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L'Affaire des affaires - Tome 2 - L'Enquête Relié – 26 novembre 2009
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- Nombre de pages de l'édition imprimée208 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurDARGAUD
- Date de publication26 novembre 2009
- Dimensions17.4 x 2.2 x 24 cm
- ISBN-102205063049
- ISBN-13978-2205063042
Description du produit
Biographie de l'auteur
Laurent Astier naît le 9 novembre 1975 dans la banlieue stéphanoise. Il passe son enfance à dessiner ses premières BD, à créer ses premiers héros. Après avoir découvert le rock, puis la science-fiction, persuadé de vouloir faire de la bande dessinée son métier, il choisit donc un cursus d'arts appliqués, dans un lycée de Saint-Étienne. Durant cette période, il dévore de vieux numéros de ?Métal hurlant? et les premiers tomes d'?Akira', puis se prend la version animée en pleine face. Il s'expatrie ensuite dans la brousse creusoise, à La Souterraine, pour apprendre le métier de graphiste publicitaire... et comprendre qu'il ne voudra pas l'exercer trop longtemps ! En 1999, après la création d'une agence de communication, qui périclite rapidement, il s'installe à Paris. Il intègre l'équipe d'In Utero, un développeur de jeux vidéo, dans laquelle, pendant trois ans, il travaille comme graphiste et designer sur "Evil Twin: Cyprien's Chronicles" (2001), un jeu de plateforme mélangeant action et aventure. En 2001, il est remarqué par les éditions Glénat qui lui ouvrent leurs portes : en 2002 sort le premier tome de "Cirk", trilogie d'anticipation dont il signe scénario, dessin et couleurs. En 2003 paraît "Gong" (Vents d'ouest), roman graphique d'un noir poisseux sur le monde de la boxe et les bas-fonds de New York à la fin des années 1940. En 2004, il entreprend une nouvelle trilogie, avec son frère Stefan au scénario, "Aven" (Vents d'ouest), polar bucolique baigné dans la chaleur estivale de la France d'après Mai-68. En 2006, il lance "Cellule Poison" (Dargaud), un polar contemporain sur le trafic de femmes qui est mené de main de fer, et sans états d'âme, par la mafia albanaise. Le cinquième et dernier tome paraît en mars 2013. Une intégrale noir et blanc de ce polar sans concession sort en 2023. En 2007, il écrit et dessine, pour la série "BD blues" (Nocturne), un album consacré à Big Bill Broonzy, dans le Chicago des Années folles. En 2008, il illustre une histoire de Luc Brunschwig, pour l'album collectif "Paroles d'illettrisme" (Futuropolis). Début 2009, il s'attaque au dessin des 200 pages du premier tome de "L'affaire des affaires" (Dargaud), roman graphique entre enquête financière et journal intime du journaliste et auteur Denis Robert et découpé par Yan Lindingre. Une aventure qui l'amène à réaliser presque 700 planches de bande dessinée, que l'on peut (re)découvrir dans l'intégrale parue en 2015 (Dargaud). Depuis il a publié "Comment faire fortune en juin 40" (Casterman, 2015) avec Fabien Nury et Xavier Dorison, "Face au mur" (Casterman, 2017) avec Jean-Claude Pautot et , plus récemment en tant qu'auteur complet le western "La Venin" (5 tomes, Rue de Sèvres).
Détails sur le produit
- Éditeur : DARGAUD
- Date de publication : 26 novembre 2009
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 208 pages
- ISBN-10 : 2205063049
- ISBN-13 : 978-2205063042
- Poids de l'article : 650 g
- Dimensions : 17.4 x 2.2 x 24 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 1 415 672 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 4 944 en Droit des affaires
- 119 584 en Bandes dessinées (Livres)
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À propos des auteurs
Denis Robert est né en 1958 à Moyeuvre-Grande au coeur de la vallée de l'Orne, en Lorraine. Après un diplôme d'études approfondies (DEA) de psycholinguistique, il entre en 1982 à Libération où il est d'abord correspondant dans l'est de la France avant d'intégrer la rédaction à Paris. Là, il va multiplier les enquêtes et se spécialiser dans les affaires politico-financières qui éclatent en pleine ère mitterrandienne. En 1995, Denis Robert quitte le quotidien pour se consacrer à l'écriture : fictions, livres d'enquêtes, scénarios pour le cinéma ou la télévision.
Denis Robert est l'auteur de plusieurs romans : Chair Mathilde (1991), Je ferai un malheur (1995), Notre héros au travail (1997), Tout va bien puisque nous sommes en vie (1998), Le bonheur (2000), Une ville (2004), Le Milieu du terrain (2006), La Domination du monde (2006), Une affaire personnelle (2008), Dunk (2009), Vue imprenable sur la folie du monde (2013). Il a également écrit des essais et des enquêtes : Pendant les « affaires », les affaires continuent (1996), La Justice ou le chaos (1996), Révolte.com (2000), Révélation$ (2001), La Boîte noire (2002), Clearstream, l'enquête (2006), Au coeur de l'affaire Villemin : Mémoires d'un rat (206), Tout Clearstream (2011). Il est auteur et réalisateur de cinq documentaires : Journal intime des affaires en cours, co-réalisé avec Philippe Harel ; Histoire clandestine de ma région ; Les Dissimulateurs ; L'affaire Clearstream racontée à un ouvrier de chez Daewoo ; Le Cahier. Il est également le scénariste de Tout va bien, une bande dessinée avec Thomas Clément (publiée par Dargaud en 2005), et de L'Affaire des affaires, avec Yan Lindingre et Laurent Astier (intégrale des 4 tomes en 2014, éditions Dargaud). Ainsi que du livre artistique « Dominations » (2006), réalisé avec Philippe Pasquet. Il est artiste plasticien permanent à la Galerie W (Paris).
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Commentaires client
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- Avis laissé en France le 26 septembre 2015Cette critique concerne les 4 tomes, que je vous recommande de tous acheter :
Pas besoin de présenter Denis Robert.
La BD est belle et aussi haletante qu'une fiction policière... sauf que c'est du vrai... ça fait froid dans le dos.
La détermination, l'humilité et l'humour de l'auteur forcent l'admiration.
il y a un nombre de citations incroyables... au début je mettais des post-it à chaque fois pour les retrouver... j'ai dû arrêter car il y a avait presque à chaque page.
- Avis laissé en France le 5 mars 2010La lecture de "L'enquête, tome 2 de L'affaire des affaires" a certainement aiguisé mon sens critique. Loin derrière l'écran de fumée des rivalités Sarkozy-Villepin que la presse nous vaporise en gaz anesthésiant, la BD me permet enfin de comprendre ce qu'est une chambre de compensation, depuis sa vitrine légale jusqu'à son rôle occulte de blanchisseur. Banque des banques, intermédiaire pour tractations secrètes, une société de transit comme Clearstream (son nom est explicite !) en sait plus que quiconque sur la marche des affaires et, plus grave, sur celle des États. Au faîte du marché de l'armement comme de celui de la drogue, deux commerces sans lesquels les États-Unis ou la France s'écrouleraient corps et biens, susceptible d'en révéler le pire, elle est quasi intouchable. Si vingt personnes contrôlent le monde, ce ne sont pas des individus, mais des postes dont les titulaires sont remplaçables. Les véritables marionnettes ne se produisent pas sur Canal +, elles incarnent leurs propres rôles au plus haut sommet des États. Notre silence nous rend par ailleurs complices de ce qu'il est coutume d'appeler le complot, mais qui n'est rien d'autre qu'une gigantesque arnaque à l'échelle de la planète. Plus c'est gros, plus ça passe !
BD sympa et bougrement instructive...
- Avis laissé en France le 27 octobre 2015pour ceux qui sont interressés par ce type de problèmes et qui ne sont pas réfractaires aux B.D. !!!!!
réaliste et donc passionnant!
lire le tome 1 auparavant, et le tome 3 ensuite!!!
bonne lecture!
- Avis laissé en France le 21 février 2011Superbe bouquin que cette Affaire des Affaires, un polar incroyable dans le monde de la haute finance, un tintin reporter balancé dans les griffes d'une multinationale invraisemblable. Sauf que tout est vrai, Et que contrairement à ce que dit le commentaire précédent, la cour de cassation vient enfin, après 10 ans, de juger l'enquête de Denis Robert juste et bien menée, et que l'ensemble des faits décrits dans ces deux livres sont donc avérés. Cela fait froid dans le dos...
- Avis laissé en France le 3 décembre 2012A la manière du premier tome, le récit s’ouvre en 2008 sur le début de la crise financière mondiale et l’arrestation de Madoff, avec simultanément la convocation de Denis Robert au tribunal dans le cadre de l’affaire Clearstream, puis enchaîne sur les circonstances qui, douze ans plus tôt, ont fait que le journaliste a fini par se retrouver sur le banc des accusés…
Au fil du récit, la tension monte, et après un bref soulagement où Robert pense avoir réussi son combat pour l’information grâce à la justice, le journaliste va réaliser que la pieuvre Clearstream ne faisait que préparer sa riposte… Le calme avant la tempête… C’est ainsi que l’organisme luxembourgeois commence à mobiliser son armada d’avocats pour réduire le journaliste au silence, tel un Sauron mobilisant toutes ses ressources pour anéantir Denis « Frodon » Robert, qui se retrouvera bien vite dépassé par les événements, tel Mikael Blomkvist dans Millenium…
Le dessin semble avoir ici pleinement posé ses marques, avec une tension permanente renforcée par le choix du noir et blanc. Certaines planches sont à la fois hallucinantes et terrifiantes, mettant en scène de manière allégorique le monstre sournois et malveillant incarnant la finance planétaire. Même si certaines explications pourront paraître complexes à certains; le scénario possède une fluidité faisant que l’on suit sans peine les aventures de notre Blomkvist français dans les dédales malodorants du monde des affaires, exactement comme s’il s’agissait d’un polar.
- Avis laissé en France le 10 avril 2010C'est donc la suite de l'enquête menée par Denis Robert sur les tréfonds de la finance mondiale. Ici, il met l'accent sur la découverte de la banque des banques , Clearstream (ce que Belzebuth est aux autres démons de l'enfer), chambre d'enregistrement de transactions frauduleuses et surtout supposée machine à blanchiment d'argent sale. Denis Robert y est encore une fois mis en scène (presque) seul contre tous: pouvoir politique, mass media, hauts fonctionnaires, unis pour empêcher notre Zorro antimondialiste de mener à bien sa mission. Au-delà du combat légitime, les traits caricaturaux des méchants suceurs de sang d'un côté contre le gentil Denis Robert dessiné avec une bouille ronde et presque naïve, ont le même arrière-goût désagréable complotiste que le premier tome. La rengaine du "on nous cache tout, on nous dit rien associé au "en haut lieu, ils se serrent les coudes, c'est crapule et compagnie mon bon M'sieur" finissent par desservir vraiment le propos et rendre la lecture fastidieuse.