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Valérian et Lauréline, l'intégrale, tome 6 Broché – 26 janvier 2012

4,5 4,5 sur 5 étoiles 31 évaluations

À l'occasion des 50 ans de la création de cette bande dessinée culte et de son adaptation au cinéma par Luc Besson, les éditions Dargaud rééditent la collection complète des intégrales. Sous une nouvelle couverture et avec une nouvelle maquette, cette sixième intégrale réunit "Otages de l'Ultralum", "L'Orphelin des astres" et "Par des temps incertains".
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Description du produit

Biographie de l'auteur

Pierre Christin est né en 1938 dans la banlieue parisienne. Enfant, il est passionné par les numéros de ?Détective' et les couvertures illustrées de ?Radar'. Après avoir modestement commencé ses études dans un cours complémentaire, il étudie à la Sorbonne puis à Sciences po Paris. Dans les années 1960, entre ses activités de pianiste de jazz et ses premiers travaux de journalisme, de traduction et d'écriture, il part à la découverte de l'Ouest américain. Là-bas, il s'enthousiasme aussi bien pour la vie dans les ranchs et les autoroutes urbaines que pour la science-fiction, le polar et la musique noire, qui est alors à son apogée. En 1967, il signe, avec Jean-Claude Mézières, la première aventure de Valérian, sans imaginer un instant la longévité future de son héros. Traduite en une vingtaine de langues, Valérian fut rapidement considérée comme une série d'avant-garde et a inspiré de nombreux auteurs et des réalisateurs dont Georges Lucas et, bien entendu, Luc Besson qui a réalisé une adaptation au cinéma en juillet 2017 : "Valérian et la Cité des mille planètes". En 1968, il est nommé à l'université de Bordeaux où il crée l'IUT de journalisme, dont il a toujours été l'un des animateurs. Dans les années 1970-1980, à ?Pilote', il écrit pour Jacques Tardi, François Boucq, Jean Vern et bien d'autres ? une soixantaine d'albums dans lesquels il s'essaie à tous les genres. Il réserve cependant son versant optimiste ? voire utopiste ? à son vieil ami Mézières dont il apprécie la clarté narrative et l'humour réjouissant. Les sujets plus graves, nourris par des enquêtes dans ce qui est encore à l'époque le bloc communiste, il les traite avec Enki Bilal, dans des albums devenus de grands classiques de la bande dessinée politique, comme "Les Phalanges de l'ordre Noir" (Dargaud, 1979) ou "Partie de chasse" (Dargaud, 1983). Avec Annie Goetzinger, il exprime une tout autre sensibilité dans des portraits de femmes, des intrigues intimistes, à l'image de "La Demoiselle de la Légion d'honneur" (Dargaud, 1980) ou de "Paquebot" (Dargaud, 1999). Grand voyageur, il fait un premier tour du globe par l'hémisphère Nord en 1992. Un périple qu'il raconte dans "L'Homme qui fait le tour du Monde" (Dargaud, 1994), mis en images par Max Cabanes et Philippe Aymond. Il renouvelle l'expérience en 1999, en passant cette fois par l'hémisphère Sud. Mais, souvent, ses balades ne le conduisent pas plus loin que Paris : tour de la ville en suivant les rails abandonnés de la petite ceinture ("La Voyageuse de petite ceinture" [Dargaud, 1985], avec Annie Goetzinger), ou de la petite couronne, en vélo ("La Bonne Vie" [tome 5 des "Correspondances", Dargaud, 1999], avec Max Cabanes). Sans jamais oublier la bande dessinée, Christin s'essaie à d'autres formes d'écriture. Dans ses romans, il évoque aussi bien l'aventure citadine ("ZAC" et "Rendez-vous en ville") que les plongées au fond du terroir français ("L'Or du zinc. Avec la collection "Les Correspondances de Pierre Christin" (Dargaud, 1997-2002), il explore d'autres rapports entre texte et dessin. Pour ces albums, il travaille, entre autres, avec Patrick Lesueur, Jacques Ferrandez, Jean-Claude Denis, Alexis Lemoine et Enki Bilal. Une intégrale paraît en 2009 (Dargaud). En 2006, il signe avec le talentueux André Juillard le premier volume de la saga "Léna" (Dargaud) dont le troisième tome sort 2020. En 2019, sort le deuxième tome du hors-série "L'Avenir est avancé", dans lequel Mézières et Christin revisitent en compagnie de Valérian et Laureline certains épisodes mythiques de la plus célèbre des séries de SF française. La boucle est bouclée, Mézières et son complice de toujours sont en route pour de nouvelles aventures... Plus récemment il publie une biographie d'Orwell (Dargaud, 2019) en compagnie de Sébastien Verdier et avec la participation d'auteurs de renom tels que André Juillard, Manu Larcenet, Olivier Balez, Blutch, Juanjo Guarnido et Enki Bilal. Il remporte le prix Goscinny 2019 décerné par le festival international de la bande dessinée d'Angoulême pour son album autobiographique "Est/Ouest" (Dupuis, 2018) mis en images par Philippe Aymond, ainsi que pour l'ensemble de son oeuvre. En 2022 il replonge dans l'aventure Valérian en écrivant lui-même un album de "Valérian « vu par »", dessiné par Virginie Augustin, autour d'une réflexion pleine d'humour sur la création... Considérant que pour vivre heureux, il faut vivre beaucoup, mais caché, il aurait aimé avoir cent vies, dans cent villes et presque autant d'identités...

Jean-Claude Mézières est né en 1938 à Paris. Il grandit à Saint-Mandé, une ville de banlieue située à l'est de la capitale. En 1944, alors qu'il s'est réfugié avec ses parents dans la cave d'un immeuble afin d'échapper aux bombardements allemands, il fait la connaissance d'un enfant de son âge nommé Pierre Christin. Une amitié pour la vie est née. Les deux garçons ne se contenteront pas de jouer ensemble dans le bois de Vincennes. Ils se découvriront bientôt une passion commune pour la science-fiction et les « illustrés », comme on appelle encore les bandes dessinées. Jean-Claude dévore l'hebdomadaire « O.K », les aventures d'Arys Buck dessinées par Albert Uderzo et « Le Lotus bleu », l'album de Tintin que lui a offert sa marraine à l'occasion de ses dix ans. De Tintin à Spirou. Lecteur régulier de l'hebdomadaire « Tintin », il le délaisse cependant pour le remplacer par « Spirou », dans lequel flotte un parfum de liberté qui contraste avec l'esprit de sérieux de son concurrent. Il est fasciné par « Les Chapeaux noirs », une aventure de Spirou et Fantasio en forme de western fantaisiste signée par André Franquin. Les histoires de cow-boys et les plaines d'Amérique nourrissent les rêves du jeune Jean-Claude depuis qu'il a vu, dans un cinéma de province, un film du Lone Ranger, le justicier masqué. Rien d'étonnant s'il écrit et dessine, à l'âge de 15 ans, un western de 16 planches intitulé « La Grande Poursuite », hommage aussi enthousiaste que juvénile au graphisme de Franquin et aux « Chapeaux noirs ». Il en enverra même un exemplaire à Hergé, lequel ne prendra pas la peine de le publier, au grand regret du jeune Jean-Claude qui devra se contenter d'une lettre signée par le créateur de Tintin... Ses premiers pas dans la bande dessinée. Plus motivé par le dessin que par l'enseignement scolaire classique, Jean-Claude Mézières intègre en 1954 l'école des Arts appliqués à l'industrie et au commerce, surnommée « Les Arts'a ». Il est inscrit dans la section « Tissus et papiers peints ». Il devient copain avec les deux seuls élèves qui s'intéressent à ce que l'on n'appelle pas encore le « 9 art » : Patrick « Pat » Mallet et un certain Jean Giraud, avec lequel il sèche des cours trop souvent ennuyeux pour se réfugier dans les salles de cinéma des grands boulevards parisiens. En octobre 1955, il publie sa première bande dessinée. Un western, forcément... L'histoire, intitulée « Bill le shériff », paraît dans l'hebdomadaire « Coeurs vaillants » édité par le groupe Fleurus. En 1957, il s'offre un séjour à Bruxelles avec Pat Mallet pour rencontrer son idole, André Franquin. En mars 1958, sur le conseil de Franquin, les deux apprentis dessinateurs, accompagnés de Jean Giraud, rendent visite à Joseph Gillain, alias Jijé. Celui-ci est l'auteur des aventures du cow-boy Jerry Spring, dont Jean-Claude est un lecteur passionné. Jean-Claude Mézières, cow-boy et dessinateur. Mais s'il rêve toujours d'Amérique - au point d'envisager, avec l'ami Giraud, un voyage en bateau vers New York, qui restera à l'état de fantasme -, le jeune Mézières devra encore attendre pour franchir l'océan Atlantique. En octobre 1958, il part pour le service militaire, d'abord en métropole puis en Algérie. Il en reviendra avec de solides convictions antimilitaristes. Rendu à la vie civile en janvier 1961, il répond à une petite annonce du quotidien « Le Figaro ». Le voilà engagé par Hachette pour travailler, comme maquettiste puis illustrateur, sur la collection « Histoire des civilisations ». En 1963, il devient assistant-photographe dans le studio de publicité de Benoît Gillain, l'un des fils de Jijé. S'il a renoncé à ses envies de bande dessinée, il n'a pas renoncé à un destin de cow-boy. En juin 1965, il s'envole enfin pour les Etats-Unis. Il bourlingue de Seattle au Montana et à San Francisco, puis il est hébergé par son copain Pierre Christin, qui enseigne le surréalisme et la « Nouvelle Vague » à l'université de Salt Lake City. L'une des élèves de Christin, prénommée Linda, deviendra d'ailleurs l'épouse de Jean-Claude et la mère de leur fille, Emily. Il place quelques dessins dans « The Children's Friend », une sorte de « Coeurs vaillants » mormon. Jusqu'au jour où Christin lui propose de revenir à la bande dessinée et de lui écrire un scénario. Ils réalisent ensemble deux histoires courtes, « Le Rhum du Punch » et « Comment réussir en affaires en se donnant un mal fou ! », publiées dans l'hebdomadaire « Pilote » en mars et juillet 1966 grâce à l'entremise de Jean Giraud. Ce qui ne l'empêche pas de se frotter à la dure - mais exaltante ? réalité de la vie de cow-boy au Dugout ranch, dans l'Utah. Naissance de Valérian... et de Laureline ! En septembre 1966, Jean-Claude Mézières rentre en France. Après avoir rencontré René Goscinny et Jean-Michel Charlier, les deux rédacteurs en chef de Pilote, il dessine une troisième histoire écrite par Christin, « Le chemin de l'enfer est pavé de bonnes intentions », et un scénario de Fred, le créateur de « Philémon ». Puis il propose à Pierre Christin d'entamer une collaboration durable avec une série au long cours dont ils seraient les auteurs. Le 9 novembre 1967, dans « Pilote », Valérian et Laureline, agents spatio-temporels de Galaxity, entrent en scène avec une aventure de trente planches, « Valérian contre les mauvais rêves ». Christin signe « Linus », clin d'oeil aux Peanuts de Charles Schulz, tandis que Mézières signe « Jc. Mézi ». On aurait pu attendre Jean-Claude sur le terrain du western, sa passion de toujours, mais le secteur est déjà bien encombré entre Lucky Luke, Jerry Spring et Blueberry, alors que la science-fiction est un territoire presque vierge et riche de possibilités. En ce milieu des années 1960, Mézières et Christin auraient sans doute ouvert de grands yeux incrédules si quelqu'un leur avait prédit que leurs héros sillonneraient l'espace-temps tout au long de 25 albums et que leurs aventures serait traduites en une vingtaine de langues. Le réalisateur américain George Lucas ne manquera pas de leur rendre hommage à sa manière avec la saga de « Star Wars », dont certaines scènes semblent avoir été pour le moins inspirées par « Valérian »... Mézières, au-delà de « Valérian »... S'il est l'homme d'une seule série, à l'instar de Morris et de son Lucky Luke, Jean-Claude Mézières a publié des bandes dessinées dans plusieurs magazines spécialisés, de « Métal Hurlant » à « Fluide glacial » et « (À Suivre) », ainsi que des illustrations dans la presse généraliste, des affiches pour des festivals ou des sérigraphies. En 1985, il s'embarque dans une tournée des ports d'Europe en compagnie de Pierre Christin, sur les traces d'une femme mystérieuse qui deviendra l'héroïne d'un récit illustré, « Lady Polaris », publié en 1987 par les éditions Autrement. JeanClaude Mézières a aussi travaillé pour le cinéma, dessinant des décors et des costumes pour « Un dieu rebelle », un film de Peter Fleischmann, et pour « Le Cinquième Élément » de Luc Besson, auquel il a donné l'idée des taxis volants. Une sélection de ces divers travaux a donné lieu à deux recueils d'images, « Les Extras de Mézières », édités par Dargaud en 1995 puis 1998. C'est ce même Luc Besson, admirateur de Valérian et amoureux de Laureline depuis ses dix ans, qui portera à l'écran la série de Mézières et Christin (dont les couleurs sont réalisées par Évelyne Tranlé, la soeur de Jean-Claude) en 2017 avec « Valérian et la Cité des mille planètes », inspiré par l'album « L'Ambassadeur des Ombres ». En 2004, pour célébrer le label de « Capitale européenne de la culture » attribué à la ville de Lille, le dessinateur imagine un « Chemin des Étoiles » dans la rue Faidherbe, sous la forme de quatorze tours spectaculaires symbolisant une piste de décollage vers l'espace. Récompensé par le Grand Prix de la ville d'Angoulême en 1984, mais aussi par un Inkpot Award au ComicCon de San Diego en 2006 et par le prix Max und Moritz au salon d'Erlangen en 2018, Jean-Claude Mézières n'aura cessé de faire rêver ses lecteurs et d'inspirer ses confrères dessinateurs à travers une oeuvre entremêlant la science-fiction et l'imagination, la fantaisie et la modestie, sans oublier une curiosité toujours bienveillante pour « l'autre », qu'il soit humain ou extraterrestre. Le réalisateur Avril Tembouret lui a consacré un film documentaire, « L'Histoire de la page 52 », qui retrace la conception d'une planche d'une aventure de Valérian et Laureline. En septembre 2021, les éditions Dargaud lui ont rendu hommage avec « L'Art de Mézières », un livre illustré qui passe en revue son parcours de dessinateur, depuis ses dessins d'enfance inédits jusqu'à ses réalisations les plus récentes. Un bilan graphique que Jean-Claude, dans le dossier adressé à la presse, résumait d'une pirouette tristement prémonitoire : « On fait le ménage et on s'en va ! Il s'agit bien évidemment de mon ultime livre. À 83 ans, il vaut mieux fermer la porte et se retirer sans faire trop de bruit... » En 2006, Le ComicCon de San Diego, aux États-Unis, lui décerne un Inkpot Award. Traduite en une vingtaine de langues, Valérian fut rapidement considérée comme une série d'avant-garde et a inspiré de nombreux auteurs et des réalisateurs dont Georges Lucas et, bien entendu, Luc Besson qui a réalisé une adaptation au cinéma en juillet 2017 : "Valérian et la Cité des mille planètes". La boucle est bouclée, Mézières et son complice de toujours sont en route pour de nouvelles aventures...

Détails sur le produit

  • Éditeur ‏ : ‎ DARGAUD (26 janvier 2012)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Broché ‏ : ‎ 192 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 2205060414
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2205060416
  • Poids de l'article ‏ : ‎ 979 g
  • Dimensions ‏ : ‎ 22.8 x 1.8 x 29.8 cm
  • Commentaires client :
    4,5 4,5 sur 5 étoiles 31 évaluations

À propos de l'auteur

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Pierre Christin
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Après des études à la Sorbonne et à l’Institut d’études politiques de Paris, Pierre Christin écrit en I967 le premier épisode de Valérian pour son ami d’enfance Jean-Claude Mézières. C’est aussi l’année où il crée ce qui deviendra l’école de journalisme de Bordeaux et entreprend une thèse de doctorat sur le fait divers. Il collabore à Pilote où il travaille avec les plus grands noms de la bande dessinée (Tardi, Boucq et beaucoup d’autres), signant quelques-uns des classiques du genre comme les Phalanges de l’Ordre noir et Partie de chasse avec Enki Bilal, ou la Demoiselle de la Légion d’honneur avec Annie Goetzinger. Grand voyageur, aussi bien autour du monde qu’autour de Paris, passionné par les mégapoles comme par les déserts, il écrit également scénarios de films (Bunker Palace Hôtel), romans (l’Or du zinc) ainsi que de nombreux livres illustrés, notamment pour la collection “ les Correspondances de Pierre Christin ” (avec P. Lesueur, J. Ferrandez, J.-C. Denis, A. Lemoine, M. Cabanes, chez Dargaud).

Commentaires client

4,5 étoiles sur 5
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Meilleures évaluations de France

  • Avis laissé en France le 14 janvier 2013
    Voilà une bien belle intégrale pour ce monument de la SF française désormais entré au panthéon des chefs d'oeuvre de la BD. Une imagination intarissable au service d'aventures aussi variées qu'innovantes (écologie, économie, politique, paradoxes temporels) et toujours d'actualité. Avec peut-être une adaptation prochaine au cinéma. De quoi ravir anciens et nouveaux lecteurs!!! Une bien belle collection à la présentation luxueuse digne de figurer aux côtés d'autres références de poids telles que "Universal War One" "La Guerre Eternelle" et "Les naufragés du Temps"
    4 personnes ont trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 19 septembre 2015
    Nous en sommes donc au sixième tome . Ma fille découvre et nous les parents on relit avec jubilation cette série de BD excellente qui en a inspiré plus d'un !
    Toujours aussi jeune , et inventive mention +++++ pour cette réédition qui fait le bonheur des familles et des bédéphiles ! Bravo !
    4 personnes ont trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 11 janvier 2014
    Au commencement de la série on assiste à une BD humoristique au dessin "enfantin" dans la tradition de SPIROU, puis,petit à petit on pénètre dans le mondes fabuleux de la vraie SF proche d'un EDGARD P.JACOBS.
    J'ai suivi cette évolution avec délectation. Bravo aux auteurs...et merci pour le ou plutôt les rêves qu'ils nous ont distillés.
    3 personnes ont trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 26 août 2019
    Parfaitement conforme
  • Avis laissé en France le 20 octobre 2015
    Auteurs fabuleux, histoire intemporelle ... que dire de plus. L'édition est sympathique et les bonus nous apprennent pas mal de choses.
    3 personnes ont trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 23 mars 2012
    Ayant découvert nos héros avec cette collection d'intégrales,j'ai attendu pendant un an avec impatience ce nouvel opus et quelle déception!
    Ce 6e volume regroupe "Otages de l'ultralum",sa suite"L'orphelin des astres" et "Par des temps incertains" .Si les deux premiers épisodes ne sont franchement pas passionnants ,le dernier est carrement sans queue ni tête.Je vous renvoi aux critiques des albums solos pour vous faire une idée plus détaillée.
    Je me suis forcé pour lire les deux premiers jusqu'à la fin,quant au dernier j'ai carrément abandonné.
    Les auteurs sont clairement en manque d'inspiration.
    Bref à acheter pour compléter vôtre collection,sinon passez vôtre chemin,je crois bien que la série est morte avec "Les Cercles du pouvoir".
    Cependant je vous conseille vivement les 5 premiers volumes.
    23 personnes ont trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 29 mars 2013
    Recueil suivi avec plus de maturité daans les personnages, mais tout autant de richesse et de créativité dans les décors.
    3 personnes ont trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 14 août 2017
    Ce n'est pas, comme indiqué, l'édition d'origine de l'intégrale de Valérian (12/2012) mais une réédition de 2014.
    Demande de retour.
    4 personnes ont trouvé cela utile
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Meilleurs commentaires provenant d’autres pays

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  • Mario Malouin
    5,0 sur 5 étoiles En attendant le film, vive l'original!
    Avis laissé au Canada le 13 mars 2017
    Série phare de la science-fiction française. Bel album! Le tout m'est parvenu en parfait état! Merci!
  • Henk Beentje
    4,0 sur 5 étoiles last 'collected works' of this series so far...
    Avis laissé au Royaume-Uni le 18 septembre 2012
    ... and not as wonderful as the previous ones, but still very good as to the images, colours, inventiveness, characters. Sometimes it seems to be taking the mickey with itself, become a bit over the top, and some of the cgharacters are too cutesy for my liking. Also, the final story (with its take on the holy trinity) gets very convoluted. But my own test, would I buy the next omnibus should it come out, succeeds: of course I would!

    Stories herein:
    Otages de l'ultralum (1996) in which our heroes are on a luxury cruise, so lxurious that Valerian gets seriously bored. Luckily an important kid is,um, napped, together with Laureline who is trying to protect him. The hunt is on!

    L'orphelin des astres (1998) in which the hunt is still on, and here it gets a bit parody-like; I love the Saki reference in the Scharz-Metterklume method! Apparently the album was slated in France upon publication. Christin (the writer) here takes the mickey out of himself, too.

    Par des temps incertains (2001) in which the holy trinity returns. God decides to intervene in the blatant capitalism reigning on Earth; the devil takes part, too, and Valerian and Laureline risk being ground between two religious millstones.
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  • dorothie22
    4,0 sur 5 étoiles Perhaps not the best Valerian, but a lot of fun
    Avis laissé au Canada le 9 janvier 2017
    Perhaps the least-popular tales in the Valerian saga -- a matter of taste. Visually, the three volumes in this collected edition, dating from the 1990s, show a clear reversion back to Mézière's cartoony roots, while Christin's scripts take on a jokey, social-satire approach (making fun of academic life, cruise lines, the petroleum industry, cops, prisons, Hollywood producers, etc. etc..) that may not be what all readers of the series are after. It's a lot of fun, however, and sets the scene for the very complex denouement of the whole saga in the 7th and final Intégrale volume.