditko et Jack Kirby) aux créations plus récentes (Lady Bullseye ou Kid Loki en VO), en passant par des personnages perdus de vue (Kristoff Vernard). Attention, Joe Casey ne fait pas dans le superficiel, il va chercher des personnages ayant marqué différentes générations de lecteurs, de Beak & Angel (nouveaux personnages apparus dans les épisodes des New X-Men de Grant Morrison) à l'In-Betweener (personnage créé par Jim Starlin et apparu pour la première fois dans la série mythique consacrée à Adam Warlock). Plus fort encore, il est aussi bien capable de retrouver le ton juste pour l'apparition de Lady Bullseye (telle que mise en scène par Ed Brubaker dans ses épisodes de Daredevil), que la dimension métaphysique d'In-Betweener, ou encore le caractère franchement inquiétant du Fils de Satan. C'est du grand art.
Pour mettre en images ces aventures référentielles, Joe Casey peut se reposer sur Nick Dragotta (dessinateur de la série East of West de Jonathan Hickman), dans une veine réaliste simplifiée. Dragotta sait rendre compte de la vitalité et de l'énergie, mais aussi de la morgue et de l'assurance de tous ces jeunes, chacun avec un registre de langage corporel qui lui est propre. Ultimate Nullifier (un nom emprunté par dérision à une arme ultime employée par Reed Richards contre Galactus) se tient comme un chef né, dégageant à la fois charisme et autorité, Miss America se conduit comme une personne invulnérable n'éprouvant aucun doute sur le fait qu'elle peut triompher de toute épreuve physique. Dragotta en fait une jeune femme pleine d'assurance, très séduisante avec un large décolleté, impossible à réduire à un objet sexuel tellement elle pulvérise ses ennemis (en particulier sur le monde de Screaming Idol). Ainsi chaque personnage dispose de sa morphologie propre, de sa coupe de cheveux stylée ou pleine de gel. Black Knight est une frêle jeune femme, avec un goût des plus douteux en termes de chic vestimentaire.
Dragotta réussit un mélange improbable de premier degré et de dérision pour les conventions superhéroïques. En prenant Daimon Hellstrom comme exemple, il est à la fois inquiétant lorsque la moitié de son visage se recouvre de symboles cabalistiques sur fond d'espace infini, signifiant sans ambigüité sa connexion avec des dimensions inhospitalières. Il est à la fois ridicule avec son casque idiot (avec des cornes) et son costume moulant rouge pourvu d'une grande cape. À la fois Dragotta semble dire au lecteur qu'il ne faut pas prendre ces gugusses au sérieux, mais aussi il reste premier degré dans sa façon de dépeindre leurs exploits, le déploiement de leur force physique, etc. À la fois, il n'a pas la prétention de faire croire à une réalité plausible (le lecteur est bien face à des concepts merveilleux et fantastique totalement imaginaires, à destination des enfants petits et grands), à la fois il présente des visions d'une grande cohérence entre elles formant un monde logique. Régulièrement Dragotta épate le lecteur par une mise en page inventive et pertinente à commencer par les lumières de la discothèque jusqu'à la représentation conceptuelle de l'In-Betweener et de la notion qu'il incarne, en passant par les couloirs monumentaux du QG d'Hitler ou la progression irrésistible de Tiboro.
"Vengeance" est une ode à la jeunesse prenant pied dans le monde des adultes et se faisant sa place avec la fougue qui lui est propre. C'est un récit étendant ses racines très loin dans l'histoire et la mythologie de l'univers partagé Marvel, au point d'en devenir un met raffiné pour le lecteur baignant dans ces références, et une histoire absconse et vaine pour le lecteur de passage. C'est un récit conceptuel sur l'entrée dans la vie active, racontée en respectant toutes les conventions les plus absurdes des récits de superhéros, une gageure aussi idiote que réussie, aussi absurde que signifiante, un véritable paradoxe. Joe Casey et Nick Dragotta parlent avec éloquence d'un âge de la vie, dans un langage compréhensible de quelques initiés.
Meilleurs commentaires provenant d’autres pays
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pedro delgado perezAvis laissé en Espagne le 22 mai 2013
5,0 sur 5 étoiles vengeance
hola, el producto este se lo recomendaría a todos los que quieran leer un tomo interesante.
un saludo y hasta luego