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I.A.N., tome 1 : Singe électrique Broché – 7 juin 2003
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- Nombre de pages de l'édition imprimée46 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurDargaud
- Date de publication7 juin 2003
- Dimensions22.5 x 1 x 29.9 cm
- ISBN-102871295182
- ISBN-13978-2871295181
Titres populaires de cet auteur
Description du produit
Biographie de l'auteur
Né à Paris en 1971, Ralph Meyer nourrit très jeune une passion pour le dessin et les histoires. C' est donc tout naturellement qu' il va se tourner vers la bande dessinée. Jeune lecteur boulimique, les gags de GASTON ou les aventures de BLAKE et MORTIMER l'enchantent tout autant que les problèmes existentielles de super-héros en collants peuplant la revue STRANGE. A l' adolescence, la découverte de l'oeuvre de Giraud /Moebius va avoir une influence considérable sur la suite de son travail. A vingt ans, il quitte Paris et part en Belgique suivre les cours d'illustration et de bande dessinée de l' institut liégeois « St LUC ». A l' issue de ce cursus de trois ans, il démarche auprès d' éditeurs avec différents projets. Sans succès. En 1996, il décide de présenter son travail au scénariste Philippe Tome. Ce dernier lui propose une histoire particulièrement noire. Un an plus tard, c' est la parution du premier volume de la trilogie « BERCEUSE ASSASSINE ». Entre-temps, il fonde avec d'autres auteurs l'atelier « PARFOIS J'AI DUR». C'est là que naît l'album « DES LENDEMAINS SANS NUAGES » qu' il co-dessine avec son compère Bruno Gazzotti sur un scénario de Fabien Vehlmann. Par la suite, toujours avec Fabien Vehlmann, il lance une série de science-fiction « IAN » qui narre les aventures d'une intelligence artificielle recouverte de nerfs et de peau humaine. En 2008, il signe avec Xavier Dorison le premier volume de la collection « XIII MYSTERY » narrant la vie de la Mangouste pour lequel il recevra la prix bruxellois « St MICHEL » du dessin. 2010, lui voit prendre un tournant graphique important avec la sortie de « PAGE NOIRE», un one-shot scénarisé par Denis Lapière et Frank Giroud. En 2012, il retrouve Xavier Dorison pour le diptyque, Asgard, qui le plonge dans les paysages nordiques, paru aux Editions Dargaud. En 2014, Xavier et Ralph se lancent dans une nouvelle série à succès "Undertaker". Le tome 1 est publié en 2014, suivi du tome 2 en 2015 qui clôture un premier diptyque. En 2017, les auteurs proposent une nouvelle aventure de Jonas Crow en deux tomes (janvier et novembre).
Détails sur le produit
- Éditeur : Dargaud
- Date de publication : 7 juin 2003
- Édition : 2003e
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 46 pages
- ISBN-10 : 2871295182
- ISBN-13 : 978-2871295181
- Poids de l'article : 100 g
- Dimensions : 22.5 x 1 x 29.9 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 1 067 518 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 7 168 en BD Science-fiction
- 156 941 en Personnages scientifiques (Livres)
- Commentaires client :
À propos des auteurs
Né à Paris en 1971, Ralph Meyer nourrit très jeune une passion pour le dessin et les histoires.
C’est tout naturellement qu’ il va se tourner vers la bande dessinée. Jeune lecteur boulimique, les gags de GASTON ou les aventures de BLAKE et MORTIMER l’enchantent tout autant que les problèmes existentielles des super-héros en collants peuplant la revue STRANGE.
A l’adolescence, la découverte de l’œuvre de Giraud /Moebius va avoir une influence considérable sur la suite de son travail.
A vingt ans, il quitte Paris et part en Belgique suivre les cours d’illustration et de bande dessinée de l’ institut liégeois « St LUC ». A l’issue de ce cursus de trois ans, il démarche auprès d’éditeurs avec différents projets. Sans succès.
En 1996, il décide de présenter son travail au scénariste Philippe Tome. Ce dernier lui propose une histoire particulièrement noire. Un an plus tard, c’est la parution du premier volume de la trilogie « BERCEUSE ASSASSINE ».
Entre-temps, il fonde avec d’autres auteurs l’atelier « PARFOIS J’AI DUR». C’est là que naît l’album « DES LENDEMAINS SANS NUAGES » qu’ il co-dessine avec Bruno Gazzotti sur un scénario de Fabien Vehlmann.
Par la suite, toujours avec Fabien Vehlmann, il lance une série de science-fiction « IAN » qui narre les aventures d’une intelligence artificielle recouverte de nerfs et de peau humaine.
En 2008, il signe avec Xavier Dorison le premier volume de la collection « XIII MYSTERY » narrant la vie de la Mangouste pour lequel il recevra la prix bruxellois « St MICHEL » du dessin.
2010, lui voit prendre un tournant graphique important avec la sortie de « PAGE NOIRE», un one-shot scénarisé par Denis Lapière et Frank Giroud. Ce dernier sera remarqué et à plusieurs reprises primé.
2012 signe son retour avec Xavier Dorison à l’aventure avec un grand A. C’est « ASGARD », le récit d’une traque fantastique dans les fjords scandinaves.
2015 marque le début de sa nouvelle série avec Xavier Dorison: "UNDERTAKER", un western atypique dont le personnage principal est un croque-mort.
Ralph Meyer vit à Liège avec sa famille et son chat « Microbe ».
Fabien Vehlmann est né le 30 janvier 1972 à Mont de Marsan, dans les Landes. (Il en gardera l'amour des arbres tordus par le vent.) Trois ans plus tard, il déménage en Savoie, où il passe une enfance " vraiment chouette ",dans un harmonieux dosage d'introversion - il adore inventer des jeux tout seul - et de sociabilité - il adore retrouver ses potes. " J'ai eu de la chance, mes parents m'ont laissé jouer, au lieu de bosser dès la maternelle, ". Vers 6 ans, il attaque la bande dessinée, en remplissant ses cases de dessins genre "sténo ". Il se découvre aussi un don d'amuseur public,qu'il se croit obligé d'entretenir, jusqu'au moment où il comprend qu'il a aussi le droit d'être triste. Ce qui nous vaut(peut-être)les moments les plus touchants de Samedi et Dimanche : entre deux rigolades, Samedi se chope le blues. Il n'est plus qu'un pauvre petit chiffon qui veut " tomber ici et puis rester tout mou sur le sol et puis pleurer ". (Le dessin est à la hauteur du naufrage.) Arrivé en fin de parcours lycéen, il se dit que la BD n'est pas une orientation professionnelle raisonnable. Il entre à l'École supérieure de commerce de Nantes, navigue dans le marketing des jouets, et sort diplômé en 1995. Objecteur de conscience, il se retrouve administrateur d'une troupe de théâtre. "C'était comme être planté au milieu d'une pâtisserie sans pouvoir manger les gâteaux : je ne vivais que les aspects chiants de la création. " Malgré tout, il tourne deux ou trois courts-métrages en vidéo avec les comédiens, et essaie la radio dans une station locale, avec des sketches qui font bien marrer le technicien - c'est toujours ça. En 1996, Spirou organise un concours de scénario. Il faut envoyer quatre pages, il en tartine quarante, c'est beaucoup trop. Il envoie donc ses pages hors concours, et reçoit une réponse mitigée - peut mieux faire - qui le galvanise parce que c'est une réponse quand même. En vue de " mieux faire ", il attaque un autre BD qu'il renvoie à Spirou. Réponse : c'est toujours pas ça. " Là, j'ai morflé, je me voyais déjà en haut de l'affiche. " Alors il fait un pari : au lieu de chercher du boulot dans le commerce, il va rester chez ses parents pendant un an pour écrire de la BD. " J'ai eu de la chance, mes parents ont accepté. J'ai toujours eu beaucoup de chance, je tiens à le dire. " Cette fois, Spirou est content et achète ses pages. Après, tout s'enchaîne : il sort avec Denis Bodart l'album qui va le lancer, Green Manor, et rencontre Gwen à l'atelier de la place des Vosges. Gwen a inventé deux bestioles en forme de lézard dont il ne sait pas trop quoi faire. Ils s'y mettent ensemble, et voilà comment naît en 2001 l'excellente série philosophico-humoristique Samedi et Dimanche, suivie en 2002 d'un récit beaucoup plus noir qui prouve la diversité de son talent, Le Marquis d'Anaon, dessiné par Matthieu Bonhomme. Et maintenant ? Alain Chabat - dont le gamin adore Samedi et Dimanche - l'a contacté en vue de mijoter un truc encore trop flou pour qu'on puisse en préciser le moindre détail, mais décidément, Vehlmann a de la chance.
Commentaires client
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- Avis laissé en France le 30 avril 2015Une tuerie, tout simplement. Ce premier tome de IAN est une pure réussite, un truc que l'on ne voie pas souvent. Il faut dire que c'est Fabien Vehlmann qui s'est chargé du scénario et quand matière d'écriture, Fabien Vehlmann est certainement l'un des meilleurs scénaristes de sa génération. Il livre ici un magnifique premier tome avec du suspense, du rebondissement et un personnage principal (IAN) particulièrement attachant bien qu'il ne soit pas humain. Côté dessin, Ralph Meyer offre un travail de qualité, réaliste et dynamique. Ses planches se lisent sans souci et sont très belles à voir.
J'apprécie vraiment l'originalité du projet, mais aussi le côté très humain de IAN qui semble bien plus humain que les humains. En plus, l'action est bien retranscrite, tant dans l'écrit que dans les dessins et les dialogues sont eux aussi de qualité.
Une série ambitieuse et prometteuse dont, je l'espère, la suite sera bonne (oui oui, j'ai du retard...). Je fais toutefois confiance à Fabien Vehlmann qui ne m'a jusqu'à présent pas déçu !
- Avis laissé en France le 18 décembre 2004Ian un singe électrique est le premier tome d'une série qui s'annonce particulièrement réussie ! Le dessin est très beau pour une premier essai et le sénario est très interessant : Ian (Intelligence Artificielle Neuromécanique), un sorte de robot parfait va devoir évaluer parmis les vrais hommes, a ses risques et périls...