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Le fils du boulanger Album – 13 février 2013

4,2 sur 5 étoiles 9 évaluations

Avant d’attaquer la dernière ligne droite de la série (elle s’achèvera cette année), nous allons nous intéresser plus particulièrement au chef des P’tits Gars, le mystérieux Butcher. Vous pensiez savoir pourquoi il hait les super-héros ? Vous allez être surpris ! Découvrez la jeunesse du personnage et la terrible vérité sur ce qui est arrivé à sa femme. Une saga essentielle écrite par Garth Ennis et illustrée par le co-créateur de la série, Darick Robertson (Transmetropolitan) !
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Détails sur le produit

  • Éditeur ‏ : ‎ Panini France (13 février 2013)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Album ‏ : ‎ 120 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 2809428638
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2809428636
  • Poids de l'article ‏ : ‎ 456 g
  • Dimensions ‏ : ‎ 17 x 1 x 26 cm
  • Commentaires client :
    4,2 sur 5 étoiles 9 évaluations

À propos de l'auteur

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Darick Robertson
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Meilleures évaluations de France

  • Avis laissé en France le 24 novembre 2013
    numéro énorme qui nous permet de mieux comprendre le boucher
    Le boucher qui est parfoit vraiment touchant
    cet arc, est vraiment meilleur que celui sur hugie
  • Avis laissé en France le 1 juillet 2014
    Parfait, rien à dire.Parfait, rien à dire.Parfait, rien à dire.Parfait, rien à dire.Parfait, rien à dire.Parfait, rien à dire.Parfait, rien à dire.Parfait, rien à dire.Parfait, rien à dire.Parfait, rien à dire.Parfait, rien à dire. Parfait, rien à dire.Parfait, rien à dire.Parfait, rien à dire.Parfait, rien à dire.Parfait, rien à dire.Parfait, rien à dire.Parfait, rien à dire.Parfait, rien à dire.Parfait, rien à dire.Parfait, rien à dire. C'est ok.
  • Avis laissé en France le 24 mars 2013
    Un peu longuet, il aurait pu être condensé en un chapitre. On finit par s’ennuyer.
    Je le conseille seulement aux aficionados de la série.
    Une personne a trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 29 mai 2013
    vraiment une bonne mini série dans l'univers de The Boys.
    toute la vérité sur le personnage de Butcher, son passé enfin dévoilé.
    le récit est bon et Darrick Robertson est de retour aux dessins pour notre plaisir.
  • Avis laissé en France le 16 février 2013
    Ce tome contient les 6 épisodes de la minisérie, parus en 2011. Cette histoire peut être lue indépendamment du reste de la série, même si elle a plus d'intérêt dans le cadre de "The Boys".

    Sam Butcher est mort, c'était le père de Billy Butcher. C'était un artisan boulanger aux compétences professionnelles douteuses qui terrorisait les habitants du quartier grâce à sa force et sa brutalité. Billy Butcher vient rendre un dernier hommage à son père en se recueillant sur son cercueil au funérarium. Il en profite pour tenir un discours imaginaire dans lequel il se remémore plusieurs moments clefs de sa vie, comme s'il s'adressait à son paternel. Billy Butcher va ainsi évoquer son enfance, sa relation avec son père, la place de sa mère et de son petit frère. Il évoque également son engagement volontaire dans l'armée et son expérience au combat lors de la guerre des Falklands. Le tome se termine avec son recrutement par Greg Mallory et sa première mission chez les superhéros, puis chez Vought American.

    Avec le personnage de Billy Butcher, Garth Ennis (et Darick Robertson) a créé l'un des personnages les plus terrifiant de sa carrière. Il a réussi à en faire le personnage central de la série "The Boys", à le rendre éminemment sympathique du fait de sa virilité, de sa présence physique, de son dévouement pour ses amis proches, et parce qu'il tient en respect tous les pourris qui disposent de superpouvoirs. Il dispose également d'un sens critique des plus pénétrants. Et il jouit d'une perspicacité quasi surnaturelle pour déterminer l'action la plus efficace à chaque moment donné, ou la remarque la plus éclairante par rapport à un dilemme moral. Mais d'un autre coté, au fur et à mesure de l'avancée de la série "The Boys", Ennis a mis en avant que les horreurs commises par Billy Butcher (torture, violence gratuite, absence de pitié, meurtre de sang froid, etc.) n'étaient pas à prendre comme des respirations comiques, mais bien au premier degré. Butcher mérite bien son patronyme : il tue et massacre sans état d'âme, il ne connaît pas le doute, il n'éprouve aucune empathie pour ses victimes. Du coup, le niveau d'espérance pour ses "origines" (ses jeunes années et son histoire personnelle) était démesuré, d'autant plus que cette histoire est entièrement dessinée par Darick Robertson, le dessinateur d'origine de la série "The Boys".

    Le constat est que Garth Ennis n'y va pas avec le dos de la cuillère en termes de souffrance du personnage principal. C'est un parti pris affirmé chez Ennis que d'en rajouter sur le dos de ses héros : la santé mentale de Jesse Custer tenait du miracle après ses épreuves d'adolescence et de jeune adulte. Il construit une jeunesse et un début de vie adulte cohérent avec la personnalité de Billy Butcher. Ses motivations trouvent leur source dans les souffrances qu'il a subies, mais une fois encore Ennis a fortement chargé la barque, rien ne lui est épargné (ou presque). Et malheureusement le traumatisme fondamental se devine très rapidement, bien avant qu'il ne soit révélé dans le cours de l'histoire. Le dispositif qui consiste pour Billy à s'épancher devant la dépouille de son père est aussi artificiel que l'on peut le craindre. Les relations entre individus ont du mal à atteindre le niveau de nuance obtenu pour les réminiscences de Wee Hughie dans Bienvenue chez le p'tit. Le lecteur peut finir par croire qu'Ennis est lui aussi impressionné par ce personnage hors norme et qu'il n'arrive pas à prendre le recul nécessaire pour lui offrir une histoire à sa démesure.

    C'est donc le grand retour de Darick Robertson spécialement pour Billy Butcher. C'est un vrai plaisir que de retrouver sa capacité à transcrire des émotions au travers des expressions des visages des individus. C'est un grand dépaysement que de voir un comics peuplé par des individus à l'apparence normale, sans être terne, évoluant dans un monde réaliste, sans être fade. Malgré tout, il donne une forme de visage peu probable au personnage féminin principal, ce qui déconcerte à la lecture. Robertson a toujours la même faiblesse sur la consistance de ses décors. Ils peuvent être très détaillés (une belle villa dans l'épisode 5), comme sembler en carton pâte (une majeure partie des pièces à vivre). Cette dernière caractéristique nuit parfois à l'intensité du récit. Sa mise en page et sa mise en scène sont irréprochables et l'épisode de la guerre dans les Falklands est bien rendu, intense et éprouvant.

    Derrière ce titre décalé (en VO "Butcher, baker, candlestick maker", il s'agit des paroles d'une comptine anglaise appelée "Rub-a-dub-dub"), Garth Ennis déroule un récit présentant les points de passage attendus avec une accumulation d'épreuves qui s'abattent sur Billy Butcher au point d'en devenir artificielles et convenues. Les dessins de Darick Robertson ramènent le récit dans une réalité crédible et développée (sauf pour certains décors), mais sans non plus se transformer en un voyage visuel mémorable.
    5 personnes ont trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 18 octobre 2013
    Ce dix-septième tome de la série "The Boys" par Garth Ennis nous propose la troisième et dernière mini-série de la saga (après The Boys, Tome 8 : Hérogasme et The Boys, tome 13 : Bienvenue chez le p'tit).
    Les dessins sont de Darick Robertson, le co-créateur de la série, qui effectue son grand retour après avoir quitté le navire depuis plusieurs tomes...

    Le présent récit raconte les origines de "Billy Butcher", le chef de l'équipe des "P'tits gars". De son enfance dans les quartiers londoniens jusqu'à son arrivée dans l'équipe créée par "Mallory", en passant par sa jeunesse dans la Guerre des malouines et son mariage tragique avec "Becky", l'amour de sa vie, nous revivons le lourd passé de celui qui deviendra le pourfendeur de super-héros déviants !
    Les six épisodes se lisent très bien et très vite. Garth Ennis n'a rien perdu de sa verve et de son mordant, ni de son humour trash et de sa violence extrême. Pourtant, le récit en lui-même est assez décevant. Tout simplement parce que le tout ne recèle quasiment aucune surprise, comme si nous connaissions déjà parfaitement ce passé. Effectivement, Ennis nous avait donné ponctuellement des indices sur les jeunes années de "Butcher", si bien que nous lisons ces épisodes comme un développement exhaustif de ce qui nous avait déjà été communiqué sous forme de résumé...
    Connaissant le talent de Garth Ennis, nous étions en droit d'attendre des révélations croustillantes sur ce passé mythique, dont on nous avait fait miroiter le côté "énorme". Mais au contraire, Ennis et Robertson nous emballent une suite de séquences parfaitement téléphonées, qui alignent les clichés de manière fonctionnelle, sans aucune surprise.
    Si ce n'est le fil conducteur de la mini-série (à la mort de son père, Butcher vient se recueillir sur la tombe de ce dernier et lui raconte sa vie), rien ne vient pimenter nos attentes. La jeunesse de Billy est celle à laquelle on s'attendait (un gros dur violent mais avec un cœur), son rôle dans la guerre des malouines également (un gros dur qui n'a pas peur...), et surtout, sa romance avec "Becky" est d'une rare banalité, la jeune femme apparaissant comme un stéréotype extrêmement lisse dans le rôle de la "femme idéale". Une citation du film Impitoyable de Clint Eastwood (où un assassin avait été transformé par l'amour d'une jeune femme) vient pourtant nous démontrer qu'il y avait une idée intéressante bien réelle derrière cette romance, mais qu'hélas elle n'a jamais été exploitée...

    Darick Robertson, comme à son habitude, ne tient pas la route sur la longueur. Le premier épisode est dessiné de manière magistrale, avant que le niveau baisse jusqu'à la fin. Encore une fois, le bonhomme semble avoir souffert des délais de parution et à bâclé son travail au fur et à mesure des épisodes...

    Pour autant, la lecture de l'ensemble demeure à la fois très agréable et indispensable à la saga dans son entier. Mais venant d'un scénariste de la trempe de Garth Ennis, on était en droit d'attendre davantage que cet enchaînement de séquences attendues et fort peu surprenantes. 3 étoiles et demi pour la qualité formelle de la mini-série en elle-même...
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