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La Vision de Bacchus Relié – 19 février 2014
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Venise 1510. Giorgione est sur le point de mourir de la peste. Il jette ce qui lui reste de force dans un ultime tableau, hommage à sa première émotion picturale. Le récit plonge dans les méandres du passé de Venise en quête de cette référence disparue. Mais comment faire surgir sur une surface plane le mystère bouleversant d'une présence ?
- Nombre de pages de l'édition imprimée128 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurDelcourt
- Date de publication19 février 2014
- Dimensions19.8 x 1.5 x 26.3 cm
- ISBN-102756023337
- ISBN-13978-2756023335
Description du produit
Biographie de l'auteur
Détails sur le produit
- Éditeur : Delcourt (19 février 2014)
- Langue : Français
- Relié : 128 pages
- ISBN-10 : 2756023337
- ISBN-13 : 978-2756023335
- Poids de l'article : 690 g
- Dimensions : 19.8 x 1.5 x 26.3 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 577 504 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 4 674 en Bandes dessinées historiques
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- Avis laissé en France le 14 janvier 2023Plongée dans une autre époque, point de vue sur les arts, rencontre avec des personnages historiques, intrigue, dessins : rien ne manque !
- Avis laissé en France le 4 avril 2015Et si tout cela n'était qu'une histoire de la genèse de la Venus endormie de Giorgione? Entre rivalité des peintres vénitiens dans cette époque merveilleuse pour cet art qu'est la Vénus du 16ème siècle, c'est une mini-histoire de l'art de l'époque qui nous est proposé. Le dessin est particulier mais passées les premières cases tout se met en place et on ne lâche plus l'ouvrage. Un très très belle découverte.
- Avis laissé en France le 13 janvier 2016A recommander de 10 à 100 ans. Vraiment l'une des meilleures BD de l'année dernière. Toute la famille l'a lue et a adoré, nous l'avons déjà offerte une bonne dizaine de fois, à chaque fois, elle a fait un tabac.
- Avis laissé en France le 22 septembre 2016Bel ouvrage, beaux dessins, agréable à lire bien documenté, joli cadeau à faire ou à se faire. A acheter. Jak
- Avis laissé en France le 28 janvier 2015J'ai découvert cette BD dans le cadre d'un prix Bande Dessinées. Elle est sur le podium, le scénario très sympa, l'aspect historique et culturel est parfaitement intégré.
- Avis laissé en France le 26 décembre 2019Pour son second opus, Jean Dytar a choisi pour cadre la ville de Venise sous la Renaissance, où les arts et la peinture rayonnaient sur l’Europe depuis plus d’un siècle. C’est à travers deux peintres majeurs de l’école vénitienne que l’auteur aborde son récit : Giorgione (1477-1510), emporté par la peste à l’âge de 32 ans, et Antonello de Messine (1430-1479), vénéré par le premier qui le considérait comme son mentor, sans l’avoir jamais rencontré.
En référence à l’univers pictural des deux artistes, Jean Dytar a conçu ses cases comme des petits tableaux, en jouant avec l’ombre et la lumière (à l’époque, l’école flamande fascinait et influençait beaucoup les Italiens), entamant une sorte de dialogue entre la peinture et la bande dessinée. Cela produit un style très singulier, révélant chez son auteur une très grande finesse, pas si courante dans le neuvième art.
Nous sommes ainsi plongés dans l’atmosphère vénitienne de ce siècle flamboyant, où se jouaient en coulisses les luttes de pouvoir et d’influence, tant dans le domaine politique qu’artistique. Mais ce dont nous parle surtout Jean Dytar, ce sont les affres de la création, et en particulier de la manière dont l’artiste peut parvenir à insuffler la vie dans son œuvre. De quelle manière doit-il s’impliquer pour représenter au mieux son sujet sur la toile ? Ne devra-t-il pas y laisser un peu de sa propre vie pour en mettre dans son tableau ? L’auteur effectue sa démonstration via le personnage d’Antonello de Messine, qui se voit chargé par un riche banquier, un certain Filippo Barbarelli, d’immortaliser en peinture sa jolie et magnétique épouse au regard triste, afin qu’il puisse la désirer jusqu’à la fin sans redouter le spectacle de sa lente décrépitude. Il acceptera la commande, tout en imposant ses exigences, notamment celle de travailler dans le plus grand secret vis-à-vis de son client, car pour peindre avec le plus grand réalisme l’épouse du vieux Barbarelli, il devra emprunter des chemins peu orthodoxes… Un travail brillant qui une fois terminé le rendra exsangue moralement, et laissera madame dans une solitude glacée, détrônée par son double figé dans la gouache dans le cœur de son mari.
Toutes ces questions sur le processus créatif sont passionnantes et sont traitées avec subtilité par l’ex-prof d’Arts plastiques qu’est Jean Dytar, qui développe un style tout à fait unique depuis une décennie. De plus, il sait insuffler suffisamment de mystère dans ses histoires pour les rendre captivantes. Auteur modeste, il sait se faire pédagogue en évitant tout snobisme et vanité vis-à-vis de ses lecteurs. Une qualité qu’il aura sans doute conservée de son passage dans l’enseignement, et qui s’explique aussi par le plaisir de partager la connaissance, tout simplement.
- Avis laissé en France le 13 mars 2014Vous êtes tenté par une plongée dans les ateliers des peintres vénitiens, à l’époque de la Renaissance? Alors, cet album aussi atypique que passionnant est fait pour vous. "La Vision de Bacchus", qui vient de paraître dans la collection Mirages aux éditions Delcourt, est un étonnant voyage historique et culturel auquel nous invite le dessinateur et scénariste français Jean Dytar, dont c’est seulement le deuxième album après "Le Sourire des Marionnettes", publié en 2009. Le thème central de "La Vision de Bacchus", c’est la recherche de la grâce absolue et de la beauté éternelle grâce à la peinture. C’est même devenu l’obsession de Giorgio de Castelfranco, dit Giorgione, à Venise en 1510. Atteint de la peste, qui ne va pas tarder à l’emporter, il veut à tout prix "retrouver l’éclat de sa première émotion picturale" et parvenir à fixer sur un panneau de bois une présence aussi vivante et lumineuse que la femme sur le tableau peint par Antonello de Messine pour son père des années auparavant. Une oeuvre qui, depuis lors, a disparu dans un incendie, ce qui ajoute encore à son mystère. Ce prologue est l’occasion pour Dytar de ramener le lecteur en 1475, au moment où le peintre sicilien Antonello de Messine débarque à Venise, un peu sur la pointe des pieds. Mais grâce à ses sublimes tableaux, le petit homme ne va pas tarder à devenir l’une des coqueluches de la ville. Ce qui fascine chez lui, c’est sa maîtrise de nouvelles techniques étonnantes, notamment la "camera obscura" et la peinture à l’huile. Du coup, les commandes affluent et il finit forcément par entrer en concurrence avec d’autres maîtres vénitiens, en particulier Giovanni Bellini, le grand spécialiste des tableaux d’autels pour les églises. Jusque-là, pas de véritable problème: les deux hommes sont certes des rivaux, mais ils s’apprécient. Pour Antonello, les véritables ennuis commencent lorsque le riche banquier Filippo Barbarelli lui demande, dans le plus grand des secrets, d’immortaliser la beauté de sa jeune épouse avant que celle-ci ne s’étiole. "Seriez-vous capable d’incarner par les pouvoirs de la peinture la grâce absolue d’un être?", lui demande le banquier. "Faire une image si juste et si forte que l’on pourrait sentir la chaleur de son corps, le souffle de sa respiration…" Evidemment, il trouve là les mots justes pour convaincre le fougueux sicilien, qui accepte de "fixer pour l’éternité" la beauté d’Anna, l’épouse de Barbarelli. Le hic est que cette quête de la perfection va petit à petit le faire basculer dans la folie, d’autant plus qu’il ne tarde pas à tomber sous le charme de celle qui, désormais, pose tous les soirs nue pour lui… Truffé de sublimes reproductions picturales et de clins d’oeil à des grands peintres de la Renaissance (Van Eyck, Mantegna, Titien…), "La Vision de Bacchus" réussit l’exploit de nous apprendre plein de choses tout en ne versant jamais dans le cours d’histoire de l’art ou la visite de musée. Même si le livre est particulièrement bien documenté (comme le prouve le site web de l’auteur, qui regorge d’informations intéressantes et d’anecdotes sur les coulisses de la création de l’album), Jean Dytar parvient en effet à faire oublier cet aspect documentaire grâce à une vraie histoire et à un dessin délicat et maîtrisé, qui se fond parfaitement avec le style des peintres de la Renaissance. Un récit passionné et passionnant sur les secrets qui se cachent derrière les grands tableaux.
Plus de critiques BD sur mon blog "André, Georges, Edgar et les autres" (matvano.wordpress.com).
Meilleurs commentaires provenant d’autres pays
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AcheronAvis laissé en Italie le 15 avril 2016
5,0 sur 5 étoiles Eccellente!
Un bellissimo fumetto... consigliato a tutti quelli che amano anche le "storie dell'arte". Negli ultimi anni il genere è molto di moda, ma pochi libri, come questo, possono veramente vantarsi di essere un buon prodotto a livello sia di disegni, che di storia, che di sottofondo documentario (certo, il grande Giovanni Bellini qui non fa una bella figura... ma questa licenza poetica si può perdonare...).