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Les Damnés de Paris Broché – 12 mars 2014
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Une ville. Trois destins.
Paris, mai 1869. Constance Desprez arrive de province à la gare Saint-Lazare. Décontenancée par la foule et l’agitation de la capitale, elle parvient à surmonter ses craintes, portée par un seul objectif : retrouver son fils, placé dès sa naissance dans un orphelinat. Pour l’aider dans sa quête, elle s’appuie sur Darius, gavroche espiègle, et sa parfaite connaissance du « Paris populaire », et André Gill, célèbre caricaturiste au journal L’Éclipse qui lui ouvre les portes du « Paris mondain ». Les trois protagonistes sont en scène, le drame peut se jouer, nul n’en sortira indemne…
Michaël Le Galli et Marie Jaffredo se sont inspirés d’œuvres picturales et photographiques de l’époque pour nous offrir le décor plus vrai que nature des Damnés de Paris. Le Paris fascinant de la fin du XIXe siècle et des grands travaux d’Haussmann ; le Paris des impressionnistes et des écrivains, dont Émile Zola sert de référence à cette histoire ; le Paris des débuts de la photographie avec Nadar. Mais aussi un Paris au bord du gouffre, précédant de peu les événements de la Commune, la guerre et le déclin du Second Empire.
- Nombre de pages de l'édition imprimée128 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurVents d'Ouest
- Date de publication12 mars 2014
- Dimensions20 x 1.6 x 26.5 cm
- ISBN-102749306957
- ISBN-13978-2749306957
Description du produit
Biographie de l'auteur
Dès l’enfance, Michaël Le Galli se passionne pour la bande dessinée. Abonné au journal Tintin, puis lecteur assidu des aventures d’Hugo Pratt, il devient à l’adolescence l’un des responsables d’une bédéthèque. Devenu étudiant, c’est naturellement au neuvième art qu’il consacre ses recherches universitaires. Il rencontre alors deux scénaristes, Dieter puis David Chauvel, qui l’incitent à devenir scénariste. Son premier album sort en 2003, il n’a depuis cessé de publier des albums chez différents éditeurs.
Michaël Le Galli est resté très sensible au fonctionnement et à l’évolution de notre société. Que ce soit par la fiction - dérives sectaires dans Les Cercles d’Akamoth (Delcourt), traitement de la folie dans Les Démons de Marie (Carabas) ou Insane (Casterman), Enfants-soldats, biopiraterie et pollution de la biosphère dans WATCH (Delcourt), holocauste des Roms dans Batchalo (Delcourt) - ou par le documentaire - traitement actuel de l’immigration dans Paroles sans Papiers (Delcourt) et avenir de l’alimentation humaine dans La Guerre des OGM (Delcourt) - il tente par ses livres d’interpeller les lecteurs sur la réalité et les dérives du monde qui nous entoure.
Partant aussi du principe établi que la connaissance du passé est nécessaire à la compréhension du présent et à la détermination de l’avenir, Michaël Le Galli est fasciné par l’Histoire en général, et par ceux qui la font en particulier. Toutes les périodes l’intéressent, de l’Histoire antique avec Sept Guerrières (Delcourt) ou l’Epopée Alexandre (Glénat), la période médiévale avec Margot-Saint Benoît (Vents d’Ouest) ou l’époque contemporaine avec Overlord (Glénat) ou Les Damnés de Paris (Vents d’Ouest).
Autrice de bandes-dessinées (dessin, couleur et scénario), Marie Jaffredo est passée de l’urbanisme au dessin en 2000 avec l’envie de raconter des histoires. Ses premiers récits, des adaptations d’œuvres classiques (Maupassant, Grimm, etc.) et de chansons (Edith Piaf, Bourvil, etc.), sont édités par les éditions Petit à Petit (La Martinière). En 2004 débute l’aventure des Démons de Marie, une série signée chez Carabas avec Michaël Le Galli au scénario. Une histoire forte et sombre. Cependant l’écriture la chatouille. En 2008 elle scénarise et dessine Et si… un one-shot publié chez Vents d’Ouest. Un récit sensible et nostalgique se déroulant dans les coteaux du lyonnais durant les années 1960 et pour lequel elle reçoit de nombreux prix dont le prix Coup de Cœur et le prix du scénario à Chambéry. Dans la foulée, ou presque, Marie sort un petit album de strips à La Fourmilière BD nommé les Pop Korn (2009), vision cocasse de sa petite famille. 2010, retour vers le polar avec un diptyque médiéval et sanglant au nom évocateur, Le Sang des Bâtisseurs (publié chez Vents d’Ouest, scénario de Michaël Le Galli). Récit dans la veine du Nom de la Rose ou des romans de Ken Follet se déroulant en plein XIIe siècle au cœur d’un chantier d’abbaye. 2014, après presque 3 années penchée sur la table à dessin, Marie sort Les Damnés de Paris, un roman graphique évoquant le Paris de la fin du XIXe siècle et mettant en scène 3 destins (publié chez Vents d’Ouest, scénario de Michaël Le Galli).En 2015 parait Meurtre au Mont-Saint-Michel, dont le récit se situe dans les années 1930. Un huis-clos à la Agatha Christie en terre normande avec Jean-Blaise Djian (Les Quatre de Baker Street, Le Grand Mort...) au scénario (coédition Glénat/les éditions du Patrimoine). En septembre 2017 sort, toujours chez Glénat, un album sur la passion entre Édouard Manet et Berthe Morisot (scénario de Le Galli). Puis en 2019, paraît Yuan, journal d’une adoption, un récit autobiographique tendre et sincère sur le parcours de l’adoption de sa fille ainée (scénario, dessin et couleur, publié chez Vents d’Ouest). Enfin en 2022, on découvre un roman graphique d’une immense poésie : avec Le Printemps de Sakura couronné du Prix Petit Albert 2024 - mais aussi du Prix du Jury Œcuménique de la BD et du Prix des lecteurs du Var 2023 catégorie BD - nous suivons le parcours d’une petite fille qui va retrouver le goût de la vie en même temps que ses racines japonaises après une épreuve.
Détails sur le produit
- Éditeur : Vents d'Ouest (12 mars 2014)
- Langue : Français
- Broché : 128 pages
- ISBN-10 : 2749306957
- ISBN-13 : 978-2749306957
- Poids de l'article : 735 g
- Dimensions : 20 x 1.6 x 26.5 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 723 007 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 5 623 en Bandes dessinées historiques
- 30 181 en Bandes dessinées pour adolescents
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À propos de l'auteur

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- Avis laissé en France le 22 juin 2021Bien
- Avis laissé en France le 11 juillet 2014Magnifique histoire émouvante, dessin merveilleux qui nous plonge dans une époque passée à Paris. Je vous la recommande vivement !
- Avis laissé en France le 30 novembre 2014Le colori, les dessins, la couverture font repenser (avec mélancolie) à une époque définitivement terminée, aussi pour la ville de Paris.
- Avis laissé en France le 31 mars 2020Paris. Gare Saint-Lazare. Mai 1869.
Je m’appelle Constance Desprez. Je viens de débarquer à Paris en provenance de Normandie.
Mon Dieu, comme cette ville sent mauvais !
Mes parents sont morts du choléra. Je suis à Paris pour retrouver mon fils qui me fut enlevé à la naissance. J’étais jeune et follement amoureuse d’un jeune homme qui m’aimait lui aussi. Lorsque je me retrouvai enceinte, sa famille refusa le mariage. Il était noble et ma famille ne faisait partie que de la petite bourgeoisie. Un arrangement fut passé entre les chefs des deux familles. Mon père accepta l’argent et les terres qu’on lui offrait à condition de m’envoyer m’enfermer pour toujours chez les religieuses et que mon fils soit pris en charge par la famille du père.
Je n’ai qu’un rêve retrouver mon enfant…
Critique :
Tout m’a plu dans ce récit, n’en déplaise à tous ceux qui ont « généreusement » attribué trois étoiles.
L’histoire en elle-même semble tirée de cette littérature populaire et naturaliste du XIXe siècle où la misère était grande pour une très large majorité de la population pendant que des nobles et de grands bourgeois vivaient comme des rois, en étant le plus souvent rentiers. Le livre évoque de nombreuses misères rencontrées par les habitants de l’époque : le choléra, les très nombreux orphelinats, les gamins des rues qui devaient « tirer leur plan plus ou moins honnêtement », les policiers qui n’étaient pas tendres avec la population pauvre, le sort des prostituées, la puanteur de Paris, et j’en passe et des plus belles.
C’est l’occasion de découvrir un Paris en plein changement sous la férule du Baron Haussman, préfet de la Seine jusqu’en 1870, qui va donner à Paris ses larges boulevards qui sont admirés dans le monde entier. Evidemment, le petit peuple de Paris ne voit pas les choses de la même manière. Et puis, des travaux, toujours des travaux, cela sature. Cette mission lui a été confiée par l’Empereur Napoléon III.
Ce récit, c’est aussi l’occasion de rencontrer des artistes majeurs de l’époque : Zola, Nadar, Cézane, Monet, Renoir, …
L’histoire est un drame. Elle se termine forcément mal. Amateurs de « feel good » passez votre tour.
Je voue une admiration sans bornes au travail de Marie Jaffredo. Les dessins de ses personnages, des bâtiments (petit rappel : Marie Jaffredo est architecte urbaniste même si elle a renoncé à ce travail pour se consacrer à la bande dessinée), le travail à l’aquarelle, font de chaque case un tableau. Malgré la dureté du propos, Marie Jaffredo apporte une certaine douceur par les tons de ses aquarelles.
Les auteurs ont mis un point d’honneur à dénicher pléthore de documents sur cette époque et Marie Jaffredo les a exploités au mieux, nous donnant à voir un Paris en pleine transformation. Elle a mis trois ans, oui, mesdames et messieurs, trois ans pour donner naissance à ce bijou, à ce chef-d’œuvre de 120 pages que je souhaite à tout le monde de lire et de le garder précieusement dans sa bibliothèque !