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Tony Chu, détective cannibale T06: Space Cakes Relié – 5 juin 2013
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- Nombre de pages de l'édition imprimée152 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurDelcourt
- Date de publication5 juin 2013
- Dimensions17.3 x 1.4 x 26.4 cm
- ISBN-102756040843
- ISBN-13978-2756040844
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Détails sur le produit
- Éditeur : Delcourt
- Date de publication : 5 juin 2013
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 152 pages
- ISBN-10 : 2756040843
- ISBN-13 : 978-2756040844
- Poids de l'article : 586 g
- Dimensions : 17.3 x 1.4 x 26.4 cm
- Fait partie de la série : Tony Chu, détective cannibale
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 562 883 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 54 303 en Bandes dessinées (Livres)
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Les lecteurs apprécient les illustrations qui servent très bien l'ambiance de la série. Ils trouvent le dénouement très impressionnant et une note de fraicheur dans le monde de la bande dessinée. Ils décrivent l'intrigue comme passionnante, rythmée par un événement récurant et vraiment amusante.
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Les clients apprécient les illustrations du livre. Ils mentionnent que les dessins servent très bien l'ambiance de la série et offrent un dénouement très impressionnant. De plus, ils soulignent une note de fraicheur dans le monde de la bande dessinée.
"...rythmée par un événement récurant et on a même droit a un dénouement très impressionnant...." Développer
"...cette série continue d'çtre passionante et les dessins servent tres bien l'ambiance de la série vivement le prochain tome." Développer
"...J'adore. C'est une belle série a découvrir, une note de fraicheur dans le monde de la BD." Développer
Les clients apprécient l'intrigue de la série. Ils la trouvent passionnante, belle à découvrir et amusante. De plus, ils mentionnent que chaque petite histoire est rythmée par un événement récurant.
"...6 est bien découpé chaque "petite histoire" est rythmée par un événement récurant et on a même droit a un dénouement très..." Développer
"toujours aussi barrée cette série continue d'çtre passionante et les dessins servent tres bien l'ambiance de la série vivement le prochain tome." Développer
"...Cette série est vraiment amusante. J'adore. C'est une belle série a découvrir, une note de fraicheur dans le monde de la BD." Développer
Meilleures évaluations de France
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- Avis laissé en France le 3 septembre 2013La ou les tomes 4 et 5 s'égaraient un peu, le tome 6 est bien découpé chaque "petite histoire" est rythmée par un événement récurant et on a même droit a un dénouement très impressionnant.
La trame narrative de cette série prend sun grand coup en avant avec ce tome !
- Avis laissé en France le 30 septembre 2014J'adore! A dévoré avec plaisir ! Il devrait avoir plus d'histoire aussi décalé! Des inspecteurs aussi avec un pète au casque!
- Avis laissé en France le 9 septembre 2013toujours aussi barrée cette série continue d'çtre passionante et les dessins servent tres bien l'ambiance de la série vivement le prochain tome.
- Avis laissé en France le 15 juin 2013Le procédé est bien connu des lecteurs de comics : lorsque le héros est grièvement blessé ou meurt , comment faire en sorte qu'une série mensuelle continue sans lui ? Comment assurer la pérennité financière et artistique d'une franchise ? Comment ne pas se ruiner à rembourser les abonnements de lecteurs mécontents ?
Les plus grands héros en solo ( pour une équipe , c'est plus facile ! ) ont tous connu ce dilemme : Superman , Batman , Spider-Man , Daredevil , Iron Man , et même Wolverine ! Il suffit de mettre un intérimaire dans les collants et l'armure du héros pour rebooster souvent de manière enthousiasmante tout ça .
Layman n' a pas inventé l'au chaude .Pourtant lorsque Tony Chu, grièvement blessé est remplacé par sa soeur sur les 5 épisodes de cet arc , il fait , encore une fois preuve de génie ! TONY Chu est impotent ? Ce sera donc sa soeur jumelle TONI Chu qui le remplacera. Même pas besoin de changer le logo !
Et c'est parti ! messages publicitaires et tags dans la rue plus délirants les uns que les autres , intrigues surréalistes , utilisation de pouvoirs loufoques sont au menu , parodie en tous genres des clichés super héroïques. Et pour la première fois , une aventure en solo de Poyo , le coq bionique . Ses origines sont enfin dévoilées , pastiches savoureux de "l'homme qui valait trois milliards" et de "Weapon X".
Sans que le lecteur s'en rendre compte , John Layman a progressivement construit une famille de personnages attachante aux réactions identifiables . Et Layman a trouvé un ton unique dans l'histoire des comics : écrire une série si drôle que l'on se marre comme une baleine dans le métro sans se soucier du quand dira t'on , avec une profondeur réelle voire dramatique des enjeux alimentaires de la planète terre !
Sans rentrer dans les clichés du clown triste , Layman aborde de manière désopilante des sujets ne prêtant pas d'emblée à la poilade : pénurie alimentaire , manipulations génétiques , business et trafic de l’écosystème, pollution . Ce scénario si riche permet que comme Tintin , Gaston ou Asterix , on puisse trouver de la nouveauté à chaque relecture de Tony Chu .
Et pour la première fois , Layman ,dans un épisode où le lecteur assiste au mariage et un enterrement d'un personnage important, introduit un élément traumatique chez le lecteur qui voit subitement disparaitre un de ses héros sans préavis .
Rob Guillory , portraitiste admirable est au sommet de son art : la physionomie des personnages , leurs travers et leurs conflits internes : tout est là en deux coups de crayons : la suffisance du coq Bionique , l'optimisme contagieux de Toni et la roublardise de Chow Chu . Et bien sûr l'inénarrable , l'incomparable , l'incontournable Michael Applebee et ses auréoles de sueurs jaunes sur ces chemises.
Avec une idée par pages , une richesse visuelle qui rappelle ( dans une autre style ) celle de "Top Ten" , Tony Chu s'est imposé en à peine 30 numéros comme un comics révolutionnaire ( pour une fois le mot révolution n'est pas usurpée comme chez Marvel qui l'emploie à tort et à travers ). Le légendaire label Image qui fonda sa réputation en publiant des histoires plus idiotes les unes que les autres , qui avoua avoir publié des histoires sans scenarii et s'illustra dans le grim and gritty plus qu'aucun autre éditeur , Image donc, signe sa rédemption en publiant ce chef d'oeuvre d'humour et d'intelligence .
Chuette !
- Avis laissé en France le 13 août 2013Toujours aussi drôle et décalé. Cette série est vraiment amusante. J'adore. C'est une belle série a découvrir, une note de fraicheur dans le monde de la BD.
- Avis laissé en France le 7 juin 2013Ce tome contient les épisodes 26 à 30 de la série, ainsi que le numéro spécial consacré à Poyo, tous parus en 2012. Tous les scénarios sont de John Layman, et les illustrations et les couleurs de Rob Guillory. Ce tome fait suite à Première Ligue (épisodes 21 à 25).
Tout commence par une vente aux enchères de tableaux de maître... enfin un maître particulier du nom de Quindim Buongiovanni (un sabopictor) dont les tableaux intéressent 2 grands cuisiniers (Barnabas Cremini et Chow Chu). Ça continue avec Toni Chu menant une enquête pour le compte de Chow Chu. Puis il est question de grenouilles psychotropes (quand on les lèche, on part pour un grand voyage dont la nature est fonction de la couleur de leur peau). Le récit passe alors aux relations entre Toni Chu (Antonelle de son vrai prénom, et cibovoyante pour le compte de la NASA) et Paneer Sharma (son chef au sein de la NASA). En guise d'intermède, le lecteur suit plusieurs missions de Poyo (un coq avec des implants cybernétiques qui font de lui un cyborg de combat redoutable), allant des Enfers jusqu'à une pluie de moutons. Arrive alors le moment du défilé de haute couture avec des vêtements confectionnés à partir de viande et de chair de poisson. Seules les forces combinées de Toni Chu, Caesar Valenzano, John Colby et Tony Chu (dans son fauteuil roulant) pourront venir à bout de tous les mystères.
Le premier épisode est donc l'occasion de raconter une histoire en 1 numéro, avec 2 nouveaux pouvoirs surnaturels dérivés du sens du goût. Layman et Guillory sont de nouveau déchaînés : les pouvoirs sont drôles, l'exagération comique est au rendez-vous, le scénario tient la route au premier degré. Ils continuent de jouer avec l'image récurrente de 2 amants dans un lit sous le drap en vue du dessus, cette fois-ci c'est le tour de Toni Chew, et le résultat est toujours aussi savoureux, avec plus de sentiments que pour John Colby. Est-ce l'effet cumulé des 5 tomes précédents, ou une amélioration de la sensibilité de John Layman ? Toujours est-il que la personnalité de chaque protagonistes ressort mieux, à commencer par Toni et Chow.
Puis le récit rentre dans le vif du sujet. Le lecteur a le plaisir de découvrir que les apparitions un peu artificielle d'un nouveau pouvoir ou 2 par tome sont entièrement justifiées par le récit ; il ne s'agit pas juste d'une grosse ficelle. L'adjonction de grenouilles psychédéliques amazoniennes s'intègre parfaitement à l'environnement de la série. Décidemment, Toni Chu prend corps pour devenir l'un des personnages les plus séduisants de la série, et les plus chaleureux. En plus D-Bear (Deshawn Berry) effectue une nouvelle apparition avec sa jolie permanente afro et son gros peigne dans les cheveux. Comme à son habitude Guillory trouve le juste milieu entre la reprise de clichés visuels évoquant la blaxploitation et une exagération rendant le personnage très expressif et totalement unique.
C'est à ce moment là que Layman et Guillory achève la conquête de leur lecteur avec le numéro spécial consacré aux exploits de Poyo. Il est impossible de croire à la crédibilité de ce volatile cyborg sans avoir lu la série. Oui, il s'agit bien d'un coq de combat qui a dérouillé lors d'un match, qui a été opéré par une équipe de scientifiques qui lui ont greffé des implants cybernétiques. Oui, c'est complètement délirant. Oui, il s'intègre parfaitement au reste du récit. Dans cet épisode, Layman et Guillory peuvent augmenter la composante humoristique pour faire la place belle à l'absurde. C'est énorme du début jusqu'à la fin. Ça commence avec la pluie de moutons, prenant au premier degré l'expression anglaise "It's rainning cats and dogs" (l'équivalent de "Il pleut des hallebardes") et l'exagérant pour un effet absurde magnifique. Ils arrivent à garder le rythme et ce ton de bout en bout de l'épisode.
La transition avec les 3 épisodes suivants se fait tout naturellement grâce au défilé de haute couture, avec des vêtements à base de nourriture, pas si éloigné de la réalité que ça (souvenez-vous de la robe de steaks portée par Lady Gaga, authentique). Layman et Guillory diminuent le niveau d'absurde pour augmenter le développement de l'intrigue, tout en conservant la part dévolue à la personnalité de chacun. Le lecteur obtient quelques informations significatives sur cette histoire de vampire, et sur ses objectifs. Le suspense s'intensifie petit à petit pour déboucher sur... un moment des plus intenses et des plus prenants de la série. Layman écrit des scènes dans lesquelles les différents personnages découverts jusqu'alors refont une apparition. Le lecteur peut alors apprécier la capacité de Guillory à donner à chacun une apparence spécifique car ils reviennent tous en mémoire facilement. L'humour se mêle au drame d'une page à l'autre, parfois sur la même page, et parfois dans la même case, sans se neutraliser. Il s'agit certainement d'un moment parmi les plus difficiles à réaliser que de mêler humour très noir et tragique, en faisant naître ces 2 émotions contraires en même temps chez le lecteur : empathie pour le drame se nouant, et sourire devant l'énormité de ce qui est dessiné. Guillory s'amuse également à rajouter des messages humoristiques sur des écriteaux de manière sporadique. Ce dispositif est amusant mais il manque encore un peu d'intensité (on est loin des commentaires sarcastiques et méchants de Kevin O'Neill dans Marshal Law).
Dans le tome précédent, Layman et Guillory avaient déjà atteint l'équilibre qui faisait parfois défaut à leur série dans les tomes précédents, entre humour décalé et absurde, et intrigue bien structurée et pleine de suspense. Avec ce tome, ils conservent cette narration en intensifiant chaque composante pour une lecture exceptionnelle. N'oubliez pas votre betterave, vous en aurez besoin.