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Sumomomo - tome 01 (1) Broché – 14 février 2008

4,3 sur 5 étoiles 7 évaluations

Un lycéen banal, Kôshi Inuzuka, reçoit un jour la visite de la fiancée la plus forte du monde, Momoko Kuzuryû ! D'un coup de poing, elle brise des rochers, elle inverse le cours des cascades, elle dompte les bêtes sauvages... Réussira-t-elle à gagner le cœur du jeune homme le plus peureux de son lycée ? Le premier volume d'une comédie sentimentalo-virile !

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Description du produit

Biographie de l'auteur

Née le 9 mai 1983 au Japon, Shinobu OHTAKA est une mangaka japonaise, fan d'arts martiaux et de cinéma de série B. Elle est principalement connue pour ses séries Sumomomo Momomo et Magi – The Labyrinth of Magic. Elle commence à s'intéresser au manga dès le collège, voyant dans cet art un moyen de se démarquer. Au lycée, elle commence donc à envoyer des planches au Shônen Jump, malheureusement sans succès. Malgré un prix et de nombreux fanzines publiés laissant déjà entrevoir son inventivité et son talent pour le shônen manga, qui n'est pas sans rappeler celui de Rumiko TAKAHASHI (Ranma ½, Lamu), la jeune femme peine à faire ses preuves. Heureusement, en juillet 2003, l'éditeur Square Enix décide de lui donner sa chance après qu'elle a remporté le Grand Prix du 2e concours Manga Enix, sous le pseudonyme d'AKUTOSHI. Shinobu OHTAKA, sous son vrai nom cette fois-ci, voit alors sa toute première œuvre originale, Sumomomo Momomo, être publiée dans le Young Gangan.

Très vite, la série devient le fer de lance de la revue. Adaptée en anime, elle remporte un franc succès qui permet à
Shinobu OHTAKA de s'imposer comme une référence. Néanmoins, c'est véritablement avec Magi – The Labyrinth of Magic que la mangaka devient incontournable. Commencée en 2004 dans le Shônen Sunday sur le conseil de son éditeur, la série devient un best-seller, est adaptée en anime de plusieurs saisons et se retrouve même déclinée en spin-off : Magi – Adventure of Sinbad qui, lui aussi, aura droit à son anime. Pour l'heure, la mangaka travaille sur ses prochains projets.



Guillaume DIDIER est un traducteur français de mangas. Il a notamment traduit les cinq derniers tomes de la série Kimi Wa Pet de YAYOI OGAWA, Lost Brain de Tsuzuku YABUNO et Akira OTANI et Sumomomo Momomo de Shinobu OHTAKA, tous publiés chez Kurokawa.

Détails sur le produit

  • Éditeur ‏ : ‎ Kurokawa (14 février 2008)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Broché ‏ : ‎ 224 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 235142266X
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2351422663
  • Poids de l'article ‏ : ‎ 200 g
  • Dimensions ‏ : ‎ 13.1 x 1.6 x 18.4 cm
  • Commentaires client :
    4,3 sur 5 étoiles 7 évaluations

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4,3 étoiles sur 5
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Meilleures évaluations de France

  • Avis laissé en France le 20 mars 2016
    Beaucoup d'amis m'avait demandé si je lisait des shojo en voyant la couverture mais pas du tout c'est un excellent shonen !
    L'histoire est amusante, légère, l'auteur casse beaucoup de stéréotype de manga de combat avec un humour certain.
    Je vous recommande chaudement cette oeuvre qui pourra vraiment plaire à tout age =)
    Une personne a trouvé cela utile
    Signaler
  • Avis laissé en France le 11 octobre 2021
    Blog / Instagram : Mangastra

    ☼ Mon avis ☼

    En 2008, Kurokawa a choisi d'éditer le manga " Sumomo Momomo " de Shinobu Ohtaka.
    Elle a également créé le manga " Magi - The Labyrinth of Magic " qui s'est terminé au Japon et en France en 37 tomes.
    Plus récemment, les éditions Pika, ont intégré dans leurs catalogues, le nouveau manga de l'auteur " Orient - Samurai Quest ".

    " Sumomo Momomo " est le tout premier manga de l'auteur qui a eu l'idée d'insérer de l'art martiaux ainsi qu'une touche de comédie grâce à ces personnages loufoques.
    Ce titre possède une jaquette assez enfantine, qui met en avant une jeune adolescente.
    À première vue, on pourrait croire que ce manga est destiné à un public lisant principalement des Shojo.
    Finalement l'auteur part sur un tout autre registre puisqu'il y aura des batailles, de l'art martiaux et une certaine rivalité entre plusieurs clans qui risque d’abattre le Japon tout entier.
    Pour ma part, je trouve que la couverture de ce tome est beaucoup trop simpliste, j'aurais préféré voir une jaquette plus détaillée montrant Momoko pratiquant son art du combat.
    La sous-jaquette n'apporte aucune particularité puisqu'elle représente la même illustration mais sur un fond orangé.
    Lorsqu'on ouvre le livre, on a quand même droit à une jolie page en couleurs qui représente cette jeune fille ainsi que différents personnages assez sombres qu'on risque de découvrir au fil des tomes.

    Nous avons dans cette œuvre, Momoko qui est une fille assez déjantée, qui se colle tout le temps à son bien-aimé, ce qui en devient exaspérant à la longue.
    Je la trouve beaucoup trop frivole, elle à part moment des expressions typiques des filles Shojo que je déteste et par moments, elles a des réactions plus sérieuses, mais elles sont beaucoup trop minimes Koshi, quant à lui est représenté comme quelqu'un de lâche et de fragile.
    Il a peu confiance en lui, mais quand il commence à prendre de l'assurance, il se met à donner toute sorte de loi, c'est bizarre et très inhabituel, mais j'ai trouvé ça drôle.

    J'avais certaines attentes par rapport à Momoko, j'aurais aimé voir une enfant rêvant d'être l'une des meilleurs en arts martiaux, pour prouver à son père qu'elle peut parvenir à exercer l'art du combat comme les hommes.
    Malheureusement le père de celle-ci lui fait comprendre que c'est une fille et qu'elle doit se marier et enfanter et que c'est la seule méthode pour que le sang de la lignée ne disparaisse pas.
    Ce passage se trouve d'ailleurs au tout début du manga et ce qui m'a le plus rebuté est le faîte qu'elle accepte son offre sans contester.

    À part ça, l'histoire qui tourne autour des clans aurait vraiment pu être intéressant, mais, les quelques scènes d'action ne mon transmis aucune émotion.
    Le manga, nous donne certaines attentes par rapport aux combats, à l'évolution des personnages, mais au final, je trouve que ce premier tome montre beaucoup trop le côté comique.
    Les scènes d'action ne sont pas très crédibles, certains personnages secondaires auront un rôle important dans cette série et le plus gros problème de ce manga, c'est que pour l'instant, aucun ne prend vraiment cette quête aux sérieux.

    Je n'ai pas été attiré par le style graphique de l'auteur, les dessins sont très particuliers, certains protagonistes sont parfois affreux, ceux qui risquent de rebuter plus d'un lecteur.
    Les pages sont trop chargés en informations à cause de l'abus de l'encre ainsi que des trames qui servent juste à compléter le manque de décors.

    Avant de vous donner mon avis global, il était important pour moi de vous informer que, " Sumomo Momomo contient des scènes de fan-service soft et qui ne sont à aucun moment vulgarisé par l'auteur.
    Le fan service qui a été insérer dans ce premier tome ne m'a pas spécialement dérangé mais je peux comprendre que ça peu déranger certains lecteurs.

    Au final, je n'ai pas été subjugué par ce tome, j'espère avoir plus de chance avec les deux autres séries de cette mangaka.
    En tout cas, ce titre va quitter mon étagère kurokawa pour laisser place à une nouvelle série.
    Si vous voulez connaître l'histoire de " Sumomo Momomo " où vous faire votre propre avis, je vous recommande plus l'anime qui contient vingt-deux épisodes.
    Image client
    2,0 sur 5 étoiles
    Je n'ai pas été subjugué par ce tome ! 😕

    Avis laissé en France le 11 octobre 2021
    Blog / Instagram : Mangastra

    ☼ Mon avis ☼

    En 2008, Kurokawa a choisi d'éditer le manga " Sumomo Momomo " de Shinobu Ohtaka.
    Elle a également créé le manga " Magi - The Labyrinth of Magic " qui s'est terminé au Japon et en France en 37 tomes.
    Plus récemment, les éditions Pika, ont intégré dans leurs catalogues, le nouveau manga de l'auteur " Orient - Samurai Quest ".

    " Sumomo Momomo " est le tout premier manga de l'auteur qui a eu l'idée d'insérer de l'art martiaux ainsi qu'une touche de comédie grâce à ces personnages loufoques.
    Ce titre possède une jaquette assez enfantine, qui met en avant une jeune adolescente.
    À première vue, on pourrait croire que ce manga est destiné à un public lisant principalement des Shojo.
    Finalement l'auteur part sur un tout autre registre puisqu'il y aura des batailles, de l'art martiaux et une certaine rivalité entre plusieurs clans qui risque d’abattre le Japon tout entier.
    Pour ma part, je trouve que la couverture de ce tome est beaucoup trop simpliste, j'aurais préféré voir une jaquette plus détaillée montrant Momoko pratiquant son art du combat.
    La sous-jaquette n'apporte aucune particularité puisqu'elle représente la même illustration mais sur un fond orangé.
    Lorsqu'on ouvre le livre, on a quand même droit à une jolie page en couleurs qui représente cette jeune fille ainsi que différents personnages assez sombres qu'on risque de découvrir au fil des tomes.

    Nous avons dans cette œuvre, Momoko qui est une fille assez déjantée, qui se colle tout le temps à son bien-aimé, ce qui en devient exaspérant à la longue.
    Je la trouve beaucoup trop frivole, elle à part moment des expressions typiques des filles Shojo que je déteste et par moments, elles a des réactions plus sérieuses, mais elles sont beaucoup trop minimes Koshi, quant à lui est représenté comme quelqu'un de lâche et de fragile.
    Il a peu confiance en lui, mais quand il commence à prendre de l'assurance, il se met à donner toute sorte de loi, c'est bizarre et très inhabituel, mais j'ai trouvé ça drôle.

    J'avais certaines attentes par rapport à Momoko, j'aurais aimé voir une enfant rêvant d'être l'une des meilleurs en arts martiaux, pour prouver à son père qu'elle peut parvenir à exercer l'art du combat comme les hommes.
    Malheureusement le père de celle-ci lui fait comprendre que c'est une fille et qu'elle doit se marier et enfanter et que c'est la seule méthode pour que le sang de la lignée ne disparaisse pas.
    Ce passage se trouve d'ailleurs au tout début du manga et ce qui m'a le plus rebuté est le faîte qu'elle accepte son offre sans contester.

    À part ça, l'histoire qui tourne autour des clans aurait vraiment pu être intéressant, mais, les quelques scènes d'action ne mon transmis aucune émotion.
    Le manga, nous donne certaines attentes par rapport aux combats, à l'évolution des personnages, mais au final, je trouve que ce premier tome montre beaucoup trop le côté comique.
    Les scènes d'action ne sont pas très crédibles, certains personnages secondaires auront un rôle important dans cette série et le plus gros problème de ce manga, c'est que pour l'instant, aucun ne prend vraiment cette quête aux sérieux.

    Je n'ai pas été attiré par le style graphique de l'auteur, les dessins sont très particuliers, certains protagonistes sont parfois affreux, ceux qui risquent de rebuter plus d'un lecteur.
    Les pages sont trop chargés en informations à cause de l'abus de l'encre ainsi que des trames qui servent juste à compléter le manque de décors.

    Avant de vous donner mon avis global, il était important pour moi de vous informer que, " Sumomo Momomo contient des scènes de fan-service soft et qui ne sont à aucun moment vulgarisé par l'auteur.
    Le fan service qui a été insérer dans ce premier tome ne m'a pas spécialement dérangé mais je peux comprendre que ça peu déranger certains lecteurs.

    Au final, je n'ai pas été subjugué par ce tome, j'espère avoir plus de chance avec les deux autres séries de cette mangaka.
    En tout cas, ce titre va quitter mon étagère kurokawa pour laisser place à une nouvelle série.
    Si vous voulez connaître l'histoire de " Sumomo Momomo " où vous faire votre propre avis, je vous recommande plus l'anime qui contient vingt-deux épisodes.
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