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Soleil US Comics Relié – 24 août 2011
- Nombre de pages de l'édition imprimée120 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurSoleil Productions
- Date de publication24 août 2011
- Dimensions18 x 1.5 x 27 cm
- ISBN-102302018117
- ISBN-13978-2302018112
Détails sur le produit
- Éditeur : Soleil Productions
- Date de publication : 24 août 2011
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 120 pages
- ISBN-10 : 2302018117
- ISBN-13 : 978-2302018112
- Poids de l'article : 622 g
- Dimensions : 18 x 1.5 x 27 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 977 752 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 12 343 en BD Heroïc fantasy
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À propos des auteurs
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Commentaires client
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- Avis laissé en France le 19 juin 2022Un classique dur a trouver
- Avis laissé en France le 9 avril 2019Parfait
- Avis laissé en France le 2 novembre 2011très bon dessin, scénario un peu trop chargé en personnage, j'ai préféré le T.1, mais un fan de Batman sera tout comme moi intèressé par cette suite.
- Avis laissé en France le 22 décembre 2014Suite du Tome 1, une très bonne suite. Si vous êtes bibliothécaire, à classer en BD Adultes. Batman et Predator, un nouvel univers à découvrir.
- Avis laissé en France le 14 mai 2013Ce tome comprend une histoire complète, initialement publiée sous la forme d'une minisérie de 4 épisodes en 1994/1995. Le scénario est de Doug Moench, les dessins de Paul Gulacy et l'encrage de Terry Austin, la même équipe qui a réalisé la première histoire de Batman - Prey (en anglais). Ce tome fait suite à Batman versus Predator de Dave Gibbons et des frères Kubert.
Un nouvel été très chaud à Gotham. Sur l'un des quais du port, a lieu une transaction illicite : un intermédiaire travaillant par Manny Terraro (un caïd) abat froidement les 2 hommes de main qui faisaient les coursiers en apportant de la poudre. Batman intervient pour capturer l'intermédiaire, sans savoir qu'il est observé par Huntress (Helena Bertinelli). Cette dernière intervient alors qu'elle pensait que l'intermédiaire allait tirer sur Batman. À l'issue de cet affrontement, Batman signifie à Huntress qu'il est hors de question qu'il accepte son aide, à cause de ses méthodes trop expéditives. En interrogeant le malfrat il apprend que Terraro a passé un contrat de 5 millions de dollars pour la tête de Batman, et 7 assassins d'envergure internationale ont répondu à l'appel. Peu de temps après, un tueur au même modus operandi qu'un été précédent sévit à Gotham. Il attaque le quartier général de la police de Gotham (James Gordon finit à l'hôpital) et il s'accapare le bat-signal pour attirer Batman. Un nouveau Predator sévit à Gotham.
Après l'intensité de Prey, impossible de résister à la curiosité de savoir ce que pourrait faire la même équipe créatrice sur la deuxième confrontation entre Batman et Predator. Dès la première scène, il est visible que Moench et Gulacy ont mélangé une approche sérieuse et premier degré, avec des éléments hétérogènes, voir hétéroclites. D'un coté, le lecteur retrouve l'approche réaliste, détaillée et méticuleuse des dessins de Gulacy, renforcée par l'encrage précis de Terry Austin. Le style de ce dernier a évolué depuis l'époque où il encrait John Byrne sur les X-Men et il a développé une préférence pour de petits traits secs qui vont un peu à l'encontre du goût de Gulacy pour les belles surfaces noires arrondies et les traits plus gras. Mais il s'agit d'un détail, pour le reste Austin fait ressortir chaque détail, et apporte même quelques précisions dans les dessins. Par exemple il ajoute des nervures dans les planches de bois du quai que Batman fait exploser. De même il ne manque aucun détail sur le Predator, que ce soient les espèces de perles sur ses dreadlocks, ou les mailles du filet qui enserre son torse. D'une scène à l'autre, le lecteur pourra également retrouver le goût de Gulacy pour l'architecture (la description des paysages urbains de Gotham qui va plus loin que l'ordinaire des comics), pour l'aménagement intérieur (les 2 séquences dans le penthouse de Terraro), et les visages marqués (un mélange très agréable d'influence de Jim Steranko et Mike Zeck).
Mais dans cette première scène, il apparaît également des éléments qui se marient mal avec cette approche réaliste et déterminée. Il y a Batman brisant le plancher en bois du quai ce qui exige une force au dessus de ses capacités, sans aucune explication de nature "réaliste" (réaliste dans le cadre d'un récit de superhéros). Il y a l'intermédiaire qui reçoit un coup de poing en pleine visage et qui voit des étoiles en louchant (dispositif à sa place dans un dessin animé comique pour la jeunesse, totalement déplacé par rapport au ton qui règne dans le reste du récit). Et il y a le cas d'Huntress. Il est vraisemblable que les responsables éditoriaux aient exigé que Gulacy respecte le costume du personnage : jambes nues, décolleté plongeant. Malheureusement l'approche réaliste des dessins de Gulacy fait éclater l'absurdité d'un tel costume révélateur et dépourvu de toute protection. Cela introduit une dissonance visuelle qui rompt l'ambiance du récit à chaque apparition du personnage. Gulacy s'amuse aussi à réaliser quelques cases où il exagère de manière délibéré l'aspect d'alpha mâle de Batman à un point tel que le lecteur ne peut l'interpréter que comme une parodie.
Le scénario de Moench souffre également de déséquilibres, mais moins flagrant que ceux des illustrations. Il a imaginé une raison plausible de voir un nouveau Predator arriver sur Terre et vouloir s'en prendre à Batman. Le principe de base du récit s'appuie sur une raison simple et logique. Par contre, il a décidé de reprendre une composante du premier récit (celui de Dave Gibbons) en entremêlant la lutte de Batman contre le Predator, avec des agissements du crime organisé. D'un coté Moench se sert des 7 assassins pour étoffer les actions du Predator ; de l'autre il s'agit de 7 personnages dérivatifs (encore une composante humoristique peu convaincante) très vite éliminés, dont seul ressort le coté artificiel. L'idée d'introduire le personnage d'Huntress pour servir de contrepoint au Predator (2 types différents de chasseurs) est à priori pertinente et porteuse d'une promesse de comparaison révélatrice. Au final, cette confrontation n'est pas exploitée et n'apporte rien au récit. De la même manière, la blessure de Gordon et les séquences suivantes ne débouchent sur rien de concret et finissent par ressembler à du remplissage uniquement pour que le personnage soit présent dans le récit. Il reste des combats bien pensés entre Batman et Predator, et une promesse tenue dans le sens où le lecteur en a pour son argent sur le principe du "versus".
Moench et Gulacy ont construit un récit qui joue sur 2 tableaux : l'aventure / action, et un humour dérivatif avec force clins d'oeil. Malheureusement ces 2 approches ont tendance à se neutraliser, plutôt que de se répondre. Il reste une histoire imaginative, avec de beaux visuels et quelques éléments drôles, mais qui ne forment pas un tout harmonieux. Le troisième round se déroule dans Liens de sang de Chuck Dixon, Robert Campanella et Rodolfo Damaggio (1997/1998).