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Djinn - tome 11 - Une jeunesse éternelle Relié – 22 novembre 2012
- Nombre de pages de l'édition imprimée48 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurDARGAUD
- Date de publication22 novembre 2012
- Dimensions22.5 x 1 x 29.9 cm
- ISBN-102505011486
- ISBN-13978-2505011484
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Description du produit
Revue de presse
Biographie de l'auteur
Ana Miralles, née à Madrid en 1959, se lance professionnellement dans la BD et l'illustration en 1982 en publiant sa première histoire dans la revue espagnole Rambla. Elle publie ensuite dans les revues Madriz, Cairo, Marca Acme, Blue Press, Marie-Claire Espagne, Vogue Espagne et Je Bouquine. Son premier album "El brillo de una Mirada" sur scénario de Emilio Ruiz est publié en noir et blanc en 1990 par les Editions La General. C'est l'histoire érotique d'une femme qui décrit les liens et les faits qui se succèdent durant le tournage d'un spot publicitaire dans un hôtel. Par la suite, ce travail fut remis en couleur et réédité en Espagne par l'Editorial Casset, en France par Glénat sous le titre "Corps à Corps" et en Italie dans Blue Press. En 1991, le premier tome de la trilogie de Eva Medusa "Toi le venin", sur scénario de Antonio Segura paraît chez Glénat. Les autres titres : "Toi, le désir" et "Toi, l'amour" sortent en 1993 et 1994. Cette série a également été commercialisée en Espagne, Allemagne, Pays-Bas et USA. L'histoire se situe au Brésil durant les années 20 et raconte des faits où se mêlent éléments magiques, mythologie et psychanalytique, dans un récit qui, initialement, se centre sur le contraste entre deux mondes : l'ancestral et le civilisé, avec la magie et le désir comme éléments moteurs. Avec le scénariste Emilio Ruiz, elle a adapté en BD le roman de Juan Eslava Galan, "A la recherche de la licorne", une oeuvre récompensée en Espagne, au Portugal et en Italie. Ce récit raconte l'expédition partie en 1471 de Castille vers les terres africaines à la recherche de la licorne mythique avec pour but de ramener la corne au roi Henri IV de Castille et lui rendre sa virilité. L'histoire se développe en 3 albums publiés en 1997, 98 et 99 par les Editions Glénat en France et en Espagne. Auteur sensible et prolifique, son oeuvre se décline en une multitude de livres illustrés, cartes postales, couvertures de livres et revues, expositions, recueil collectif, publicités, sérigraphies, etc ... Un livre est paru en 1996 aux Editions Midons. Il réunit un ensemble de dessins en noir et blanc sous le titre : dossier AM. D'autres travaux difficiles à classer existent : les dessins des costumes du spectacle de danse "Vianants" en 1985, trois story-boards, une BD avec le synopsis d'après la pièce "jeux de massacre" de Eugène Ionesco. Après plus de 15 ans de complicité, Ana Miralles et Jean Dufaux clôturent la série "Djinn", avec la sortie du tome 13 en octobre 2016.
Détails sur le produit
- Éditeur : DARGAUD
- Date de publication : 22 novembre 2012
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 48 pages
- ISBN-10 : 2505011486
- ISBN-13 : 978-2505011484
- Poids de l'article : 487 g
- Dimensions : 22.5 x 1 x 29.9 cm
- Fait partie de la série : Djinn
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 238 786 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 19 592 en Bandes dessinées (Livres)
- Commentaires client :
À propos de l'auteur

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Commentaires client
- 5 étoiles4 étoiles3 étoiles2 étoiles1 étoile5 étoiles82%7%7%3%1%82%
- 5 étoiles4 étoiles3 étoiles2 étoiles1 étoile4 étoiles82%7%7%3%1%7%
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Les lecteurs apprécient les illustrations magnifiques, bien faites et délicates. Ils trouvent également la série sublime, avec des intrigues bien menées.
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"...son corps comme le lui enseigne Jade, la djinn; des dessins toujlurs aussi magnifiques, avec des décors sublimes." Développer
"Je recommande cette bd, qui est particulièrement belle" Développer
"...aussi, bien sûr, mais jamais vulgaire, les illustrations sont incroyablement bien soignées, mon seul bémol, qu'il faille attendre un an entre chaque..." Développer
"...Les dessins sont toujours aussi bien fait et il y a toujours autant de sensualité que dans les autres volumes. vivement les prochains albums !!!!!!" Développer
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"Cette série est juste sublime, 2ème tome du cycle indien, les intrigues sont bien menées, j'aime beaucoup la princesse Tamila qui est déterminée à..." Développer
"c'est une suite très attendue, et je ne suis pas déçu de l'avoir lu...." Développer
"Digne suite de la série: dessins remarquables, personnages troublants... L'érotisme est toujours au rendez-vous...." Développer
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- Avis laissé en France le 19 juin 2017Cette série est juste sublime, 2ème tome du cycle indien, les intrigues sont bien menées, j'aime beaucoup la princesse Tamila qui est déterminée à ne pas laisser son pays tombé sous le joug britannique, et pour cela elle va apprendre à utiliser son corps comme le lui enseigne Jade, la djinn; des dessins toujlurs aussi magnifiques, avec des décors sublimes.
- Avis laissé en France le 8 février 2025Je recommande cette bd, qui est particulièrement belle
- Avis laissé en France le 6 février 2025Ce tome fait suite à Djinn - Tome 10 - Le Pavillon des plaisirs (2010) qu’il faut avoir lu avant. Il s’agit d’une série qui compte treize tomes et trois hors-série. C’est le deuxième tome du cycle India, composé de quatre albums. Sa parution originale date de 2012. Il a été réalisé par Jean Dufaux pour le scénario et par Ana Miralles pour les dessins et les couleurs. Il compte quarante-six pages de bande dessinée. Il s’ouvre avec une introduction d’une page rédigée par Dufaux, évoquant l’art de l’amour, l’art de la guerre (celle-ci tente de se trouver des alibis car elle se veut incontournable pour asseoir les ambitions de chacun). Puis il développe ce que cherche Djinn : elle cherche ce qui peut lui résister. Elle s’est arrêtée au passage d’une enfant, car le mystère que celle-ci traîne à sa suite, c’est le grand mystère du temps. Et Djinn n’a pas encore trouvé de parade contre l’ennemi qu’est le temps. Il fait le constat qu’il y a deux façons d’échapper au temps. Mourir. Ou se transformer en mythe.
Quelque part au cœur du Rajasthan, dans une zone naturelle, au sommet rochet de chutes d’eau, Jade et Tamila Sing échangent quelques mots. La princesse dit qu’elle croit en son destin. Elle ajoute qu’elle sait ce qu’elle doit à son interlocutrice : ses leçons sont dures, la djinn se montre sans pitié, mais Tamila commence à comprendre que son corps est une arme, une arme qui vaut plus que tous les fusils anglais. Elle ajoute qu’elle veut détourner son époux de ses idées funestes, de toute alliance avec ces Anglais, car elle lui rappelle qu’elle est la fille du Radjah Sing, le valeureux guerrier qui défie l’empire britannique. Elle se défait de ses vêtements, imitée par Jade, et les deux plongent sans hésitation dans l’eau tumultueuse d’une cascade. Elles se dirigent ensuite vers un plateau sur lequel se trouve une pierre plate dans laquelle sont sculptés un guerrier à cheval suivi par des soldats armés. Tamila explique qu’il s’agit de son père.
En 1919, un groupe de rebelles menés par Radjah Sing se livre à l’attaque d’un train anglais. Ils ont amoncelé plusieurs cadavres de soldats du 72e Highlanders, sur la voie ferrée. Le train s’arrête, et des soldats britanniques en descendent pour investiguer. Juste avant, les gradés évoquaient la non-violence, méprisée par l’un d’eux comme l’aveu d’une totale impuissance, la plainte du mendiant qui réclame des croûtons pour sa gamelle, la non-violence ouvrant une nouvelle voie vers l’indépendance, l’avis très conservateur de Churchill sur le sujet, l’avis que peuvent en avoir les maharadjahs dans leurs palais dorés et les sages en guenilles qui ignorent le monde car le monde n’est qu’apparence. Les rebelles donnent l’assaut au train, juste après qu’un détachement anglais soit parti porter un message au général Dyer. Lorsque ce dernier apprend que les passagers du train ont été massacrés, il décide de faire violemment réprimer une manifestation non-violente pour protester contre les mesures d’exception.
En entamant ce tome, le lecteur se rend compte que son horizon d’attente comprend plusieurs axes : le contexte historique, l’avancée de l’intrigue, et bien sûr la manière dont les personnages affrontent les épreuves et les conséquences qui en découlent sur leur vie et sur leurs émotions. En effet, le scénariste continue à étoffer le contexte historique du récit, allant plus loin qu’une vague évocation de la période coloniale. Outre la présence de militaires britanniques, il met en scène Reginald Dyer (1864-1927), alors Brigadier-general du Raj britannique, donnant l’ordre de briser la manifestation du treize avril 1919. La bande dessinée consacre une page à ce massacre ; l’artiste découpe sa planche en trois cases de la hauteur de la page. Le lecteur peut y voir le calme des êtres humains composant la foule, les tireurs anonymes dans le lointain et la panique avec des civils à terre, et le crâne de l’un d’eux qui explose sous l’impact d’une balle. Il peut sentir l’intérêt du scénariste pour ce moment horrifique. Avec cette séquence éprouvante, des gradés britanniques évoquent la protestation non-violente et l’engagement d’un petit avocat qu’ils ne nomment pas, immédiatement identifiable, le mahatma Mohandas Karamchand Gandhi (1869-1948). Les auteurs consacrent huit pages à ce souvenir : cela induit son importance au regard de l’intrigue : en particulier par opposition à l’action armée de Radjah Sing, le père de Tamila, une résistance violente, avec cette terrible image du tas de cadavres et du rebelle qui en surgit, s’étant caché sous les morts.
Mine de rien, le scénariste a su encore une fois établir une situation intrigante et accrocheuse pour ce troisième cycle, dès le premier tome. Le déroulement du cycle Africa, même si ses événements se produisent après le cycle India, laisse le champ des possibles ouvert à tout, à l’exception du décès des personnages récurrents. Cela laisse le lecteur dans l’expectative de la nature de leurs tribulations. Or il s’interroge sur la nature de la malédiction que le sage Archaka a abattu sur la rani Gaya Bashodra, sur l’identité de la petite fille Saru Rakti, et sur les décisions politiques que prendra Maharadjah. Surprise : le scénariste a opté pour un déroulé linéaire de son intrigue (sans entremêler deux lignes temporelles) et elle avance à un bon rythme. Ainsi la rani explique la raison pour laquelle elle vient supplier Archaka chaque jour, et Jade se retrouve face à la jeune fille dans ses appartements, pour faire connaissance. Comme dans chaque tome précédent, cela donne lieu à des séquences visuellement mémorables car Ana Miralles continue de s’impliquer et de développer son art. L’entretien très détendu entre Jade et Saru Rakti : toutes les deux vêtues de robes magnifiques assorties de parures dorées, au milieu de coussins aux belles couleurs, avec des cobras sinuant à leurs pieds. La séquence de souvenirs de la rani est un festival visuel en seulement onze pages. Les décors : de magnifiques fleurs dans un coin de verdure paisible, le somptueux salon du maharadjah, la chambre enténébrée de la rani, une somptueuse réception au palais, les ruines d’un temple dans lequel habite le très sage et très vénérable, le temple avec son idole démoniaque, et la terrible falaise. Le caractère de chaque lieu le rend inoubliable, reflétant pour partie l’état d’esprit des protagonistes, soit à l’unisson, soit en opposition.
En effet, les personnages doivent affronter des situations éprouvantes chargées en émotions fortes. La première séquence montre Tamila et Jade discutant tranquillement : cela n’a rien d’une scène statique. En cohérence avec le ton sensuel de la série, elle se déshabillent pour plonger dans le flot d’une cascade : inoubliable, tant pour l’écume tumultueuse de la chute d’eau que pour l’assurance naturelle de ces deux femmes. Le commandant Reginald Dyer fait froid dans le dos avec son visage impassible, alors qu’il envisage calmement l’extermination de civils si les circonstances évoluent défavorablement par rapport à son idée de l’autorité. Alors qu’elle déambule dans la longue allée d’un temple, Jade est interpellée par un assassin venu la tuer : le face-à-face immobile montre la contenance et l’assurance dans le regard de la djinn, et la compréhension progressive de sa défaite dans le visage de Darinn des deux portes (surnom provenant du fait qu’il est celui qui ouvre la porte des douleurs et qui ferme la porte de la vie). Le lecteur guette également les réactions de Miranda Nelson lorsqu’elle reçoit les ordres désagréables de Jade, afin de se faire une idée de l’état d’esprit du personnage. Il ressent une pleine et entière compassion pour Gaya Bashoda au vu de ses tourments intérieurs. Il s’en veut de sourire à la tête de Sahib Bendja découvrant qu’il est la victime d’un complot et qu’il va devoir affronter l’allée des pleurs, une lapidation dont il sort en sang et estropié. Il sourit de satisfaction sans fausse honte en méprisant Arbacane pour sa méchanceté de femme envieuse et jalouse des autres.
Ayant terminé le tome, le lecteur le reparcourt rapidement pour se délecter une fois encore des images, et il prend mieux la mesure de la richesse visuelle de cet album. La beauté des cascades. Cette case de la largeur de la page montrant un train franchir un long pont en maçonnerie au-dessus d’un fleuve à l’étiage, avec des rebelles en embuscade entre les piles du pont. L’attaque du train, avec les Britanniques maniant la mitrailleuse montée sur le toit d’un wagon, les rebelles s’engouffrant dans un wagon l’épée au clair. L’étage supérieur et le dôme du pavillon des plaisirs comme suspendus au-dessus de la brume. La multitude de statues de part et d’autre du large couloir dans le temple de Madhuu-Prah. Les efforts d’Arbacane en amazone sur le maharadjah dans son lit pour lui faire éprouver du plaisir. Le pauvre Sahib Bendja s’avançant tant bien que mal entre les deux rangées d’individus avec chacun une pierre dans la main pour le lapider. La manifestation surnaturelle dans le temple avec la statue démoniaque rougeoyant à la lumière des bougies. La satisfaction sadique d’Arbacane sur ses coussins, alors que Miranda Nelson s’en remet à elle pour lui apprendre sa science, en s’engageant à lui obéir en tous points sans discuter. Autant de moments inoubliables tant du point de vue visuel, que des émotions.
Toujours aussi excellent. La narration visuelle est un enchantement renouvelé à chaque page, par son exotisme, sa sensualité, sa sensibilité, sa reconstitution historique, sa puissance d’évocation, son élégance. Dopé par une telle artiste, le scénariste donne le meilleur de lui-même pour l’intrigue, pour les situations complexes, et les passions irrépressibles jusqu’à en devenir monstrueuses. Viscéral et vital.
- Avis laissé en France le 7 janvier 2013J'aime beaucoup cette série qui mêle fiction et histoire c'est très beau, très érotique aussi, bien sûr, mais jamais vulgaire, les illustrations sont incroyablement bien soignées, mon seul bémol, qu'il faille attendre un an entre chaque album, mais bien sûr quand on voit le sens du détail de l'illustratrice, on comprend qu'il faille attendre un peu!!
- Avis laissé en France le 19 décembre 2012c'est une suite très attendue, et je ne suis pas déçu de l'avoir lu. Les dessins sont toujours aussi bien fait et il y a toujours autant de sensualité que dans les autres volumes. vivement les prochains albums !!!!!!
- Avis laissé en France le 7 juin 2021Article reçu ce jour
- Avis laissé en France le 4 novembre 2013Tout simplement sublimes les dessins d'Ana Miralles, quelle délicatesse dans le trait. quant aux textes de Monsieur Jean Dufaux, puissamment documentés, on a l'impression de revivre une histoire du passé. Vivement le numéro 12.
Chapeau, Madame, Monsieur !
- Avis laissé en France le 20 janvier 2013Digne suite de la série: dessins remarquables, personnages troublants...
L'érotisme est toujours au rendez-vous. Jusqu'où nous mènera la quête du Djinn ?
Vite le prochain !