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Daredevil Sous L'aile Du Diable Broché – 1 janvier 2003
- Nombre de pages de l'édition imprimée235 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurPanini Comics
- Date de publication1 janvier 2003
- ISBN-102743447273
- ISBN-13978-2743447274
Titres populaires de cet auteur
Détails sur le produit
- Éditeur : Panini Comics
- Date de publication : 1 janvier 2003
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 235 pages
- ISBN-10 : 2743447273
- ISBN-13 : 978-2743447274
- Poids de l'article : 300 g
- Fait partie de la série : Daredevil
- Commentaires client :
À propos des auteurs
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Commentaires client
- 5 étoiles4 étoiles3 étoiles2 étoiles1 étoile5 étoiles75%14%0%0%11%75%
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- Avis laissé en France le 29 septembre 2012Que dire si ce n'est que l'on à ici l'une des plus belles et grande aventure du diable rouge d'Hells Kitchen, une histoire passionnante qui mènera notre héros au bout de ses limites, des dessins superbes.
Pour moi on atteint limite la perfection, mais bon, si vous ne connaissez pas bien l'univers de Daredevil vous risquez de ne pas comprendre certaines références, ou même ne pas comprendre qui sont certains des protagonistes présent dans l'aventure.
Néanmoins si vous connaissez l'univers de Daredevil et que vous ne connaissez pas cette histoire, jetez vous dessus !
- Avis laissé en France le 13 septembre 2012Ce recueil regroupe les épisodes "Daredevil (vol.2)" #1 à 8, ainsi que l'épisode 1/2. ç'aurait pu être une réédition économique de la version deluxe publiée en 2008 par Panini Comics (Daredevil, Tome 1 : Sous l'aile du diable), mais ce n'est pas le cas. En effet, l'ancienne version deluxe était particulièrement volumineuse, surtout qu'elle contenait également les épisodes 9 à 15, signés David Mack !
L'album est publié ici avec couverture souple et format comics traditionnel, sans aucun bonus.
Alors que Karen Page, le grand amour de Matt Murdock, vient de le quitter, une jeune fille en détresse lui confie un petit bébé qu'elle aurait conçu en restant vierge, avant qu'un homme prétendant être un envoyé de Dieu ne lui révèle que l'enfant est l'antéchrist réincarné ! Notre héros ne va pas tarder à voir sa vie basculer sur tous les fronts, attestant d'une malédiction bien réelle... Est-ce vraiment la fin du monde ? Daredevil a-t-il été choisi pour un plan d'origine démoniaque ? Et surtout, comme elle le prétend, la jeune fille a-t-elle réellement découvert la double identité du justicier en rencontrant une ange ?
Si vous aimez le Daredevil de Frank Miller, et en particulier "Born Again", alors vous ne devez pas rater cet album.
A la fois dans la lignée de Miller (le scénariste suivant, David Mack, ne s'y trompera pas, incluant un tag sur les murs de "Hell's Kitchen" : "Frank was here, Kevin was here, David is here !!!"), mais aussi tout à fait distinctif (point d'Elektra ni de trucs japonisants), le passage de Kevin Smith sur la série restera finalement comme un des préférés des fans après celui du créateur de Sin City...
C'est que Smith a su donner la bonne "voix" à sa saga, dans une alchimie parfaite entre le côté adulte des comics d'aujourd'hui et la source enfantine de jadis. Oui, c'est vraiment ce que j'ai adoré le plus dans ces épisodes : l'équilibre entre le traitement mature et les souvenirs de notre enfance. Ça, c'est ce que j'appelle de la relecture brillante ! A ranger à côté des œuvres de Jeff Loeb & Tim Sale, même s'il ne s'agit pas exactement du même concept, car il y a le même équilibre entre naïveté enfantine et mise en forme moderne et adulte.
La valeur de ces huit épisodes tient essentiellement au niveau du travail dans le rapport entre le Fond et la Forme, aussi bien dans le domaine narratif que pictural. Smith nous livre un scénario d'une sophistication telle qu'il est rare d'en voir dans le domaine des comics mainstream, alors qu'il en était à son premier essai en termes d'écriture scénaristique au sein de ce médium ! Dans la Forme, il construit un récit maitrisé de bout en bout au suspense haletant et au rythme implacable, le tout noyé sous une avalanche de texte et de dialogues brillants, qui malgré leur densité passent comme une lettre à la poste. Et même si le dénouement retombe un peu dans une trame plus classique, l'ensemble exhale un très fort parfum de renouveau. Dans le Fond, il intègre dans le récit ses thématiques obsessionnelles, que l'on peut retrouver dans ses films (Dogma par exemple), notamment la question de la religion et de la Foi. Alors qu'il aurait pu plomber son scénario avec un tel parti-pris, il parvient au contraire, tout en finesse, à intégrer cette dimension à la mythologie du personnage de Daredevil de manière parfaite. Puis il parsème son intrigue de citations diverses (pour cela, voir l'excellent commentaire de l'ami Presence...). Ensuite, il incorpore certaines composantes du monde du cinéma, notamment à travers le métier des trucages et des effets spéciaux, avec toute la dimension féérique qui, très probablement, à inspiré les tout premiers créateurs de comics. Mais surtout, comme dit plus haut, c'est dans la manière dont il cite les références issues du run de Frank Miller (et dans une moindre mesure de celui d'Ann Nocenti) qu'il parvient à donner de l'épaisseur à son récit, qui culmine à un niveau de densité vraiment optimal. Ce faisant, il parvient à imprégner la série d'une marque indélébile. Après son passage, plus rien ne sera jamais pareil...
Côté graphique, le niveau de sophistication est au diapason. Joe Quesada (qui livrera quelques temps plus tard le superbe "Daredevil : Father") nous offre un découpage et une mise en scène vraiment impressionnants. Sa virtuosité s'impose à tous les niveaux : Décors, richesse des détails, points de vue, mouvement des corps, expressions, tout est travaillé à l'extrême. Son style peut parfois flirter avec le manga, mais il préserve l'atmosphère voulue. Le découpage de chaque planche, conçu comme un tableau à plusieurs facettes, est une merveille de variété et d'inventivité, contrebalançant parfaitement le haut niveau de texte fourni par le scénariste. Il agrémente ses compositions d'un tas d'ornements (cadres, volutes, enluminures, mosaïques) aussi décoratifs que riches de sens, qui viennent étoffer le fil narratif. Par ailleurs, son travail est parfaitement complété par l'encrage de Jimmy Palmiotti et la mise en couleur de toute une armée de collaborateurs. Pour ma part, je ne me souviens pas d'avoir contemplé beaucoup de comics d'un tel niveau, où la sophistication de la mise en forme côtoie la densité de la toile de fond.
Ce recueil regroupe les épisodes #1 à 8 de la série "Daredevil Marvel Knights", réalisés entre 1998 et 1999. C'est certainement l'un des grands moments de l'histoire de la Marvel.
Il faut préciser, cependant, que la densité scénaristique, avec toutes les références puisées ça et là dans les anciennes aventures de Daredevil, destinent essentiellement ces épisodes au lecteur déjà bien familier du personnage et de son histoire éditoriale. Néanmoins, Kevin Smith a réalisé un épisode nommé "numéro 1/2" (ici présent) sous forme de texte illustré, qui vient justement récapituler toute cette histoire... A noter que le scénariste flirte beaucoup avec l'univers de Spiderman, qu'il visitera quelques temps plus tard par le biais de la mini-série Spiderman : L'enfer de la violence...
- Avis laissé en France le 30 août 2023Le comics est très bon, c'est le service Amazon que je déplore : un simple emballage cartonné fin ...
Forcément l'ouvrage est reçu abîmé.
- Avis laissé en France le 21 octobre 2012Ce tome regroupe les épisodes 1 à 8 de la série redémarrée en 1998/1999. Le scénario est de Kevin Smith, les dessins de Joe Quesada, et l'encrage de Jimmy Palmiotti. Il contient également le numéro 1/2, une brève introduction de Joe Quesada, et une postface de Kevin Smith.
Quelque part à New York, une maternité est dévastée causant la mort de plusieurs nourrissons. Gwyneth (15 ans) arrive à sortir en emportant avec elle son bébé. Alors qu'elle essaye d'échapper à ses poursuivants, elle passe à proximité d'une église où Matt Murdock est en train de recevoir le sacrement du pardon. Il évoque au prêtre son manque de repère depuis que Karen Page a décidé de vivre sa vie de son coté. Celui-ci ironise un tantinet en faisant remarquer que Murdock vient se confesser uniquement après avoir perdu le réconfort de sa femme, mais que c'est toujours mieux que de recourir à une thérapie ou un bouquin de développement personnel. Murdock n'écoute plus, il a déjà revêtu son habit de Daredevil et court au secours de Gwyneth. Peu de temps après celle-ci lui rend visite à son cabinet d'avocat et lui confie son enfant, avant de s'évanouir dans la nature. Puis Murdock reçoit la visite de Nicholas Macabes qui lui explique que son organisation Sheol a la certitude que ledit enfant est l'antéchrist. Pour preuve, peu de temps après l'avoir recueilli, Murdock constate que sa vie part en sucette.
En 1998, Bob Harras (éditeur en chef de Marvel Comics) confie quelques séries moribondes à Joe Quesada en tant que responsable éditorial (la naissance de la ligne Marvel Knights). Ce dernier décide de relancer Daredevil en faisant appel à un ami : Kevin Smith, réalisateur de films indépendants tels que Clerks, les employés modèles ou Chasing Amy. Ce dernier est un lecteur assidu de comics, mais aussi un créateur avec une vision claire de ce qu'il souhaite faire avec le personnage. Pour commencer, il est hors de question qu'il raconte une histoire à destination des enfants. Dès le premier épisode il accumule les transgressions d'interdits implicites dans les comics : il parle des relations charnelles entre Matt et Karen, il intègre un prêtre et une confession, et plus fou encore, il ose faire jouer un rôle crucial à un nourrisson. N'importe quel lecteur sait que la religion ne sert qu'à inclure des démons de pacotille, que les relations physiques constituent un tabou (imaginez que même Foggy couche), et qu'un nouveau né plombe le récit qui ne peut pas s'en relever.
Non seulement, ce sale gosse de Kevin Smith ne respecte pas les codes en vigueur, mais en plus il se complait dans de copieuses cellules de textes et de longs monologues pour mieux développer les personnages. Comme si ça ne suffisait pas, après avoir installé Daredevil dans une intrigue dépourvue de superhéros (sauf Black Widow) dans la première moitié, il n'hésite pas à inviter d'autres superhéros dans la deuxième moitié à commencer par un magicien qui exige un niveau de suspension consentie de l'incrédulité sans commune mesure avec celle déjà nécessaire pour tous ces gugusses en costumes moulants aux couleurs criardes.
Et pourtant, ce récit se lit avec plaisir, il recèle énormément de moments intelligents et chargés en émotion. Il est fidèle à l'esprit des superhéros, il est fait pour les lecteurs qui ont grandi avec les superhéros. Kevin Smith cite les récits les marquants de Daredevil, à commencer par Born again de Frank Miller et David Mazzucchelli (en ramenant même Sister Maggie, pas sa meilleure idée), mais aussi les histoires écrites par Ann Nocenti (Typhoid Mary, en anglais), et bien d'autres encore. Le talent de Smith lui permet de faire honneur à ses ambitions : le résultat est enlevé, avec une légère dérision très savoureuse, et Daredevil accomplit toutes les actions superhéroïques que le lecteur attend de lui.
Comme il l'observe lui-même dans la postface, il a la chance que Joe Quesada se charge de la mise en images, et qu'il arrive à faire passer ses textes volumineux. À la lecture, il est visible que Quesada s'est bien amusé à illustrer ce récit. Cela commence avec l'idée astucieuse d'insérer avec parcimonie quelques gravures de Gustave Doré pour une petite touche de religieux. Cela transparaît dans chaque pose prise par Daredevil, chacune de ses acrobaties où Quesada ne se contente pas de ressortir les plans de ses prédécesseurs, il construit ses planches et choisit ses angles de vue de manière à mettre en valeur son coté athlétique et casse-cou. Et puis il y a ces petits tics graphiques propres à Quesada qui apportent une saveur particulière aux illustrations. Il y a sa propension à exagérer la taille des yeux des personnages pour mieux faire passer l'émotion, employant un code propre aux mangas. Il y a les muscles de Daredevil qui ne bénéficient pas toujours d'un bel arrondi, qui présentent parfois une protubérance disgracieuse qui confère un aspect moins lisse au personnage. Il y a aussi les clins d'oeil à des personnages d'autres séries. Pour commencer, Nicholas Macabes ressemble comme 2 gouttes d'eau au Commissaire Dolan de la série Spirit de Will Eisner. Dans l'épisode 6, le lecteur attentif pourra identifier les clients du bar fréquenté par Turk Barrett : Jesse Custer, Nancy Callahan et Marv en provenance directe de Sin City. Dans le dernier épisode, le présentateur télé a une ressemblance marquée avec Clark Kent, et il est possible de reconnaître bien des individus sur les bancs de l'église (à commencer par les auteurs eux-mêmes), avec en particulier Ash (un personnage créé par Joe Quesada et Jimmy Palmiotti).
L'épisode 1/2 est également écrit par Kevin Smith sous forme de texte, avec des illustrations. Il s'agit d'un résumé de la vie de Matt Murdock.
Kevin Smith réalise une histoire complètement imprégnée de l'historique du personnage, avec un suspense de bonne facture, des personnages avec des points de vue, et une belle profession de foi sur l'un des métiers du cinéma dont il parle avec passion. La mise en images de Quesada et Palmiotti compense les pages un peu chargées en texte, par une grande vitalité et une énergie impressionnante, tout en renforçant encore les références discrètes au monde des comics.
- Avis laissé en France le 20 mai 2014Ca fait un moment que je voulais écrire ce commentaire, sur la photo en bas il est indiqué Marvel Deluxe (couverture en dur) alors que j'ai recu le format Marvel Select (format souple). Amazon ne m'a pas livré l'article correspondant à la photo, l'information Marvel Deluxe est trompeuse pour le client.
J'aurais aimé recevoir ce que j'ai commandé...