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Grandville, Tome 2: Grandville mon amour Broché – 20 mai 2011
- Nombre de pages de l'édition imprimée104 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurHiComics
- Date de publication20 mai 2011
- Dimensions22 x 1.5 x 30.5 cm
- ISBN-102811205314
- ISBN-13978-2811205317
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Description du produit
Biographie de l'auteur
Détails sur le produit
- Éditeur : HiComics (20 mai 2011)
- Langue : Français
- Broché : 104 pages
- ISBN-10 : 2811205314
- ISBN-13 : 978-2811205317
- Poids de l'article : 481 g
- Dimensions : 22 x 1.5 x 30.5 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 804 271 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 4 486 en BD Policier et Suspense
- 99 536 en Romans policiers et polars
- Commentaires client :
Commentaires client
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- Avis laissé en France le 11 mars 2012Bryan Talbot est un auteur british qui s'était fait connaître avec une série post-apocalyptique solide bien que sans génie. Cette série-ci est toute autre. C'est une uchronie située dans la Perfide Albion autrefois vaincue par les troupes de Napoléon. Deuxième originalité, il s'agit d'une série animalière.
Qui plus est l'auteur tire un coup de chapeau au dessinateur français du 19ème siècle, Grandville, puisqu'il en fait le titre de la série même si le héros, un putois, s'appelle Lebrock (Le broc'h veut dire Putois en celte). Talbot joue sur les codes holmesiens et nous offre une aventure style Belle Epoque steam punk du meilleur aloi.
Vivement le 3ème album qui entame une nouvelle saga et qui s'intitulera La Bête Noire. Malheureusement, il faudra encore attendre car la version originale n'est pas encore achevée.
- Avis laissé en France le 5 décembre 2011Un deuxième OPUS qui poursuit et clos le premier tome. Lebrock se révèle plus sombre et montre des failles dans son armure de super héro. Cela renforce sa densité et sa présence dans le récit.
FORMIDABLE !!!
- Avis laissé en France le 19 août 2011Après le superbe commentaire de Présence , je ne reviendrais pas en détail sur la qualité de cet album. Superbement illustré , Grandville est un modèle esthetique attentif au moindre détail . Le lecteur peut compter le nombre de balles restantes dans un revolver , decrypter le fonctionnement des machines dessinées , apprecier les nombreux clin d'oeils ( Gaston , Lucien , ainsi que Rimbaud et Verlaine peints par Fantin Latour) . Talbot pastiche également agréablement Frank Miller dans la scène anthologique où Daredevil laisse tomber Bullseye dans Daredevil Visionaries: Frank Miller. Les Inrocks qui se sont pris de passion pour l'objet n' y auront peut -être vu que du feu , les comics étant le comble de la vulgarité pour ces gens là . Rappelons tout de même que Talbot en vient du comics et que Miller en est l'Hergé .
Bref de l'humour , du rythme , de belles bastons , j'ai cependant du mal à suivre Talbot sur le scénario.
Celui-ci est coherent , riche en suspense , mais je trouve que Talbot ne maitrise pas ( pour l'instant ) les codes policiers . Lebrock a de bonnes intuitions . Mais chez Talbot , il n' y pas de tatonnements , de fausses pistes , d'hésitation . Et surtout , presque jamais de preuves ! Et c'est bien ce que je repproche à Talbot , c'est qu'à force du faire du name dropping , il multiplie les raccourcis : Lebrock déduit la culpabilité de Bélier sans aucun fait concret ! Ca tombe bien il est coupable ! Talbot pastiche les formidables fulgurance de Holmes à un détail près : Sherlock était en observation avec son environnement , les indices trouvés étaient mis en corrélation avec une époque , une saison , une marque de cigarette . Lebrock n'explique jamais ces intuitions , il fonce d'un point A à un point B armé d'une logique superficielle .
La série souffre également du syndromme 24 . Dans cette série , Jack Bauer partait d'un attentat pour remonter toujours à un président qu'il destituait . En deux épisode de Grandville , Lebrock fait tomber un empereur et un président . C'est un peu trop . Un ministre eut suffit .
Les conditions de l'evasion de Mastock restent confuse : avec la complicité d'un ministre , on lui a fait avaler une arme . Alors que Talbot detaille les conditions de son incarceration , comment a t'il fait pour ramasser cette arme dans ses selles sous le regard des gardiens ? Comment a t'il fait pour trancher une camisole de l'interieur sans liberté de mouvement ?
Enfin , un peu comme Marv dans Sin city t1, Lebrock nourrit un fort sentiment de culpabilité envers une femme décédée qu'il n' a pas pu protéger. Il s'éprend alors d'une prostituée qui lui ressemble . Pourquoi pas ? Sauf que la relation entre Sarah et Lebrock a été trop survolée dans le premier tome pour que l'on croit aux sentiments du policier . Le deuil de Sarah est pour moi un pretexte pour Talbot pour insatller un poil de psychologie absent du premier tome et encore une fois un pastiche des catastrophes de Sherlock Holmes peut déclencher dans sa chambre .
Au final mes sentiments sont mitigés sur cette série .On y trouve une ambiance unique , un ton , mais des approximations lié au fait qu' à force de parodier , Talbot , si pointilleux sur le detail de ses planches , prend de grande largesse avec son scénario.
- Avis laissé en France le 19 mars 2016Je n'ai pas chroniqué le tome précédent, mais je vous avoue que j'avais adoré. J'aime tout autant le style choisi par l'auteur, que le soin qu'il apporte à ses planches et à ses personnages.
L'inspecteur LeBrock est un Sherlock Holmes like. Avec son fidèle inspecteur, il résoud des crimes sur lesquels des policiers normaux échouent. On retrouve également une ressemblance de caractère et de comportement. Ici en particulier avec le comportement de LeBrock au début, lorsqu'il est enfermé chez lui.
L'histoire est simple : LeBrock poursuit son ennemi juré dans les rues de Paris en suivant les cadavres sanglants qu'il laisse derrière lui. Mais rapidement, LeBrock comprend qu'il y a plus derrière cette histoire qu'un simple massacre de prostituées...
L'auteur s'inspire librement donc de Sherlock Holmes et un peu de Jack l’Éventreur dans cette affaire, mais contrairement au célèbre détective, LeBrock n'est pas "observateur". Il a d'excellentes intuitions qui se révèlent toujours justes, mais pas vraiment de preuves sur lesquelles appuyer une réflexion - contrairement à son collègue Ratzi. On pourrait d'ailleurs reprocher à l'auteur d'être un peu linéaire dans son enquête : LeBrock remonte les pistes les unes après les autres et ne se trompe jamais, sauf lorsqu'il confond son grand amour décédé avec une prostituée. Cette facilité est un peu dommage, mais n'entame pas le plaisir que l'on a à parcourir cet ouvrage.
L'univers est une sorte d'uchronie steampunk où les personnages sont tous des animaux. On peut en déduire un trait de caractère dominant, mais l'auteur n'oublie pas de leur donner plus de nuances que leur espèce ne le laisse penser au premier abord.
Un vrai soin est apporter à chaque planche, et ce travail est d'ailleurs détaillé à la fin de l'ouvrage avec l'exemple d'une case et de ses différentes étapes.
En bref, c'est une excellente BD que nous avons ici et comme Milady Graphics ne publiera pas la suite, je songe à me tourner vers la VO.